Après la mort du rappeur Mourad, un imam se fait sévèrement clasher par les salafistes

La Rédaction
Démocratie Participative
30 juin 2024

 

L’autre jour un noir quelconque surnommé « Mourad » est mort et les médias ont essayé d’en faire un évènement important.

Ce n’est pas le sujet de cet article.

Le sujet concerne un imam qui en a parlé.

Sauf que dans la péninsule arabique du 7ème siècle que l’on appelle la France, il est haram de jouer de la musique.

Non seulement ça, mais si vous montrez une vidéo d’un musulman qui joue de la musique il prend des pénalités au paradis d’Allah.

C’est magnifique.

On ne compte pas les réactions du genre.

La religion musulmane est un jeu vidéo pour demeurés de 7 ans d’âge mental.

C’est la meilleure façon de la décrire.

Le cerveau des bougnoules ne comprend pas les dimensions de l’espace-temps et elle ne comprend pas non plus la notion de responsabilité individuelle.

Passé, présent ou futur, vivant ou mort, moi ou les autres : tout ça est très confus dans l’esprit des maghrébins.

Quelqu’un peut donc faire « pécher » un mort en mettant une vidéo en ligne d’un acte passé qui est réputé « illicite ».

Pour les musulmans, cela revient à rééditer l’acte une seconde fois.

Autrement dit, ils pensent que l’image animée est la vraie personne et qu’appuyer sur « play » lui refait commettre un « péché » et ce autant de fois qu’on appuie sur « play ».

C’est administré par un système de points sur lequel aucun de leurs imams n’est d’accord.

Un mort est donc comptable des agissements des vivants et il peut se faire dégager de plusieurs niveaux à cause d’eux.

Littéralement l’islam

Les religions abrahamiques sont toutes particulièrement débilitantes, mais il faut reconnaître que le jeu vidéo musulman est celle qui rend le plus con. En fait, elle ne rend pas con, elle est faite pour les cons, mais vous comprenez l’idée.

L’avenir promet d’être exaltant au contact de ces hominidés littéralistes qui ne peuvent même pas faire la différence entre les différents millénaires.

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