Wolf
Démocratie Participative
17 juillet 2017
Une mesure d’urgence absolue : interdire aux pompiers d’intervenir dans les enclaves islamiques de France.
Depuis plusieurs jours, l’ambiance est tendue dans le quartier de la Jonchère à Seynod. À la nuit tombée, des individus -adolescents et jeunes adultes- se livrent à du tapage (cris, musique “à fond”), suscitant des appels exaspérés d’habitants aux forces de l’ordre.
Ils s’en prennent aussi au mobilier urbain et aux conteneurs à déchets : « Sept abribus ont été brûlés ces dernières semaines », se désole Françoise Camusso, maire déléguée de Seynod.
Ce scénario s’est de nouveau produit jeudi soir, nécessitant l’intervention d’une quinzaine de gendarmes et de policiers municipaux jusqu’à une heure avancée de la nuit.
Le premier acte a mis en scène les pompiers. Appelés une première fois à 22 h13 pour un feu sur l’avenue de Champfleuri, ils ne trouvent pas d’incendie à leur arrivée, mais un comité d’accueil hostile : une dizaine d’individus cagoulés et équipés de battes. Le véhicule de secours rebrousse chemin.
À 22h51, nouvel appel, émanant cette fois de la rue de la Jonchère, à l’extrémité opposée du quartier. Une poubelle brûle, pour de bon cette fois.
Lorsque les pompiers arrivent, l’incendie a été éteint par des voisins, mais leur camion est criblé de projectiles : semble-t-il les fumigènes et les pétards d’un feu d’artifice improvisé au pied des immeubles.
L’agression contraint les pompiers à quitter les lieux sans avoir pu intervenir, après avoir alerté les forces de l’ordre.
Les tensions se sont semble-t-il poursuivies à l’arrivée de ces dernières. Un policier municipal a d’ailleurs déposé plainte pour insultes.
Selon la gendarmerie, ces soirées agitées à la Jonchère sont récurrentes depuis le dernier week-end de juin. Elles sont le fait d’« une poignée » de jeunes désœuvrés, qui cherchent à en découdre et à jouer à cache-cache avec les gendarmes. Mais aucune interpellation n’a eu lieu jusqu’à présent, faute de pouvoir prendre sur le fait les auteurs d’actes délictueux comme les incendies.
Dans ce quartier de logements majoritairement sociaux, récemment rénovés, où se côtoient des habitants de 27 nationalités différentes, Françoise Camusso déplore les agissements de quelques dizaines d’individus « entre 9 et 30 ans » (sic), « qui ont décidé d’embêter la population et sont dans l’agressivité permanente. »
Hier, elle se disait « dégoûtée, dépitée et triste, pour les habitants du quartier et pour ces jeunes qui se préparent un mauvais avenir. »
Invariablement et en dépit de sommes énormes déversées sur ces quartiers vérolés, nous apprenons ceci : les nègres et les bougnoules restent des nègres et des bougnoules.