La rédaction
Démocratie Participative
30 septembre 2022
Les femmes blanches veulent se faire violer. La seule chose sur laquelle vous pouvez influer, c’est sur l’appartenance raciale des violeurs.
C’est l’occasion de rappeler la règle d’acier longuement détaillée ici à l’attention de tous les hommes blancs qui nourrissent encore l’illusion mortelle de la conversion des femmes blanches à l’humilité et à la loyauté raciale :
Et puisque les hommes classés à « droite » se définissent d’abord et avant tout par leur adhésion à la vaginocratie absolue, une nouvelle gifle de la part d’une femme blanche s’impose.
Cela tombe bien, car les femmes blanches adorent les gifler.
Sa violence agression, samedi 24 septembre 2022 près des Machines de l’île, avait déclenché un emballement médiatique autour de l’insécurité à Nantes. Choquée par la récupération politicienne du drame qui la touche, la victime a décidé de prendre la plume cinq jours après les faits pour dénoncer l’amalgame facile et erroné fait entre immigration et délinquance.
« Au choc de l’agression, écrit son avocate Me Anne Bouillon ce jeudi 29 septembre, vient pour elle s’ajouter la consternation de ce que certain(e)s s’approprient les faits dont elle a été victime pour stigmatiser les migrants et les désigner comme responsables premiers de l’insécurité qui régnerait dans notre pays en général et à Nantes en particulier. Cela la contraint, l’espace seulement de ce communiqué, à sortir d’un silence auquel elle aspire.
Après s’être faite retournée dans un gangbang de rue par trois Soudanais déter, Magalie est claire quand à l’urgence de l’heure : elle ne laissera pas les hommes blancs exploiter la situation pour se réapproprier leur territoire et leurs femmes.
C’est clair et net.
Les femmes blanches ont un droit inaliénable d’accéder aux mâles marron du monde entier qui se ruent en France pour obtenir leur chatte.
Donc, les fachos, sortez de nos mentions.
Dans une société idéale, c’est-à-dire phallocentrée, Magalie serait déjà tondue publiquement tandis que les trois Soudanais auraient été libérés. Magalie aurait été condamnée à leur verser 10,000 euros de dédommagements pour chacun d’entre eux, ainsi qu’à leur payer le billet d’avion en classe affaires en vue de leur rapatriement au Soudan.
Après quoi Magalie aurait été promenée nue dans les rues de Nantes avec une pancarte autour du cou sur laquelle serait inscrit « Je suis une putain à nègre ». Fouettée en public au pied de la cathédrale, elle aurait été vitriolée. Enfin, elle aurait été emmenée dans un couvent pour y passer le reste de ses jours afin d’y expier ses fautes par le jeûne et la prière.
Mais nous ne sommes pas dans une société idéale, nous sommes dans une société ovarienne.
Dans une société ovarienne, les putes repoussent chaque jour les limites de l’obscénité et de l’immoralité. Chaque fois qu’une pute franchit une nouvelle étape dans l’indécence en revendiquant fièrement ses attaques contre l’homme blanc, des milliers de putes se ruent pour la saluer.
Tout particulièrement lorsqu’elles sont juives.
Ne pas parler à la place des victimes est la base du respect et de la considération. https://t.co/OoGw1XAr8S
— Benjamine Weill (@benjamine_weill) September 30, 2022
Les femmes blanches ne se convertiront pas miraculeusement à l’humilité et à la loyauté raciale comme des Marie-Madeleine.
Ce n’est que lorsqu’elles seront physiquement menacées des pires représailles par des mâles blancs pour chaque trahison commise avec des nègres que leur cerveau canin primitif commencera à réévaluer la situation.
On ne parle pas aux femmes rebelles.
On bat les femmes rebelles, jusqu’à la soumission totale.
Toutes les cultures l’ont compris. Toutes celles qui ont rejeté cette vérité ont disparu, détruites par les femmes, ces succubes sorties de l’Enfer pour tourmenter les hommes jusqu’à la fin des temps.
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