AOC : « Les garçons ont tendance à prendre toute la place dans la cour de récré ? Ou vous laissez de l’espace aux filles ? »

La rédaction
Démocratie Participative
13 janvier 2024

 

Elle a un réel talent.

C’était déjà très bien l’histoire des gamins mis à Stanislas, mais là c’est presque mieux. Pas autant, mais pas loin de.

Cette grande parvenue n’a aucune intention de s’occuper de la désintégration du système scolaire français, puisqu’elle assume le fuire.

Exciter les masses avec des sujets de ce genre permet de détourner l’attention de l’opinion des problèmes structurels dont elle a théoriquement la charge.

À commencer par le fait que personne ne sait lire ou écrire en sortant de l’école française.

La discussion a vite dérivé.

Les communistes – quelque chose comme 80% de la population, c’est-à-dire le nombre de vaccinés – estime que la seule solution est d’interdire l’enseignement privé.

Ça doit théoriquement régler tous les problèmes générés par la scolarisation de l’Afrique.

J’ai déjà expliqué ici que si la France était normalement gouvernée, 700,000 profs auraient été fusillés depuis longtemps pour redresser le pays. Hélas cette idée n’a pas vraiment accroché et nous avons toujours cette masse hostile en charge d’opprimer les enfants.

Cette corporation de bandits est la malédiction de ce pays, bien plus nuisible que les juifs eux-mêmes. Depuis 150 ans, ils détruisent les esprits des enfants avec un fanatisme que rien ne dément. Le résultat, chacun l’a sous les yeux dans les rues.

Il n’y a pas une idée absurde que ces profs n’ont embrassé avec enthousiasme et appliqué avec zèle.

Par ailleurs, « PRIVÉ » suffit à faire exploser de rage les gauchistes dont les profs sont l’avant-garde révolutionnaire.

Stanislas ne représente pas le « privé » en France. C’est un établissement strictement réservé aux familles de la haute société parisienne.

Les écoles privées ordinaires, catholiques en l’occurrence, sont simplement mieux gérées, car plus blanches et plus à droite. Les parents sont aussi des clients, pas des usagers, ce qui modifie le rapport entre l’établissement et les parents d’élèves. Un fonctionnaire peut envoyer paître un parent, c’est un peu moins vrai dans le privé.

Si les gens voulaient une école publique fonctionnelle, il suffisait de ne pas voter à gauche et de ne pas laisser entrer l’Afrique. C’était très simple, vraiment. Au lieu de ça, face au désastre, ils commencent à avoir des envies de guillotine pour ravager les derniers trucs qui ont l’air de marcher.

Si demain l’État cesse de financer le privé, les parents des quelques 20% d’enfants qui y sont scolarisés n’auront aucune raison de payer des impôts pour assurer gratuitement la garderie à cafres publique.

Par ailleurs, il y a une limite fixée par l’État communiste. Les écoles privées ne peuvent pas accueillir plus de 20% du total d’élèves. Le spectre d’une « privatisation tous azimuts » est légalement impossible.

L’école publique est morte

Débattre du public n’a aucun intérêt. Cette administration est irréversiblement zombifiée.

Personnellement, je défends résolument le privé pour sauver ses enfants du cataclysme ethnique et cognitif qu’est ce ministère bolchevique qu’on appelle l’Éducation Nationale. Et c’est sans idéaliser le privé qui n’est pas hermétique à la dégénérescence ambiante.

Après, il y a des familles qui ne peuvent pas le faire.

En tout cas, je suis favorable à ce que l’on jette les enfants de macronistes dans les pires établissements de banlieue. Ces gens militent pour l’invasion, ils doivent goûter l’enrichissement culturel extraordinaire qu’elle représente.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.