Antisémitisme : une fleuriste de Valenciennes dépose plainte contre un réseau israélien qui avait siphonné son compte et celui de 3,000 autres goyim

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
03 novembre 2018

Une salope de fleuriste antisémite ose demander réparation.

On marche sur la tête.

La Voix du Nord :

Il y a quelques jours, Claude (1), une fleuriste établie dans le Valenciennois retrouvait enfin le sourire. Après de long mois où elle était restée cloîtrée dans le silence « car j’avais trop honte. Je n’ai parlé de cela à personne, pas même à mon entourage », nous confiait-elle en 2013. Lorsqu’elle a trouvé la force de se confier, à sa comptable, puis à ses proches, Claude a dû ensuite faire face à l’angoisse. Son livret A, son compte bancaire, celui de l’entreprise… Toutes ses économies, soit près de 14 000 €, y étaient passées, elle se retrouvait ruinée. Bernée qu’elle avait été par des sociétés peu scrupuleuses qui lui avaient fait miroiter des parutions dans des répertoires professionnels pour mieux faire connaître sa boutique.

Des associations, des commerçants, un diocèse ou même des banques… Claude ne le savait pas encore lorsqu’elle a déposé plainte auprès du procureur de Valenciennes en 2013. Mais à travers toute la France, 3 000 victimes sont tombées, comme elle, dans le panneau des annuaires professionnels. « On leur promettait des retombées, c’était faux. Je peux dire qu’on a vendu du vent », a reconnu, devant le tribunal correctionnel de Paris il y a quelques mois, le « commercial » de l’une des trente enseignes de référencement mises en cause. Les victimes payaient une première somme en pensant s’être acquitté de la prestation. Puis, une fois le délai de rétractation passé, on leur faisait comprendre qu’elles n’avaient payé que pour un mois et qu’elles devaient régler le reste. Quitte à intimider ou menacer les commerçants en se faisant passer, parfois, pour des huissiers, des avocats ou de faux gendarmes. « Ils m’avaient dit que si je ne payais pas, j’irai en prison, se souvient Claude. Encore aujourd’hui, j’ai toujours peur de répondre au téléphone car deux ans après, ils me relançaient encore ! »

Il y a quelques jours, Claude a appris la bonne nouvelle. Son nom figure dans la liste des victimes retenues comme partie civile. « Ils devront donc me rembourser », montre la commerçante en feuilletant l’épais dossier du tribunal correctionnel de Paris de plus de 200 pages. Y figurent les 3 000 victimes. Soit plus de 20 millions d’euros de préjudice à indemniser, au-delà des amendes qui grimpent jusqu’à 750 000 €. Parmi les 27 prévenus, deux ont été condamnés à cinq ans de prison, dont trois avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans. Il s’agit des têtes de réseau qui, depuis Israël, pilotaient les sociétés de référencement et les sociétés écran.

Sur ces entrefaites, je vous propose une vidéo d’Adolf Hitler.