Après l’appel à la guerre mondiale de Macron, les juifs absolument déchaînés sur tous les médias français

La rédaction
Démocratie Participative
27 février 2024

 

Grâce aux déclarations délirantes de Macron, nous avons pu dénicher tous les agents de l’OTAN embusqués, ou non d’ailleurs.

Ancien proconsul de l’OTAN au Kosovo où il a supervisé l’intense trafic d’organes de la mafia albanaise, le juif Kouchner s’est réjoui du carnage en prévision. Également ancien ministre des Affaires étrangères de Sarközy, donc parfaitement inséré dans la machine de guerre juive internationale, il veut des « sacrifices ».

De goyim, bien sûr.

Les émissions « C », véritables réunions de veille de shabbat, fixent la ligne officielle du régime.

« C à vous » est la tribune personnelle du juif Patrick Cohen, dont la parole met un terme à tous les débats. Quand Cohen a tranché une question, il n’est plus possible d’y revenir. Parfois, il joue le ventriloque et fait parler des doublures, comme la crapule Ancel, agent de l’OTAN.

La guerre à la Russie est au programme.

Toutes les émissions « C », par définition judéo-macronistes, l’ont invité à répéter les appels au meurtre.

Était aussi présent l’immonde juif macroniste Haddad.

Les juifs, historiquement, sont connus pour être des agioteurs de céréales, à l’instar de la famille Louis-Dreyfus. Sous leur contrôle, les juifs peuvent ainsi affamer le monde quand bon leur semble.

Voir toutes les céréales ukrainiennes promises aux juifs de BlackRock revenir sous contrôle russe empêche Haddad de dormir.

Sur « C dans l’air », c’était le juif Haroche qui était invité pour appeler à la guerre.

Bien entendu, aucun de ces juifs n’a l’intention de faire cette guerre, uniquement de la faire faire par des golems.

Et justement, qui dit juif, dit shabbat goyim. Dans cette catégorie, Robert Ménard est irréprochable. Il est comme une mouche. Rien de ce qui sent franchement la merde ne doit lui être étranger. Voit-il une belle coulure d’ocre ? Le voici dessus, luisant au soleil alors qu’il arpente sa conquête.

Il veut être de tous les pestilentiels festins juifs.

Sur télé OTAN, c’est un feu d’artifices. Tous les salariés du Département d’État américain, de la CIA et de l’OTAN sont conviés à passer à table.

Fourest, la chienne de Bernard-Henri Lévy, était particulièrement agressive, réclamant du sang d’hétérosexuel, car, bien entendu, ce n’est pas elle qui ira tenir une kalachnikov dans un bled pourri d’Ukraine pour donner une leçon à Poutine le macho.

Servent, le cancéreux, espère faire mourir des gens de 20 ans avant lui. Cest la petite flamme qui lui fait espérer en une rémission.

Il y a aussi d’autres femmes blanches, secrétaires de l’OTAN, qui assurent qu’il faut mourir pour Washington. Se défiler serait « une faute professionnelle ». La garce du Figaro Laserre, le papier du trafiquant d’armes juif Bloch-Dassaut, est catégorique : le SAV doit être assuré.

Il y a aussi la feuille du Pentagone en langue française « L’Opinion », du socialiste Merchet.

Mourir en Ukraine est une « évidence » parce que Cherbourg est menacée par Kadyrov, un truc comme ça.

Sur ce, comment mourir pour les juifs concrètement ? CNews offre un guide simple, n’hésitez pas à cliquer :

Je vous invite à relire les pamphlets de Céline, vous verrez qu’ils sont d’une terrifiante actualité. En fait, ils sont bien plus actuels que lorsqu’ils ont été écrits dans les années 1930. Comparativement, le monde d’aujourd’hui est bien plus enjuivé que celui d’il y a 80 ans.

C’est dire l’ampleur du péril juif.

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