Captain Harlock
Démocratie Participative
06 avril 2021
C’est le genre d’informations qu’il est urgent de transmettre à tous les drones atteints de vaccinite aigüe qui croient la délivrance proche une fois le poison de Pfizer ou d’AstraZeneca dans les veines.
France 3 :
Sept cas positifs le 27 mars à la covid-19 dans un Ehpad de Marckolsheim dans le Bas-Rhin chez des résidents vaccinés et le doute s’installe. La vaccination n’empêche pas la contamination mais limite le développement de formes graves de la maladie.
Sur la porte d’entrée de l’Ehpad de Marckolsheim, on peut lire que l’établissement est fermé au public depuis le 27 mars. En effet, 12 résidents ont été testés positifs à la covid-19, parmi eux sept avaient reçu la double injection du vaccin Pfizer. L’occasion de rappeler que la vaccination ne prémunit pas contre une éventuelle contamination mais permet en revanche de diminuer fortement le risque de développer des formes graves de la maladie. D’ailleurs parmi 12 les résidents positifs, trois ont été hospitalisés, deux n’avaient pas du tout été vaccinés et un n’avait eu qu’une seule injection.
Je n’ai jamais entendu le gouvernement insister sur le fait que la vaccination n’empêchait pas les contaminations. C’est d’ailleurs très exactement l’inverse : le gouvernement martèle l’impératif vaccinal pour convaincre la plèbe qu’une fois vaccinée, la vie « normale » reprendra en raison de la fin des contaminations.
Le poisson d’avril de Macron prend enfin tout son sens.
Vacciner, vacciner, vacciner.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) March 31, 2021
Les gens sont censés se faire vacciner 2 ou 3 fois par an, chaque année, bien que ce vaccin ne change rien au paradigme sanitaire actuel.
Les mesures de restriction voulues par l’hyperclasse resteront en place, à un degré ou à un autre, pour lutter contre une grosse grippe qui tue des octogénaires déjà mourants.
Le professeur Yves Hansmann, chef du service des maladies infectieuses au NHC de Strasbourg de confirmer. « Après la première injection, il faut compter 15 jours avant que l’immunité ne commence à se mettre en place. La quantité d’anticorps augmente ensuite progressivement puis intervient la seconde injection, trois semaines plus tard pour une immunité complète ». Mais encore une fois, cela ne signifie pas que l’on ne peut pas attraper le virus.
« Le vaccin est une bonne protection mais la probabilité de développer la maladie n’est pas nulle, explique Stéphane Gayet. Ce que les autorités demandent à ce vaccin, c’est de limiter les formes graves de la covid-19 pour ne pas engorger les hôpitaux, ajoute Yves Hansmann. On prend beaucoup Israël en exemple, mais avec la vaccination de masse, le fait est que le nombre d’hospitalisations a baissé. »
Les deux infectiologues misent surtout sur une immunité collective qui permettra de ralentir la circulation du virus et de nous sortir de cette crise. Et de rappeler que la vaccination ne signifie pas la fin des gestes barrières. « Un strict respect du port du masque, des distances physiques et de l’hygiène des mains limite la quantité de charges virales qui peuvent être reçues et donc là encore, de limiter les risques de développer des formes graves de la maladie », rappelle Stéphane Gayet. D’ailleurs, l’ARS a lancé une campagne de communication à destination du grand public pour le maintien des gestes barrières.
Ceux qui se ruent actuellement sur les vaccins de Big Pharma le font uniquement en se disant qu’ils pourront retrouver leur vie de 2019.
Le système a un autre projet.
Même vaccinés, vous devrez porter un masque et accepter d’avoir une vie sociale qui sera régulée par l’Etat grâce à la surveillance généralisée de vos mouvements.
C’est ce qu’explique Boris Johnson au bétail qu’il administre en Grande-Bretagne : pas de retour à la vie normale malgré la vaccination.
Tant que l’imposture de cette pandémie imaginaire ne sera pas dénoncée, cette dystopie perdurera.