Captain Harlock
Démocratie Participative
01 Février 2021
Min Aung Hlaing, le visage du bouddhisme éclairé
La Birmanie est un grand pays, bien qu’il soit petit et très pauvre.
Cet état bouddhiste nous avait déjà donné une leçon magistrale de volonté nationale en purifiant ethniquement son territoire de la présence des rohingyas, une peuplade islamique très agressive soutenue par Omar Sy, un nègre musulman auxquels les producteurs de cinéma juifs de Paris ont donné des papiers français.
L’armée birmane vient de finir le travail en abolissant le régime démocratique pourri qui avait été installé sur pression des démocraties juives occidentales.
L’arnaque sanitaire était au cœur d’une grande conspiration globaliste contre l’Etat Birman.
L’armée birmane a proclamé lundi l’état d’urgence pour une période d’un an et nommé un général président par intérim, après avoir arrêté la cheffe du gouvernement civil Aung San Suu Kyi et d’autres hauts responsables.
« Cette décision est nécessaire pour préserver la stabilité de l’État », ont fait savoir les militaires dans une déclaration sur la chaîne de télévision de l’armée NAME.
Ils ont accusé la commission électorale de ne pas avoir remédié aux énormes irrégularités qui ont eu lieu, selon eux, lors des législatives de novembre, remportées massivement par le parti d’Aung San Suu Kyi, déjà au pouvoir depuis 2015. Les militaires dénoncent depuis plusieurs semaines l’existence de fraudes électorales.
Lundi matin, les militaires se sont emparés de l’hôtel de ville de Rangoun. Cinq camions militaires ont été déployés dans l’enceinte de la mairie et des soldats refoulaient les personnes à l’entrée, selon un journaliste de l’AFP.
Ces arrestations de hauts placés interviennent alors que le Parlement issu des dernières législatives devait entamer sa première session dans quelques heures.
Le pays connaît aussi de fortes perturbations de l’accès à Internet depuis l’arrestation de sa dirigeante.
Les perturbations des télécommunications ont commencé lundi vers 3 h du matin […] et sont susceptibles de limiter la couverture des événements actuels, a mis en garde Netblocks, spécialisée en cybersécurité.
Les communications téléphoniques, notamment vers et depuis Naypyitaw, sont aussi très perturbées, selon des journalistes de l’AFP.
« Sous prétexte de la pandémie de coronavirus, les élections n’ont pas été libres ni justes », avait assuré la semaine dernière lors d’une conférence de presse le porte-parole de l’armée, le major général Zaw Min Tun.
Comme aux USA, la pandémie a été utilisée par les élites globalistes pour truquer les suffrages dans ce pays situé à la frontière de la Chine.
Nous subirons certainement la même chose.
La différence entre nous et les Birmans, c’est que les Birmans ont une armée nationaliste qui a assez de courage et de lucidité pour libérer leur pays.
Les craintes avaient encore grandi quand le chef de l’armée, le général Min Aung Hlaing – sans doute l’homme le plus puissant du Myanmar – avait déclaré que la Constitution pouvait être révoquée dans certaines circonstances.
Les militaires affirment avoir recensé des millions de cas de fraude, dont des milliers d’électeurs centenaires ou mineurs.
Plus d’une dizaine d’ambassades, dont celle des États-Unis et la délégation de l’Union européenne, avaient exhorté vendredi le Myanmar à adhérer aux normes démocratiques, s’inquiétant d’un possible coup d’État.
Quelqu’un peut-il m’expliquer de quoi se mêle l’Union Européenne depuis l’autre bout du globe ?
Elle est dirigée par une rombière que personne n’a jamais élue.
« Pourquoi vous n’êtes pas dirigés par des gens élus ?! C’est scandaleux ! »
C’est ce que Von der Leyen est en train de dire aux Birmans depuis son bureau où elle gouverne sur 500 millions d’Européens qui n’ont jamais eu leur mot à dire sur ce qu’elle leur impose.
« Nous nous opposons à toute tentative de modifier le résultat des élections ou d’entraver la transition démocratique en Birmanie », avaient-elles écrit.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait également exprimé sa grande inquiétude.
Le Myanmar est sorti il y a tout juste 10 ans d’un régime militaire au pouvoir pendant presque un demi-siècle.
La Constitution, rédigée par la junte, prévoit un partage des pouvoirs entre un gouvernement civil et les généraux du pays.
Le parti d’Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix 1991, très critiquée à l’international pour sa gestion de la crise des musulmans rohingyas, mais toujours adulée par une majorité de la population, a remporté une victoire écrasante en novembre.
Il s’agissait des deuxièmes élections générales depuis 2011, année de la dissolution de la junte qui venait de régner pendant un demi-siècle sur le pays.
Les États-Unis n’ont pas tardé à réagir pour exiger la libération par l’armée birmane de plusieurs dirigeants interpellés, y compris Aung San Suu Kyi. Washington a menacé de réagir en cas de refus.
« Les États-Unis s’opposent à toute tentative de modification des résultats des récentes élections ou d’entrave à une transition démocratique au Myanmar et vont agir contre les responsables si ces mesures [les arrestations] ne sont pas abandonnées, a averti la porte-parole de la Maison-Blanche », Jen Psaki.
L’Australie a elle aussi fait un appel en ce sens, demandant à l’armée de respecter l’État de droit, de résoudre les différends par des mécanismes légaux et de libérer immédiatement tous les dirigeants [politiques] issus de la société civile et les autres personnes détenues illégalement.
Nous allons voir la presse juive internationale opérer un revirement à 180° à propos d’Aung San Suu Kyi.
Depuis qu’elle a admis la nécessité de purger le pays de la vermine islamique, les juifs ont cessé de la dépeindre en héroïne de la démocratie pour en faire une sorte d’incarnation asiatique d’Adolf Hitler.
C’est ce qui se passe quand les juifs doivent faire face à un goy indiscipliné qui refuse de ratifier l’exploitation féroce de son pays : la disgrâce médiatique.
Maintenant que l’armée est au pouvoir, Aung San Suu Kyi redevient la seule carte de la juiverie internationale dans le pays.
Les démocraties juives sont allées trop vite en se servant des mahométans comme levier d’agitation. Elles pensaient que Aung San Suu Kyi avait fini de leur être utile en les aidant à instaurer un régime démocratique pourri qu’elles tenaient pour acquis.
Elles vont rapidement réévaluer la situation.
Les juifs vont se ménager un peu de temps car Aung San Suu Kyi reste une vilaine shiksa qui n’a pas filé doux lorsqu’elle était au pouvoir. Mais les hébreux accepteront de ravaler temporairement leur fierté pour se focaliser contre l’armée birmane.
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