Capitaine Harlock
Démocratie Participative
31 janvier 2018
Nos lecteurs connaissent Ariane Brodier qui a récemment célébré avec force promotion (((médiatique))) sa déchéance raciale, peu après avoir déféqué un immonde bâtard de cafre.
Cette éponge à foutre nègre consacre désormais le reste de sa triste vie à essayer de légitimer les causes et les conséquences de cette même déchéance. Notamment en encourageant par tous les moyens les jeunes Blanches à se faire engrosser par des cafres pour que leur ADN rejoigne, comme le sien, le néant des savanes.
Concrètement, elle appelle à maximaliser le pullulement de cette basse humanité en demandant aux Blanches de financer des usines à nègres en Afrique, ceux-là mêmes qui demain se lanceront à l’assaut de l’Europe. Comme si ce continent maudit n’était déjà pas suffisamment gorgé de négrillons, sauvages et enfiévrés.
Comme il a déjà été dit ici : la mort raciale de cette traînée est une bonne nouvelle. Nous sommes définitivement débarrassés de la présence de ces gènes défectueux du corps.
Ce d’autant plus qu’elle respire la vulgarité et, par moment, semble atteinte de déficience mentale.
Je suis très heureuse à l’idée de vous annoncer ma collaboration avec Orchestra. Vidéos sketches collections capsules on vous réserve de nombreuses surprises cette année et vous allez y participer les filles !! ?❤️ pic.twitter.com/z8Y9IUyff1
— Ariane Brodier (@ArianeBrodier) 8 janvier 2018
Il est temps d’encourager cette pauvre femme à aller au bout du chemin : l’émigration en cafrerie avec le fruit ignoble de sa mésalliance :