Captain Harlock
Démocratie Participative
04 novembre 2021
La fosse septique malienne n’a pas fini de déborder.
Europe 1 :
L’ex-otage Sophie Pétronin est retournée au Mali depuis mars dernier. Pour l’heure l’humanitaire de 76 ans est « sous la protection d’un imam à Bamako« selon le journaliste Anthony Fouchard, proche de la famille Pétronin. Europe 1 fait le point sur le retour de l’ex-otage en terre malienne.
Un retour au Mali, et beaucoup de questions. Alors que la France s’était mobilisée pour obtenir sa libération, Sophie Pétronin est retournée au Mali depuis mars dernier. Officiellement, c’était un départ en vacances avec son fils Sébastien. Ils ont été autorisés à s’envoler de Genève pour Dakar, au Sénégal. Mais le périple s’est prolongé : pendant trois jours, ils se sont tapis au fond de bus ou accrochés à la selle de moto-taxi. L’ancienne humanitaire de 76 ans a ainsi pu passer la frontière malienne. Ce retour au Mali est la conséquence d’un brutal retour de captivité, souligne le journaliste Anthony Fouchard, proche de la famille Pétronin.
Je peux vous certifier que ce dossier a été géré par des femmes.
N’importe quel homme aurait immédiatement compris que cette vieille garce convertie à l’islam cherchait à repartir définitivement dans ce pays maudit pour se mettre aux services des islamistes. Il aurait non seulement stoppé la vieille Pétronin, mais aurait alerté les autres services compétents sur les projets de cette vieille carne.
Mais pas des femmes blanches.
Les femmes blanches se contentent de leurs émotions.
C’est ce qui les rend incapables de remplir la moindre responsabilité gouvernementale.
A présent que ce qui reste de l’Etat Français est devenu un employeur de substitution pour des tas de bourgeoises inutilement diplômées, ce genre de scénarios aberrants devient banal.
La vieille, aidée de son demeuré de fils, n’a eu qu’à pleurnicher à propos de sa « mission humaintaire » auprès d’une femme fonctionnaire pour obtenir l’autorisation de prendre le premier avion à destination du Mali.
Il raconte six mois de dépérissement de l’ancienne otage en Europe entre ses discours suicidaires et son inquiétude permanente pour sa fille adoptive de 19 ans, Zeinabou. Il rappelle ses efforts vains pour faire venir la jeune femme en Suisse, ses deux demandes de visa refusées. Son fils Sébastien finit par céder et aide sa mère à retrouver le sol malien qu’elle aime tant, qu’elle a foulé plus de vingt ans. Pour l’heure, Sophie Pétronin assure demeurer à Bamako, la capitale du Mali. Elle a fait part de sa surprise à Anthony Fouchard : selon elle les autorités maliennes sont au courant depuis des mois, rapporte-t-il à nos confrères de LCI, et elle s’étonne que ça dérange maintenant.
La vieille voulait importer sa négresse de compagnie en Suisse pour satisfaire ses émotions !
Cette négresse aurait eu tôt fait d’importer son village entier.
« Je suis à peu près comme tout le monde : choqué », a confié François-Xavier Freland ancien correspondant au Mali au micro de Romain Desarbres. « Sans vouloir participer à la curée médiatique, c’est sûr qu’elle a donné le bâton pour se faire battre », a fustigé l’auteur de Le Mali, au-delà du jihad. Rappelant l’attachement de Sophie Pétronin à la région, il a expliqué que cette dernière est « une aventurière », mais elle est aussi « très française parce que quelque part, elle se paye un caprice de riche ».
Selon le journaliste, Sophie Pétronin est actuellement sous la protection d’un imam à Bamako. « C’est très inquiétant » car ce même imam « soutient l’actuel régime de la junte, de l’actuel président de transition » et « défend un islam rigoriste ». Il a d’ailleurs « participé en sous main aux contacts avec le groupe qui avait pris en otage Sophie Pétronin » a-t-il déploré, « donc on voit bien qu’il y a une certaine ambiguïté ».
Il n’y a aucune ambiguïté. Ce journaliste ment, comme tous les journalistes.
C’est de la trahison pure et simple.
Sophie ne s’appelle pas Sophie mais « Mariam » depuis sa conversion à l’islam aux mains des djihadistes d’Al Qaeda. Quand elle a été libérée, elle délirait sur « allah » et « implorait » sa « miséricorde ». Voilée, bien entendu.
Le regard possédé de la pute à nègre ultime.
Elle est désormais à 100% derrière les islamistes du Mali et c’est à ce titre qu’elle a filé à Bamako pour y rejoindre l’imam en question qui la tient sous sa coupe.
C’est la façon dont les femmes blanches qui vont en Afrique servir les mâles négroïdes remercient les soldats français assez suicidaires pour s’exposer pour elles sur place.
Si demain les djihadistes veulent se payer la tête de Macron, ils n’ont qu’à mettre la main sur la vioque et la foutre dans une cahutte quelque part dans le Sahel à torcher le cul de bordées de négrillons, avant de demander au Quai d’Orsay une valise pleine de cash.
C’était prévisible.
C’était évident.
Et parce que c’était prévisible et évident, c’est arrivé quand même.
Parce que la France est un asile à ciel ouvert où les femmes blanches ont le feu vert pour donner libre cours à leur folie destructrice en écartant les cuisses devant les nègres et les arabes.
Cette vieille traînée devrait être arrêtée immédiatement, jugée de manière expéditive pour intelligence avec l’ennemi et exécutée.
C’est exactement ce qu’un état digne de ce nom ferait.
Mais la France comme état a passé la date de péremption.
Plus rien n’y est sérieux.