Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2017
Ces terroristes rouges sont des animaux.
Russia Today (source) :
Dans la nuit du 12 au 13 avril, le rez-de-chaussée du quartier générale de campagne de Marine Le Pen, situé 262 rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris, a été partiellement incendié. Le porte-parole des pompiers qui sont intervenus vers 2h40 du matin, a précisé que le feu avait été «rapidement maîtrisé» et qu’il n’avait dégradé qu’une porte et un paillasson.
Réagissant à l’attaque de ses locaux de campagne, Marine Le Pen a déclaré qu’il s’agissait «d’une agression de groupuscules d’extrême gauche qui en règle générale font preuve de violence contre tous les mouvements politiques qui ne pensent pas comme eux». Et d’ajouter : «Dans l’indifférence générale du gouvernement, puisqu’ils bénéficient d’une impunité totale».
Voici la vidéo :
Marine Le Pen a évidemment raison. Depuis des décennies, le gouvernement français soutient activement ces groupuscules contre les nationalistes qui, pour l’essentiel, ne participent jamais à de violences de rue ni ne détruisent de biens publics.
La pire vermine issue des bas fonds de la société peut quant à elle, en toute liberté, menacer, ficher, agresser sans qu’il n’y ait de conséquences. Si d’aventure un nationaliste répond, comme lors de l’affaire Méric, il est instantanément détruit médiatiquement et socialement.
Sur cette question, nous devons exiger une chose du Front National et de Marine Le Pen : une stricte égalité. La racaille anarcho-communiste doit être systématiquement traquée et leurs organisations dissoutes. Les têtes sont connues, les réseaux également.
Ce ne serait qu’une première étape mais elle a son importance.
Quoiqu’il arrive, plus le FN gagnera en puissance électorale, plus ces organisations terroristes deviendront violentes. Si Marine Le Pen se qualifie pour le second tour, ils participeront avec les crouilles et le reste des éléments anti-nationalistes à des troubles.
Le plus élémentaire bon sens commande de faire face à ce fléau.
Nous allons devoir nettoyer les rues du fléau rouge.