Captain Harlock
Démocratie Participative
19 mai 2019
Vous devez vous rappeler du rappeur Nick Conrad. Ce fils de diplomate camerounais soigné pendant des années aux frais du contribuable français s’est fait connaître par son clip, « pendez les Blancs ».
Quand quelques personnes se sont étonnées de son appel au génocide des Blancs, Conrad a vaguement expliqué que c’était du « second degré ».
Dans ses explications tortueuses, Conrad expliquait aussi qu’il avait entendu « toute sa vie » à la télévision des appels aux meurtres de noirs.
C’est curieux car je n’ai pas souvenir d’avoir jamais vu un seul film, une seule émission de télévision ou de radio appelant au génocide des nègres.
En fait, depuis maintenant 40 ans, les médias font exactement l’inverse, notamment via la promotion du rap : appeler à la haine des Blancs et défendre, systématiquement, l’immigration africaine en France.
Depuis les années 60, les juifs et leurs associés marxistes bousillent la cervelle des gamins blancs pour les détruire.
Avec des résultats indubitables en une vingtaine d’années.
Donc, je ne vois pas exactement de quoi veut parler Conrad.
Son concept de France contrôlée par des suprémacistes blancs qui importent l’Afrique par cargos entiers me paraît assez bizarre.
En tout cas, Conrad n’a pas été particulièrement persécuté par la justice raciste blanche. Il a écopé de 5,000 euros d’amende avec sursis.
Nick est remonté à bloc.
Il revient donc avec un nouveau clip, probablement au « second degré », qui s’intitule « Je nique la France, je crève la France ».
En vente en ligne sans crainte d’être censurée par les grandes plateformes de l’internet !