Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juillet 2019
Après avoir jeté Tommy Robinson en taule à deux reprises sur la base d’accusations bidon puis éradiqué sa présence sur Facebook, Twitter et YouTube, le pouvoir britannique a décidé de le faire coffrer une troisième fois.
Le motif invoqué par les autorités est l’un des plus obscènes que j’ai jamais vu : « avoir causé une détresse émotionnelle » chez les membres d’un gang de violeurs pédophiles pakistanais qu’il avait interrogé en marge de leur procès.
RTL.be :
Tommy Robinson, figure d’extrême droite britannique, a été reconnu coupable d’outrage à la justice vendredi par la cour criminelle londonienne de l’Old Bailey, ce qui signifie une condamnation à une peine de prison ferme.
Sa peine, qui peut s’élever à deux ans maximum, sera prononcée ultérieurement, avec une date provisoire d’audience fixée au 11 juillet, au cours de laquelle les attendus du jugement seront également rendus publics.
Fondateur de la Ligue de défense anglaise, un groupe d’extrême droite entendant lutter contre la menace islamiste, Tommy Robinson était poursuivi pour avoir filmé et diffusé en direct sur internet des images de prévenus lors d’un procès faisant l’objet de restrictions de couverture. Il avait été condamné en mai 2018 à treize mois de prison dans cette affaire, avant d’obtenir trois mois plus tard de faire appel et d’être libéré sous caution dans l’attente d’un nouveau procès. De son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, Tommy Robinson a depuis rejoint le parti europhobe UKip comme conseiller, ce qui avait entraîné le départ de cette formation de Nigel Farage, son co-fondateur.
Son cas avait attiré l’attention de l’alt-right américaine, ou « droite alternative », et même de Donald Trump Jr., fils du président américain, ou de Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump et qui lui avait apporté son soutien.
Sans Robinson, jamais ces ignobles gueules de violeurs de gamines blanches n’auraient été connues internationalement.
L’objectif avéré des autorités britanniques à ce stade est de mettre en taule n’importe qui filmera ces gangs de pédophiles pakistanais pour informer le public sur ce qui se passe dans les villes anglaises.
C’est la normalisation pure et simple par le gouvernement britannique de la traite des blanches par les pak-paks.
Après le verdict, Robinson est apparu sur le site d’Alex Jones. Si vous parlez anglais, vous pouvez suivre son intervention.
Il en appelle à Trump pour l’exfiltrer, lui et sa famille, vers les USA. « Le pays est tombé » dit-il.
Si vous gardez à l’esprit que Robinson n’a jamais défendu une ligne raciste et qu’il travaille pour le juif anti-islam Ezra Levant de Rebel Media, vous pouvez mesurer à quel point les libertés des Blancs au Royaume-Uni appartiennent au passé.
Même Nigel Farage a jugé utile de dénoncer « l’islamophobie » et le « racisme » de Robinson il y a moins d’un an.
En fait, tactiquement, Robinson a suivi à la lettre la méthodologie prêchée par les Boomers de droite. Cette ligne consiste à reprendre à son compte tous les dogmes établis du système tels que LOLocauste, le pédo-LGBTisme, l’antiracisme cool.
Tout ça moins l’islam.
Mais ça ne marche pas comme ça. Le judéo-globalisme, ce n’est pas comme le self du lycée : vous ne pouvez pas choisir l’entrée qui vous plaît le mieux.
Il n’y a qu’un seul menu : la marée migratoire multicolore, le wahhabisme, les parades des anus séropositifs, les monuments de l’holocauste en forme de plaques pliées, la haine antiblanche partout et tout le temps.
Dans un pays dont la capitale est contrôlée par un djihadiste pakistanais qui défie ouvertement le président des Etats-Unis au nom de la oumma, critiquer le goût des musulmans pour les gamines blanches avant d’en faire littéralement de la viande à kebab n’est pas une option.
En 2019, combattre l’islamisme en tant que Blanc est probablement moins risqué à Islamabad qu’à Birmingham.
J’espère que Trump fera quelque chose pour Robinson.
Si des centaines de milliers d’Aztèques peuvent envahir les USA avec l’appui des médias juifs, un véritable réfugié politique comme Robinson peut être validé sans problème par l’ambassade US.
Si les Américains ne le sortent pas du RU, le gouvernement britannique le mettra dans une ses prisons infestées de salafistes pakistanais protégés par l’administration pénitentiaire dans le but de le faire tuer ou grièvement blesser.
Idem pour sa famille.
Vous pouvez lutter quand vous avez de l’aide à un certain niveau. Mais un type seul, issu de la classe ouvrière dans un pays de fiottes et de hipsters suceurs de crouilles, ne peut pas faire de miracle.
Surtout face à un état policier rouge totalement infiltré par les islamistes.
Robinson sera beaucoup plus utile en Amérique pour briefer les Blancs sur ce qui se passe en Europe. Une fois Robinson sorti de Grande-Bretagne, la dernière excuse des Britanniques pour ne pas se faire vitrifier la gueule à coups de bombe H aura disparu.
Cette île pourra crever d’une indigestion de nègres fous et d’afghans affiliés à Al Qaeda, cela ne me fera ni chaud ni froid.