Captain Harlock
Démocratie Participative
17 septembre 2021
L’absence de prise de conscience des traînées face aux conséquences de leur comportement est un phénomène extraordinaire à observer.
Et ce truc est contagieux, il se transmet de mère en fille.
Actu.fr :
« Ma fille de 15 ans n’est pas allée au lycée aujourd’hui… Elle a préféré partir pour toujours ! »
Dans un texte émouvant lu plus d’un million de fois et publié le jour de la rentrée scolaire 2021, Alexandra Joris Bouvier a décidé de partager le drame familial qu’elle a vécu sur le réseau social Linkedin pour alerter sur les ravages du cyberharcèlement.
Elle a vécu l’horreur, quatre mois plus tôt à Pessac, près de Bordeaux. Le 1er mai 2021, après une soirée chez des amis, la mère de famille découvre dans son salon le corps inerte de sa fille. Juliette s’est donnée la mort par pendaison, laissant à côté d’elle, comme seule explication, son smartphone.
« Quand elle est décédée, j’ai compris, raconte la maman. Juliette était très secrète sur son utilisation des réseaux sociaux mais on en avait déjà discuté. Il y a des moments où ça allait et des moments où ça n’allait pas.«
Pour autant, ce soir-là, la mère de famille de 47 ans n’aurait jamais imaginé un tel drame. Elle n’a rien vu venir. « Peut-être qu’elle n’a pas voulu m’alerter pour me protéger, pour pas que je m’inquiète », s’interroge Alexandra Joris Bouvier, les larmes aux yeux.
« Elle est tombée dans le piège des réseaux sociaux dans lesquels elle a cru trouver des gens qui l’aimaient », ajoute-t-elle.
L’audace de cette garce.
Elle avait déjà validé l’instaputisation de sa fille de 15 ans, maquillée comme une roulure, les nichons déballés sur les écrans.
Et rayonnante de gloire, en plus.
J’ai vu ça quelque part.
Et bien sûr, aucun père en vue.
Il va sans dire que ladite pute de mère est divorcée depuis longtemps, si jamais elle a été mariée, et que le géniteur impuissant ne pouvait que constater, une fois tous les 15 jours, le travail d’embrigadement mimétique que cette mère maquerelle faisait sur sa fille.
Ensuite vient cette histoire de « gens qui l’aimaient » à propos des réseaux sociaux. Vous savez comment on appelle une gonzesse de 15 ans qui recherche « l’amour » de 50,000 inconnus ?
Une pute.
Comme cette jeune traînée n’a pas accumulé ces 50,000 inconnus en 2 mois, c’est à 13 ou 14 ans qu’elle a commencé à se créer une énorme base de courtisans sur Insta. Des courtisans de tous âges, ce dont elle était parfaitement consciente. Il ne s’agit pas « d’amour » mais d’attention sexuelle que toute pute qui se respecte cherche à susciter pour faire monter les enchères entre les mecs.
Vous avez des types de 50 ou 60 ans fans de Lolitas pour qui le fric n’est pas un problème et qui chassent sur ces plateformes. Je suis certain que si vous aviez une gamine de 13 ans, vous adoreriez qu’un type de 58 ans chauffe votre fille dans votre dos.
C’est ce qui se passe tous les jours en France avec le plein assentiment de leurs putes de mères divorcées. Et pour s’assurer que ce truc fonctionne comme une horloge suisse, des profs blanchies sous le harnais du manège à bites apprennent à ces gamines de 12 ans comment se faire sauter sans tomber enceinte grâce à la pilule et à l’avortement.
C’est « l’égalité homme femme ».
Les talibans n’ont rien fait de mal
La légèreté avec laquelle ces traînées manipulatrices présentent ce comportement comme de « l’amour » vous dit l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur la profondeur des sentiments féminins.
Ce sont des carnassiers.
Les femmes sont matérialistes car elles sont censées évaluer les conditions nécessaires à la fondation d’un foyer. Mais à la minute où elles se détournent de la maternité faute d’hommes pour les tenir en laisse et les contraindre à faire des enfants, ce matérialisme de bon sens se transforme en prostitution pure et simple dont le but est de devenir une pute de luxe, c’est-à-dire la pute la plus élevée socialement parmi les putes.
C’est une compétition féroce dont la spirale est sans fin car plus le temps passe, plus les jeunes putes sont remplacées par de nouvelles putes, toujours plus entreprenantes et à la mode.
Le signe le plus sûr de la putisation d’une gamine, c’est le maquillage à 14 ou 15 ans, les jeans troués moulants et les décolletés. L’alerte est donnée et si rien n’est fait immédiatement pour enrayer le processus, vers 16 ou 17 ans, elle a déjà couché avec 3 ou 4 types, dont la moitié sont des créatures crépues. Vers 20 ans, son vagin est devenu un hall de gare fréquentés par des dizaines de nationalités et ses meilleures années pour enfanter sont consacrées à copuler avec tout ce qui peut lui payer des sacs, des voyages, des sorties, des montres, des séances chez l’esthéticienne.
