Captain Harlock
Démocratie Participative
27 mars 2021
La finance juive internationale a lâché ses drones antifas dans les rues birmanes pour semer la terreur rouge dans tout le pays
Le hashtag #AntiFascistRevolution2021 était en tendance sur Twitter, le réseau social qui a censuré il a quelques mois le président américain en exercice Donald Trump pour qu’il ne puisse pas s’opposer au putsch mené par l’état profond.
Cette « révolution antifasciste » soutenue par Twitter aujourd’hui concerne la Birmanie où George Soros essaie d’organiser une révolution de couleur après avoir échoué à déstabiliser le pays avec l’aide des islamistes.
Pendant que vous êtes là : l’armée birmane avait déjoué ce projet et expulsé 800,000 migrants clandestins musulmans qui semaient la terreur dans la partie orientale du pays.
L’armée birmane, soutenue par les patriotes et les forces spirituelles bouddhistes, ont intensifié la traque contre les bandes de Soros dans le pays.
Les arrestations de traîtres continuent.
In Yuzana, Dagon Seikkan;
Military terrorists shooting whoever they see; 2 injured & bodies are taken, 4 people also abducted for now. In video, terrorists brutally dragging the alive body.ANTIFASCIST REVOLUTION#WhatsHappeningInMyanmar #AntifascistRevolution2021 #Mar27Coup pic.twitter.com/5xJrkfzp5j
— ShnCrsn (@tawtartweleepal) March 27, 2021
Les médias juifs tentent d’exciter la haine contre la Birmanie libre mais c’est sans effet, la plupart des Français ne sachant même pas où est située la Birmanie.
Une démonstration de force. À l’occasion de la « journée des forces armées », l’armée birmane a fait défiler samedi 27 mars un impressionnant arsenal dans la capitale Naypyidaw. Dans le même temps, de nouvelles manifestations pro-démocratie ont été durement réprimées dans plusieurs villes du pays, faisant au moins 50 morts.
Quand les médias juifs évoquent des « bilans », comme en Syrie avec « l’Observatoire des Droits de l’Homme », on peut considérer que les chiffres sont par définition faux.
Les militants pro-démocratie avaient appelé à une nouvelle série de manifestations, samedi, jour où l’armée organise tous les ans un gigantesque défilé militaire dans la capitale Naypyidaw, devant le chef de l’armée désormais chef de la junte au pouvoir, le général Min Aung Hlaing.
Aux premières heures du jour, des milliers de soldats, des chars, des missiles et des hélicoptères se sont succédé sur une immense esplanade où était réuni un parterre de généraux et leurs invités, parmi lesquels des délégations russe et chinoise. Le général Min Aung Hlaing a de nouveau défendu l’organisation du coup d’État en raison de la fraude électorale présumée lors des élections de novembre, remportées par le parti d’Aung San Suu Kyi, et a juré qu’un « transfert de responsabilité de l’État » se produirait après des élections.
« Le Tatmadaw [l’armée birmane] recherche l’engagement de toute la nation », a-t-il déclaré dans un discours, ajoutant que les actes de « terrorisme qui peuvent nuire à la tranquillité et à la sécurité de l’État » sont inacceptables. « La démocratie que nous souhaitons serait une démocratie indisciplinée si la loi était violée et n’était pas respectée ».
Ce sont des propos de bon sens de la part du Très Aimé Général Min Aung Hlaing, un homme dont j’apprécie les qualités humaines.
On ne peut admettre que des terroristes financés par des milliardaires juifs établis aux USA comme Soros sèment le chaos dans les rues. Ou alors, il n’y a plus d’Etat.
