Captain Harlock
Démocratie Participative
04 juin 2019
Laure ignorait que l’amour halal comporte quelques contraintes
Voilà une très belle parabole. Diffusez-là auprès de vos petites soeurs.
Condamné en 2016 à 14 ans de prison, le meurtrier de Laure Nobels est déjà libre. L’annonce de cette décision a eu pour les parents de la jeune fille comme l’effet d’une bombe. Ils ne comprennent pas que Zaïn L. puisse déjà reprendre une vie « normale ».
« Nous sommes inquiets et ce n’est pas normal du tout. Il va reprendre sa vie normalement alors que Laure n’est plus là », nous avance Claude Nobels, le père de Laure. « Les autres jeunes ne comprennent pas cette décision. C’est désastreux », poursuit notre interlocuteur qui craint de croiser le meurtrier de sa fille dans la rue. « Si je le croise en rue, je ne sais pas comment je pourrais réagir », souligne Claude Nobels dont Laure était sa fille unique.
Peut-être que laisser sa fille unique coucher avec un crouille n’était pas la meilleure façon de l’éduquer.
Mais la remise en question ne semble pas le fort de cette famille. Le père, Claude Nobels, milite activement contre les nationalistes flamands qui veulent juguler l’invasion afro-islamique en Belgique.
L’assassinat de sa fille par un crouille n’a même pas entamé la xénophilie pathologique de ce déchet humain.
Je ne vois guère que le suicide comme porte de sortie pour une telle larve.
Les faits remontent à mai 2012. Laure Nobels alors âgée de 16 ans était à Neder-Over-Heembeek chez son petit ami Zaïn L. âgé de 17 ans au moment des faits. Lors une dispute dans la chambre des parents du jeune homme, Zaïn L. met fin aux jours de Laure Nobels en l’étranglant car cette dernière voulait le quitter. La jeune fille était tombée sur des SMS laissant penser que Zaïn L. la trompait. Zaïn L. avait dans un premier temps affirmé que Laure avait crié, l’avait insulté et qu’il avait donc uniquement voulu la faire taire. Puis il avait affirmé qu’il avait en réalité voulu « arracher la vie » à sa petite amie parce qu’il sentait qu’elle allait le quitter.
En décembre 2016, Zaïn L., bien que mineur au moment des faits, a été dessaisi et est jugé par la 22e chambre correctionnelle de Bruxelles. Il est condamné à 14 ans de prison dont il a purgé, une partie, dans un centre pour mineurs dessaisis. Il y a sept mois, il a bénéficié d’une libération sous surveillance électronique. Depuis quelques jours, il est libéré sous conditions.
« Les faits remontent à 7 ans. Mon client venait d’avoir 17 ans. Il a été enfermé pendant plus de deux ans en IPPJ. C’est comme de la prison mais pour mineurs. Il a été dessaisi. Il a réussi le jury central alors qu’il était en IPPJ. Depuis sept mois, il est sous surveillance électronique et il a repris des études. Ici, il est libéré sous conditions. Je comprends le désarroi des parents mais ce n’est pas un danger pour la sécurité. Il n’y a aucun risque de récidive. Il a eu un avis favorable du ministère public ce qui est assez rare », nous explique son avocat Me Laurent Kennes.
« Les conditions de sa libération sont qu’il ne peut pas se rendre dans certains quartiers de Bruxelles ainsi que dans le Brabant Wallon afin de ne pas croiser la famille et les proches de Laure Nobels. Mon client a accepté toutes ces conditions », ajoute Me Laurent Kennes. Zaïn L. a accepté de poursuivre sa scolarité en dehors de Bruxelles afin de pas perturber les amis de Laure Nobels.
Je me retrouve pleinement dans cette décision de la justice belge.
Les traînées blanches amatrices de viande halal doivent savoir qu’il y a un prix à payer pour coucher avec l’envahisseur et ce prix, c’est leur légitime mise à mort par les mâles orientaux au terme de la loi islamique. Ou de leur humeur.
C’est une des contraintes de la société multiculturelle et inclusive dans laquelle elles aspirent à vivre et ces contraintes doivent être connues de toutes les Blanches concernées par l’amour islamique : il n’y aura pas de filet de sécurité blanc pour les sauver après une trahison.
Les arabes ont reçu le feu vert.
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