La rédaction
Démocratie Participative
20 mars 2024
Le juif éternel
Nous devons marquer d’une pierre blanche le 7 octobre 2023, mais pas pour les raisons qu’avancent les juifs. Depuis cette date, ils sont révélés au monde entier leur visage hideux et ils n’ont plus l’intention de se cacher.
Jared Kushner a fait l’éloge du potentiel « à forte valeur » des « propriétés en bord de mer » de Gaza et a suggéré qu’Israël enlève les civils pendant qu’il « nettoie » la bande.
L’ancien marchand de biens, marié à la fille de Donald Trump, Ivanka, a livré ses commentaires lors d’une interview à l’université de Harvard le 15 février. L’entretien a été publié sur la chaîne YouTube de la Middle East Initiative, un programme de la Kennedy School of Government de Harvard, au début du mois.
M. Kushner était un conseiller principal en politique étrangère sous la présidence de M. Trump et a été chargé de préparer un plan de paix pour le Moyen-Orient. Les détracteurs de ce plan, qui prévoyait qu’Israël conclue des accords de normalisation avec les États du Golfe, ont déclaré qu’il contournait les questions relatives à l’avenir des Palestiniens.
Les remarques qu’il a formulées à Harvard ont donné un aperçu du type de politique au Moyen-Orient qui pourrait être menée si M. Trump revenait à la Maison-Blanche, notamment la recherche d’un accord de normalisation entre l’Arabie saoudite et Israël.
« Les propriétés situées au bord de l’eau à Gaza pourraient avoir une grande valeur […] si les gens se concentraient sur la création de moyens de subsistance », a déclaré M. Kushner à son interlocuteur, le professeur Tarek Masoud, président de la faculté de l’Initiative pour le Moyen-Orient. M. Kushner a également déploré « tout l’argent » qui a été consacré au réseau de tunnels et aux munitions du territoire plutôt qu’à l’éducation et à l’innovation.
Tout cet argent investi par la résistance palestinienne dans sa lutte contre l’armée juive… et dire qu’il aurait permis de bâtir des hôtels pour permettre à la fratrie de Meyer Habib de luire au soleil, imbibée d’huile solaire.
Heureusement, avec le nettoyage ethnique en cours, le devoir de mémoire et le souvenir de l’holocauste, les choses vont dans la bonne direction.
Il va y avoir de bonnes affaires à réaliser.
« La situation est un peu malheureuse, mais du point de vue d’Israël, je ferais de mon mieux pour faire partir les gens et ensuite nettoyer le territoire », a déclaré M. Kushner. « Mais je ne pense pas qu’Israël ait déclaré qu’il ne voulait pas que les gens reviennent ensuite. »
M. Kushner a également déclaré qu’il pensait qu’Israël devrait déplacer les civils de Gaza vers le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Kushner veut un vaste camp de concentration pour les indigènes, mais beaucoup plus loin que Gaza, au beau milieu du désert, tout au sud.
Bien sûr, ce serait aux goyim de payer ce projet, tout particulièrement les contribuables occidentaux.
Le juif Kushner veut toutefois disperser les victimes. Là aussi, il a une idée.
Il a déclaré que s’il était à la tête d’Israël, sa priorité numéro un serait de faire sortir les civils de la ville de Rafah, dans le sud du pays, et qu' »avec de la diplomatie », il pourrait être possible de les faire entrer en Égypte.
« Mais en plus de ça, je raserais quelque chose au bulldozer dans le Néguev et j’essaierais d’y faire aller des gens », a-t-il déclaré. « Je pense que c’est une meilleure option, pour que vous puissiez entrer et finir le travail. »
Il a réitéré son point de vue un peu plus tard, en déclarant : « Je pense qu’à l’heure actuelle, l’ouverture des frontières est une bonne chose : je pense qu’ouvrir le Néguev, y créer une zone sécurisée, y déplacer les civils, puis y aller et finir le travail serait la bonne solution. »
Cette suggestion a suscité une réaction de surprise de la part de Masoud. « Est-ce que c’est quelque chose dont on parle en Israël ? » demande Masoud. « Je veux dire que c’est la première fois que j’entends quelqu’un, à part le président Sisi [le dirigeant égyptien], suggérer que les habitants de Gaza qui tentent de fuir les combats pourraient se réfugier dans le Néguev. Est-ce que les gens en Israël parlent sérieusement de cette possibilité ? »
« Je ne sais pas », a répondu Kushner en haussant les épaules.
« Ce serait quelque chose sur lequel vous essayeriez de travailler ? a demandé Masoud.
« Je suis assis à Miami Beach en ce moment même », a répondu M. Kushner. « Je regarde la situation et je me demande ce que je ferais si j’étais là. »
Le destin des indigènes de Palestine se décide à Miami Beach. Et justement, Gaza pourrait devenir le Miami Beach juif.
« Je regarde la situation et je me demande ce que je ferais si j’étais là. »
C’est ainsi que vont les choses, dans le monde démocratique des juifs.
Interrogé par M. Masoud sur les craintes des Arabes de la région que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ne permette pas aux Palestiniens qui fuient Gaza de revenir, M. Kushner a marqué une pause avant de répondre : « Peut-être ».
Il a poursuivi en disant : « Je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup de choses à dire à ce sujet : je ne suis pas sûr qu’il reste grand-chose de Gaza à ce stade. Si vous pensez à la construction, Gaza n’était pas vraiment un précédent historique [sic]. C’est le résultat d’une guerre. Il y avait des tribus à différents endroits, puis Gaza est devenue une entité. L’Égypte la gérait et, au fil du temps, différents gouvernements s’y sont succédés. »
Répondant à une question sur l’opportunité pour les Palestiniens d’avoir leur propre État, M. Kushner a qualifié la proposition de « très mauvaise idée » qui « reviendrait essentiellement à récompenser un acte de terreur ».
J’aime entendre les juifs parler de terreur.
Il n’y a pas un crime de masse que le juif n’envisage pas d’exploiter financièrement. Ce sont les mêmes que nous retrouverons sur nos écrans se poser en prêtres des droits de l’homme et de la moralité universelle.
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