Avant l’aube, les forces de sécurité avaient déjà réprimé les manifestants à Rangoun, la capitale économique du pays, tandis qu’un rassemblement d’étudiants à Lashio, dans l’État de Shan, dans le nord-est, a vu la police et les soldats ouvrir le feu sur la foule. « Les gens n’avaient pas commencé à manifester, aucun slogan n’avait été prononcé. L’armée et la police sont arrivées et leur ont tiré dessus à balles réelles sans lancer aucun avertissement », a raconté à l’AFP Mai Kaung Saing, un journaliste local.
Un sauveteur a confirmé qu’au moins trois manifestants étaient morts, corroborant les informations des médias locaux, mais son équipe n’a pas été en mesure de retirer les corps. « Nos sauveteurs ont essayé de les faire sortir lorsqu’ils ont été abattus, mais il y a eu tellement de tirs… », a-t-il déclaré.
À la mi-journée, des violences avaient éclaté dans plusieurs endroits du pays. À Rangoun, des panaches de fumée se sont élevés au-dessus de la ville, qui est devenue un point chaud pour les troubles ces dernières semaines. Un rassemblement avant l’aube, où les manifestants portaient des casques de vélo et étaient protégés par des barricades de sacs de sable – a dégénéré lorsque les soldats ont commencé à tirer sur des manifestants. « L’un d’eux a reçu une balle dans la tête et est mort à l’hôpital », a déclaré à l’AFP un manifestant sur les lieux, ajoutant que les forces de sécurité parcouraient toujours la zone et tiraient sans discernement.
Une poignée d’inconnus a dit des trucs aux militants d’extrême-gauche de l’Agence France Presse.
Je n’ai aucune raison de croire les communiqués des Antifas.
L’Union européenne et le Royaume-Uni ont condamné samedi les « meurtres » commis par l’armée à l’occasion de la journée des forces armées en Birmanie, où au moins 19 personnes ont trouvé la mort dans la répression de manifestations pro-démocratie.
« Cette soixante-seizième journée des forces armées restera gravée comme un jour de terreur et de déshonneur. Les meurtres de civils non armés, dont des enfants, sont des actes indéfendables », a annoncé l’ambassade de l’UE à Rangoun sur Twitter et Facebook, tandis que l’ambassadeur de du Royaume-Uni a estimé dans un communiqué que « les meurtres extrajudiciaires en disent long sur les priorités de la junte militaire ».
Ei Thinzar Maung, l’une des figures des manifestations anti-coup d’État, a exhorté la population à sortir dans la rue samedi. « Je prie tout le monde d’être en sécurité demain », a-t-elle posté sur les réseaux sociaux. « Nous gagnerons ça ! » « Le moment est venu de lutter contre l’oppression militaire », a-t-elle insisté.
L’armée birmane est si « terrible » que ces blattes de l’Union Européenne qui soutiennent les islamistes dans ce pays peuvent ouvertement insulter le gouvernement birman depuis la capitale birmane.
This 76th Myanmar armed forces day will stay engraved as a day of terror and dishonour. The killing of unarmed civilians, including children, are indefensible acts. The EU stands by the people of Myanmar and calls for an immediate end of violence and the restoration of democracy.
— EUMyanmar (@EUMyanmar) March 27, 2021
La coordination ne fait aucun doute.
Des provocations ont été montées en cette journée patriotique pour permettre aux médias juifs occidentaux de diffamer l’armée birmane. Les habituels agents d’influence ont payé des agitateurs pour semer le chaos dans certaines localités.
C’est ce qu’ils ont fait durant toute l’année 2020 pour déstabiliser Trump. Le fameux mouvement suprémaciste noir Black Lives Matter principalement composé de marxistes blancs et dirigé par une ancienne terroriste juive d’ultra-gauche proche de Clinton, Susan Rosenberg.
Déjà à Hong Kong, les meneurs étaient directement liés à l’ambassade des USA.
Nous connaissons les ficelles des juifs.
La résistance déterminée du monde bouddhiste aux menées du sémitisme organisé est indéniablement une source d’inspiration pour le monde aryen menacé par l’hydre hébraïque internationale.