Captain Harlock
Démocratie Participative
20 décembre 2018
Bachar al-Assad a gagné la guerre.
« Les diplomates au Conseil de Sécurité de l’ONU : Assad a gagné la guerre en Syrie ».
Security Council diplomats at the #UN: Assad won the war in #Syria.
— Farnaz Fassihi (@farnazfassihi) 19 décembre 2018
Avec l’annonce surprise de Trump concernant le retrait rapide des troupes américaines de Syrie, les guerres juives au Moyen-Orient menées par l’Amérique touchent globalement à leur fin.
Ne reste plus que l’Afghanistan à évacuer et la débâcle des bellicistes juifs sera complète.
A cause de ce mauvais goy.
« Est-ce que les USA veulent être le gendarme du Moyen-Orient, n’obtenant RIEN hormis la perte de précieuses vies et des trilliards de dollars pour protéger d’autres qui, la plupart du temps, ne nous sont pas reconnaissants pour ce que nous faisons ? Voulons-nous être là-bas pour toujours ? Il est temps pour les autres de finalement se battre… »
Does the USA want to be the Policeman of the Middle East, getting NOTHING but spending precious lives and trillions of dollars protecting others who, in almost all cases, do not appreciate what we are doing? Do we want to be there forever? Time for others to finally fight…..
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 20 décembre 2018
Dans cette région, Trump a l’air décidé à ne plus faire autre chose que de vendre des armes et livrer quelques opérations aériennes ici et là, sans plus.
La meilleure politique avec les musulmans est de les aider à s’entretuer. Pas de leur apporter la « démocratie ». En dépit du fait que ces bêtes sauvages ne méritent pas de vivre, je considère comme inhumain de les contaminer avec ce cancer juif.
Macron, qui menaçait encore récemment Assad, va devoir ramener les quelques soldats qu’il a sur place en France.
Et reconnaître à son tour la défaite de ses maîtres juifs en Syrie.
Si Trump retire ses troupes de Syrie, les militaires français vont devoir plier bagages. Vous avez dit quoi ? « Autonomie stratégique » ?
— jean-do merchet (@jdomerchet) 19 décembre 2018
En fait, il est probable que Bachar al-Assad soit encore président quand Macron sera destitué par le peuple.
L’héroïque lion de Damas a remporté contre toute attente, au bout d’une guerre impitoyable de près de 8 ans contre la pire lie djihadiste soutenue par les juifs, une victoire totale sur la plus grande conspiration juive de l’histoire depuis la Seconde Guerre Mondiale.
Sans les Russes et les Iraniens, une telle victoire aurait été impossible, mais il fallait une intelligence diplomatique et politique hors du commun pour parvenir à naviguer victorieusement entre autant d’acteurs hostiles disposant de moyens financiers et militaires presque illimités.
Il faut réaliser que Bachar l’équilibriste, avec sa petite armée obsolète, a vaincu une coalition comprenant Israël, la finance juive internationale, les USA, l’UE, les pétromonarchies et la totalité des organisations djihadistes travaillant pour le compte de la juiverie. Sans compter, bien sûr, les traîtres logés au sein de l’Etat.
Voilà pourquoi, en dépit des situations les plus désespérées, il ne faut jamais renoncer et se battre jusqu’au bout.
Moralité : le juif n’est pas invincible
Quant aux Kurdes, ils sont finis. Leur seule option est de trouver un accord avec Assad pour sauver leurs têtes.
Les juifs perdent là leur principal allié.
Trump lache les Kurdes en Syrie, face aux menaces d’Erdogan. C’est eux qui ont pourtant combattu Daech au sol. Ma chronique Géopolitique du 7/9 @franceinter https://t.co/x76dsbAlMH
— pierre haski (@pierrehaski) 20 décembre 2018
Erdogan peut en faire des kebabs. Cela fera pleurer Bernard-Henri Lévy qui, décidément, vole de défaite en défaite.
Pour en revenir à Donald Trump, c’est le plus grand président des USA depuis un siècle. Il a spectaculairement inversé la dynamique expansionniste impulsée par la finance juive new-yorkaise en place depuis 1917.
La meilleure preuve de ce que le patriotisme US l’a emporté sur le globalisme juif est la démission du Général Mattis.
Etats-Unis : le chef du Pentagone claque la porte après l’annonce de Donald Trump sur la Syriehttps://t.co/9EoSB1cPMk pic.twitter.com/H58NSAEQBy
— franceinfo (@franceinfo) 21 décembre 2018
Plus aucun soldat occidental ne mourra pour le compte de ces ignobles juifs.
Il ne fait aucun doute que Trump va de la même façon se retirer d’Afghanistan et laisser ces animaux se dévorer entre eux.
Quand on repensera à tout ça, dans 30 ans, nos enfants se diront, « mais c’est incroyable à quel point nos parents étaient soumis aux juifs au point de vouloir rééduquer les fatmas de l’Hindu Kush jusqu’à en crever dans le dernier fossé du dernier village de ce trou maudit. »
Evidemment, j’ai déjà mes arguments, à titre personnel. Mais en effet, pour les Blancs en général, ces réflexions seront absolument justifiées.
Sauf peut-être de dire, « perso, c’était pour aligner des crouilles avec des super flingues ».
ET
En parallèle, Trump a enfin obtenu des fonds pour son Mur.
« Merci à nos GRANDS membres républicains du Congrès pour votre VOTE destiné à financier la sécurité frontalière et le Mur. Le résultat final était de 217-185 et beaucoup ont déclaré que l’enthousiasme était plus grand qu’ils aient jamais vu. Si fier de vous tous. Maintenant le Sénat ! »
Thank you to our GREAT Republican Members of Congress for your VOTE to fund Border Security and the Wall. The final numbers were 217-185 and many have said that the enthusiasm was greater than they have ever seen before. So proud of you all. Now on to the Senate!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 21 décembre 2018
Il l’a fait en menaçant de ne fermer le financement de l’Etat.
BREAKING: Speaker Ryan says Trump `will not sign’ bill to keep government open, citing dispute over border wall funding.
— The Associated Press (@AP) 20 décembre 2018
Les députés ont donc cédé.
Donc, en résumé, Trump met un terme à 30 ans de guerres juives au Moyen-Orient et obtient, le lendemain, les milliards de dollars dont il a besoin pour stopper les dealers marrons de venir violer des Blanches aux USA, au grand dam des youpins.
Ne manque plus que l’expulsion de 20 ou 30 millions de métèques et une loi interdisant aux non-Blancs d’acquérir la nationalité américaine et le tableau serait parfait. Mais en 4 ans, c’est peut-être un peu court.
Je ne sais pas.