La rédaction
Démocratie Participative
17 octobre 2022
L’humiliation rituelle des goyim atteint un nouveau sommet.
Après l’exécution de Lola par des Maghrébins lors d’un rituel de magie noire nord-africaine, Macron a tenu à se prosterner au pied de l’Algérie pour rappeler qui le régime républicain défend : l’envahisseur.
À Paris, il y a 61 ans, la répression d’une manifestation d’indépendantistes Algériens faisait des centaines de blessés et des dizaines de morts. Des crimes inexcusables pour la République. La France n’oublie pas les victimes. La vérité est le seul chemin pour un avenir partagé.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) October 17, 2022
N’allez pas croire qu’il ne sait pas ce qu’il fait. Ce type est l’homme le mieux informé de France.
Macron urine ostensiblement sur le cadavre de Lola.
Cette manifestation de terroristes algériens en plein Paris est un non-évènement débunké par Bernard Lugan depuis des lustres.
Il n’y a jamais eu de « massacre ». C’est un mythe de propagande monté par les communistes pour le compte des bandes du FLN algérien.
Lire : Mensonges et manipulation à propos de la manifestation FLN du 17 octobre 1961 à Paris
L’exécution sommaire d’Algériens anti-français osant manifester en plein Paris aurait d’ailleurs été parfaitement justifiée. Le pouvoir gaulliste n’a jamais rien entrepris de sérieux contre la vermine maghrébine qui submergeait déjà la capitale française à cette époque.
Quoi qu’il en soit, pour Macron, les priorités sont claires : le faux massacre de terroristes algériens au siècle dernier passe avant l’évocation du meurtre barbare d’une petite Française par des clandestins d’Algérie à quelques kilomètres de l’Élysée.
Et le viol, la torture, le meurtre d’une fillette de 12 ans par 4 Algériens est excusable au nom de la repentance ? pic.twitter.com/t4LXgDn6dX
— Cécile Scheffen (@ScheffenC) October 17, 2022
Cette mise en scène est tout sauf fortuite.
Le pouvoir occulte rit au nez des Français méthodiquement éradiqués par le régime juif qui se sert de ses auxiliaires allogènes dans sa guerre raciale.
Ce pouvoir ne s’en cache pas, pour peu qu’on soit un tant soit peu lucide.
La solution n’est pas électorale.