Ce n’est que lorsque la trentaine se rapproche, totalement usées biologiquement par la pipe, le tabac, le mousseux et les antidépresseurs que ces traînées se mettent en tête de trouver un plan durable avec un pigeon.
Tout commence avec ce miroir magique qu’est le smartphone. Ce miroir est si puissant sur les femmes qu’il peut les tuer, littéralement.
Le smartphone devrait être interdit aux femmes et c’est aux hommes de le faire.
Mais les hommes sont faibles.
Ils sont terrorisés à l’idée de discipliner les traînées.
Ils préfèrent les laisser détruire la civilisation plutôt que de les gifler et de leur interdire le divorce.
Une enquête est en cours pour apporter des réponses à la famille. La police a saisi le téléphone portable et l’ordinateur de l’adolescente afin d’identifier les personnes qui auraient pu provoquer ce suicide. Les enquêteurs ont déjà relu plus de 2 000 pages de discussions et de commentaires rien que sur le compte Instagram de la victime.
Il faut dire que la collégienne, scolarisée à Floirac (en banlieue bordelaise), cumulait plus de 50 000 abonnés (!) sur ce réseau social. De quoi faire d’elle quasiment une personnalité publique à 15 ans. Des marques de prêt-à-porter lui envoyaient même gratuitement des colis pour mettre en avant leurs produits sur des publications.
Imaginez ça : 15 ans, des fringues de marque gratuits pour la gratifier de jouer les attention whore, 50,000 « fans » multipliant les propositions indécentes et les compliments moyennant des récompenses.
Ce train avait quitté la gare.
Ça, c’était le bon côté de la popularité. L’autre, c’était la jalousie et la haine qui s’exprimaient dans quelques commentaires ou messages privés.
C’est l’autre point sur lequel cet article, comme tous les articles de la presse féministe, passeront rapidement.
La jalousie et la haine de QUI ?
Des autres nanas.
Sauf qu’au terme de l’idéologie féministe, les femmes sont des êtres purs et nobles sans aucune espère d’intention maléfique entre elles. De véritables licornes. Comme les noirs ou les sémites, tout ce qui leur arrive est de la faute du grand méchant homme blanc.
Le flou est donc entretenu pour que jamais les femmes ne soient placées devant leur propre nature, garantissant le renouvellement perpétuel du cycle.
En réalité, ces garces sont prêtes à tout pour détruire les concurrentes qui réduisent leur propre audience sur le marché aux putes, c’est-à-dire qui leur limitent l’accès aux hommes et à leur fric. C’est là que le vrai visage de ces gorgones se dévoile : les femmes sont d’une cruauté sans limite entre elles et ce n’est pas pousser quelqu’un au suicide qui leur fait froid aux yeux.
C’est cette réalité que le baratin féministe maquille.
Aux messages d’alerte de sa mère, elle répondait parfois : « T’as raison maman, je vais arrêter ! » « Puis, rapidement, elle reprenait. C’était comme une addiction. Elle voulait être aimée », imagine Alexandra Joris Bouvier, qui la décrit comme « une ado intelligente, drôle, curieuse » mais aussi « très complexée ».
Oui.
Non.
La première étape du deuil passée, l’assistante commerciale dans un bureau de contrôle tient aujourd’hui à transformer « la douleur et la tristesse en une force ».
« Par le biais de Linkedin, je voulais toucher un maximum de gens. Je veux que mon message soit entendu et que les gens comprennent que le cyberharcèlement doit cesser. Faire en sorte que les parents sensibilisent leurs enfants. J’ai envie de me servir de cette expérience pour faire bouger les choses. »
« J’ai exposé ma fille comme une pute, je trouvais ça génial. Maintenant qu’elle est morte à cause de moi, je cherche quelqu’un à blâmer parce que comme je suis une femme, on ne peut rien me reprocher. »
Cette gamine a fait des trucs irrémédiables contre du fric, des photos ont circulé, elle a paniqué et s’est suicidée.
Si quelqu’un a tué cette nana de 15 ans, c’est sa pute de mère qui l’a éduqué pour en faire une pute. Mais n’allez pas demander à une femme, pas plus qu’à un noir ou à un arabe, d’assumer ses actes. Il neigera en juillet avant que cela arrive.
Les femmes, tout comme les noirs, sont des enfants éternels. L’homme a l’exclusivité d’atteindre l’âge adulte. C’est pour cela que légalement, il doit être le tuteur de sa femme et en prendre la responsabilité. Sans retour du Paters Familias, la race blanche est finie à brève échéance.