Après avoir envoyé ses nudes à un prêtre ivoirien, la Boomeuse catholique condamnée pour fausse accusation de viol

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 octobre 2021

Personne n’empêchera les dévotes de faire l’œuvre de Dieu en couchant avec des nègres

Nous avons des nouvelles de l’Eglise Catholique et je ne parle pas de l’homosexualité endémique qui règne au sein de son clergé (blanc).

Je parle des chaisières blanches qui se consument de passion pour le phallus des prêtres venus d’Afrique (ré)évangéliser la France.

C’est simple : elles ont tellement envie de se faire bourriquer qu’elles agressent sexuellement ces pauvres noirs jusque dans leurs presbytères.

Le Figaro :

Une paroissienne qui avait accusé un prêtre de tentative de viol a été condamnée mercredi 6 octobre à trois mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse, a appris l’AFP auprès des avocats et du parquet. Le tribunal judiciaire de Senlis (Oise) a également condamné la sexagénaire à verser au prêtre, un quadragénaire de nationalité ivoirienne, 700 euros au titre du préjudice moral, près de 350 euros pour le préjudice matériel et 900 euros pour les frais de justice.

L’avocat du prêtre, Me Mathieu Marlot, a salué «une décision qui le rétablit dans son honneur même s’il a déploré les faibles montants alloués». «Quand vous calomniez, il en reste toujours quelque chose», a-t-il déploré, soulignant le «préjudice professionnel et d’image» subi par son client, qui a été déplacé de sa paroisse dans le cadre d’une enquête canonique et n’y est pas revenu.

«Ma cliente ne fera pas appel de cette décision qui la meurtrit et qui est assimilée à un désaveu judiciaire et canonique de sa parole, dont elle entend réaffirmer la véracité», a réagi l’avocat de la paroissienne, Me Maxime Gallier. «Persuadée d’avoir vécu des faits de nature sexuelle», elle «a l’espoir que l’Église saura à l’avenir être plus vigilante dans le recueil de la parole des victimes d’infractions sexuelles», a-t-il ajouté.

Cette femme mariée de 67 ans avait porté plainte en juillet 2019 pour tentative de viol contre le prêtre de la paroisse de Pont-Sainte-Maxence, mais sa plainte avait été classée sans suite par le parquet de Senlis. Les enquêteurs avaient découvert dans le téléphone du prêtre des messages d’amour et des photos dénudées de la plaignante. Messages que la prévenue a nié avoir envoyés, tandis que le prêtre a assuré en garde à vue lui avoir dit qu’une relation entre eux n’était pas possible en raison de son statut de prêtre.

«Je suis un homme de contact, comme tout bon Africain», a-t-il également expliqué, interrogé sur des gestes, enlacement ou main passée dans le dos, décrits par d’autres femmes. «On ne poursuit et ne condamne pas pour dénonciation calomnieuse, loin s’en faut, toutes les personnes qui se disent victimes de viol ou agression sexuelle et dont la plainte aboutit à un classement sans suite, il faut pouvoir prouver que la personne savait qu’elle mentait au moment où elle a dénoncé les faits», a souligné mercredi le procureur de Senlis, Jean-Baptiste Bladier.

Gardez-vous de penser que c’est un cas isolé.

Ce qui limite fortement les nuées de rombières qui fréquentent les églises de coucher avec les prêtres, c’est que nombre de ces messieurs, lorsqu’ils sont blancs, ne sont intéressés que par les jeunes demandeurs d’asile au teint hâlé.

C’est un siège quotidien fait d’appels téléphoniques incessants, de visites pour des futilités, de commérages. Tout est prétexte pour essayer de coincer le curé entre quatre murs, à l’abri des regards, pour le supplier de trousser promptement la dévote.

Maintenant, avec tous ces curés noirs strictement hétérosexuels et l’apparition du smartphone, véhicule de la domination culturelle de l’hypergamie féminine, ces très chrétiennes femmes blanches ne se retiennent plus. Dans ce cas d’espèce, notre prêtre ivoirien aurait sûrement franchi le pas si l’effet des 67 printemps sur la barbaque de la grenouille de bénitier n’avait sérieusement refroidi les élans tropicaux du pasteur.

Et quand l’affaire tourne mal, c’est-à-dire quand elles sont démasquées, nous récoltons un mélange de #MeToo et de pieux appels à la conversion de l’Eglise au féminisme virginal.

Ce simulacre de la vierge effarouchée est le mécanisme de défense sociale d’une femme tiraillée entre son impératif hypergame et le cadre culturel catholique monogame dans lequel elle évolue.

Avec sa hiérarchie masculine et son archétype féminin représenté par la Sainte Vierge, le catholicisme est devenu totalement obsolète dans une société centrée sur les impératifs sexuels féminins. Dans les faits, le fonctionnement des paroisses de l’Eglise est d’ailleurs largement délégué à des femmes laïcs qui adhèrent au féminisme ambiant et impriment leurs attentes hypergames sur la vie de l’Eglise Catholique.

C’est dans ce terreau post-masculin que fleurit la figure du migrant du tiers-monde qui va libérer la vieille ménopausée et le curé pédé de leur libido souffrante.

L’Eglise, désertée par les hommes du peuple, est toujours plus répulsive pour les mâles en raison des messages iréniques à tonalité exclusivement féminine qu’elle exprime. Il n’est question que « d’amour », de « tolérance », « d’ouverture », « d’écoute », tout le champ lexical de l’astrologie ou du soutien psychologique des revues féminines est mobilisé pour un public de femmes à chats. Les hommes savent que les églises ne sont pas pour eux.

Les hommes en manque de repères qui se tournent exceptionnellement vers l’Eglise essaient d’y trouver l’esprit belliqueux et viril des Croisades pour ne trouver qu’un décalque du discours de n’importe quelle ONG sans-frontiériste. Et surtout, des femmes.

Le non-dit quand on parle de la hiérarchie de l’Eglise Catholique, c’est que l’homosexualité séculaire organisée tient en respect le féminisme qui tente sans succès d’imposer l’ordination des femmes pour mettre le pied dans la porte.

Si le clergé catholique n’était pas masculin et homosexuel, la direction de l’Eglise Catholique aurait suivi la pente du protestantisme scandinave, livrée aux gouines alpha castratrices.

Dans cette Eglise désertée où l’hypergamie des femmes blanches a le champ libre, le prêtre nègre est le nouveau maître des paroisses. Il croule sous les propositions sexuelles les plus ahurissantes auquel il consent très chrétiennement.

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