Captain Harlock
Démocratie Participative
23 août 2021
De toutes mes réalisations dans la vie, la découverte d’Antastesia sur YouTube est celle dont je suis le plus fier.
Comme vous, j’étudie les femmes au quotidien et Antastesia est un objet particulièrement intéressant à étudier. Vous pouvez suivre son évolution au fil des années et voir les retombées radioactives du féminisme lentement remonter à la surface. Des choses enfouies et invisibles à l’œil surgissent brutalement, vous donnant constamment de la matière nouvelle à analyser.
Antastesia a déjà pour ainsi dire percuté le mur et le compte à rebours de la péremption reproductive est enclenché.
Typiquement, une nana qui entre dans cette phase commence à être sous pression, de mille façons différentes.
Dans sa dernière vidéo, elle explique justement ça.
Comme prof de français, c’est-à-dire comme une femme sans but dans la vie payée avec l’argent des gens qui travaillent, elle explique en avoir eu marre de l’école publique où, je cite, une ambiance de « favoritisme toxique » la mettait mal à l’aise. Les femmes ne s’expriment jamais clairement et blâment toujours l’environnement pour se justifier – comme les noirs, si vous voulez. Quand elle parle de favoritisme, elle veut dire qu’elle ne recevait pas l’attention qu’elle estimait devoir recevoir au regard de la valeur qu’elle s’accorde, laquelle est très élevée.
Généralement, c’est de l’attention de ses supérieurs masculins dont nous parlons.
Comprenez bien qu’une femme mesure l’attention qu’elle reçoit à ce que les hommes veulent bien lui céder matériellement. Ici, en l’espèce, de l’avancement ou une nomination.
S’ajoute à ça la présence de femmes plus jeunes et plus jolies qui lui font sentir que plus les années passent, moins elle est un objet d’attention. Ce qui par définition réduit toujours plus ce qu’elle pense pouvoir obtenir parce qu’elle a une chatte.
Je vous rappelle qu’on parle d’une nana qui montre ses seins quand ça lui chante.
C’est donc le moment de trouver un autre plan.
Antastesia s’est tournée vers l’enseignement catholique sous contrat, perdant ainsi son statut de fonctionnaire. Renoncer à son statut de fonctionnaire pour une femme blanche est l’équivalent du renoncement aux allocations familiales pour une femme d’Afrique Noire. C’est théoriquement impossible. Pour qu’Antastesia abandonne ce statut, c’est qu’elle s’auto-évalue de plus en plus haut et qu’elle pense pouvoir obtenir beaucoup plus d’attention ailleurs.
Comme c’est exactement l’inverse qui se produit dans la réalité, c’est généralement le moment où une nana dans le déni se radicalise dans ses pulsions narcissiques morbides.
Son plan alternatif a convergé tout naturellement avec le projet catholique pour la France. C’est-à-dire d’accueillir des millions de nègres pour incendier des cathédrales, assassiner des prêtres homosexuels sans-frontiéristes et coucher avec des femmes blanches.
Antastesia va donc devenir prof de français dans un établissement catholique où elle va « apprendre le français » à des nègres à 70 points de QI fraîchement venus du Mali où leurs frères de race continuent de tuer des Français de souche qui se sont engagés dans l’armée française.
C’est le rêve de toute femme blanche prof : être l’autorité matriarcale dans une pièce où sont concentrés des dizaines d’hommes de couleur sexuellement actifs.
Et d’être payée pour.
« C’est quelque chose que j’avais très, très envie de faire » (pourrir ton pool génétique pour satisfaire mes pulsions ovariennes)
La suite est assez évidente : faire des cours particuliers où les représentants de toute la planète viendront la baiser chez elle, participant ainsi à l’économie eschatologique de la Parousie post-blanche avec sanctification à la clef.
Sainte Antastesia offre sa chatte aux noirs et aux arabes en rédemption des péchés racistes de l’homme blanc. Admirez-la et dites lui merci avec un pouce bleu.
De là à dire qu’elle commettra un mulâtre ou un demi-pakistanais, il y a encore une petite marge. Probablement si l’un de ces métèques parvient à se présenter comme une sorte de poète dissident dont la famille a été massacrée quelque part dans son bled. C’est une option, avec à la clef un demi-pakistanais qui s’appellera Théo.
C’est le produit fini de la « liberté des femmes » en Occident : des pétasses blanches qui expliquent leur bonheur à l’idée de contribuer à la conquête de la terre de leurs ancêtres en échange d’un rush émotionnel et d’un flot continu de bites marron.
Ce matriarcat institutionnalisé converge avec la démographie expansionniste de l’Afrique et de l’Orient et la politique d’immigration maximaliste voulue par le grand patronat et la haute finance.
Pour être honnête, les hommes blancs sont les soutiens inconditionnels de ce système vaginocratique. C’est un constat objectif. Si les hommes blancs y étaient opposés, il leur faudrait environ 72 heures pour rétablir l’ordre patriarcal aboli dans les années 70. Il y aurait une crise de quelques traînées dans les rues qui serait écrasée en moins de deux heures par les forces de sécurité et puis plus rien.
Puisque les hommes blancs trouvent normal de laisser les femmes blanches détruire la civilisation occidentale, il n’y a aucune raison pour que cette civilisation ne soit pas détruite.
Laissez-moi vous dire autre chose : les musulmans ont un autre projet. Quand ils seront suffisamment nombreux, ils enverront des élus au parlement français et toutes ces lois féministes écrites par les juifs seront suspendues et vous n’entendrez aucun son échapper de la bouche des mêmes traînées qui hurlent actuellement quand on leur tient la porte.
Les musulmans sont parvenus à mémoriser ce principe de base : rien ne peut être fait à aucun niveau sans que les femmes ne restent à leur place.
Si des gens ont un problème avec l’islamisation, ils feraient bien de se donner les moyens de la juguler en renvoyant les femmes blanches à la cuisine avant que les musulmans ne le fassent pour eux – parce qu’ils le feront.
En attendant, vous pouvez disliker en masse la vidéo d’Antastesia en lui mettant un pouce rouge.