Antisémitisme d’atmosphère : énorme flop du match « France – Israël »

La Rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2024

 

Le match entre l’Afrique et les juifs n’a pas attiré les foules.

C’est même assez inédit pour un match de l’équipe de France au Stade de France.

Les organisateurs ont balancé des fumigènes pour cacher la misère lors de l’hymne national.

L’hymne de l’état fictif appelé « Israël » est vraiment à l’image des juifs, geignard jusqu’à la nausée.

Flanqué de son ami Enrico Macias, fanatique soutien de l’armée juive, Meyer Habib a fait contre mauvaise fortune bon coeur.

Quand Meyer parle de « crapules », il parle des Français absents. Cela représente quelques dizaines de millions de personnes tout de même.

De son côté, la juive Sebban n’a pas caché son amertume face cet antisémitisme par défaut.

Le nombre de politiciens était quant à lui inversement proportionnel aux spectateurs, ce qui illustre assez bien le fonctionnement des démocraties en général.

Ces gens-là craignent bien davantage le pouvoir juif international que le peuple qu’ils prétendent représenter.

Cette surreprésentation est aussi proportionnellement inversée que le nombre de Blancs dans l’équipe de France par rapport à la population française.

Au passage, la lourde présence policière n’impliquait pas de protéger les Français dont plusieurs ont été tabassés réglementairement par les juifs, prunelle de la République.

Choquant.

Rappel : nous sommes le véritable CNews.

Tout ceci était donc un moment très peu français, avec très peu de Français.

C’est toute une philosophie que de défranciser la France.

Quand bien même vous seriez indifférent aux mille supplices que les juifs infligent aux assiégés de Gaza, même si je pense que c’est une erreur, vous avouerez qu’une association appelée « Vivre français » présidée par un Arabe d’Égypte qui assure le service après-vente des rabbins de Jérusalem est quand même très éloigné du quotidien de l’Auvergnat ou du Normand moyen.

Vous avez votre petit ruban jaune aussi ?

Moi non.

Je devrais peut-être. Pour guérir de mon antisémitisme, cette maladie inexplicable, si ce n’est par la jalousie maladive que les antisémites éprouvent vis-à-vis du peuple élu.

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