Captain Harlock
Démocratie Participative
23 octobre 2020
Les idéologues de l’immigrationnisme aimaient souvent dire que la France avait besoin de « sang neuf ». Qu’il s’agisse d’un juif comme Axel Kahn ou d’un juif comme Nicolas Sarközy, il y avait là un consensus.
La femme de Nicolas Sarközy, Carla Bruni-Tedeschi, parlait à ce sujet du « vieux sang pourri des Français » lorsqu’elle faisait la fête à l’Elysée.
Je dois dire que je n’y croyais pas mais je me trompais.
Grâce au sang arabo-négroïde qui coule désormais dans les veines de la gauche radicale, les vieilles organisations marxistes passées dans le camp de la République bourgeoise retrouvent une vigueur révolutionnaire nouvelle.
C’est donc vrai, il fallait du sang neuf et du sang neuf, nous avons.
L’ethno-gauchiste maghrébin Anasse Kazib, souvent présent chez les Grandes Gueules, a refusé l’Union Sacrée que le très décevant frère trois points Mélenchon, de plus en plus usé, a ratifié sur le dos des tchétchènes. Il le dit en compagnie du frère musulman Marwan Muhammad.
Suite à la décapitation d’un enseignant, Anasse Kazib, accompagné de Marwan Muhammad du CCIF et de Youcef Brakni du Comité Adama, appelle solennellement toutes les organisations de gauche à ne pas « tomber » dans l’unité nationale et les valeurs républicaines. pic.twitter.com/y6TliC61Ga
— La Mucio (@Mucio25448358) October 23, 2020
En soi, le concept « d’unité nationale » dans un pays multiracial est un oxymore. Si ces musulmans en conviennent, que ce soit en invoquant Allah comme Marwan Muhammad ou bien en régurgitant un gloubiboulga vaguement marxiste comme Anasse Kazib, ce sera suffisant.
Contre la Cinquième Putain métisseuse et sans-frontiériste juive, nous pouvons trouver un terrain d’entente minimal avec cette nouvelle gauche radicale et les quelques 15 millions d’allogènes dont elle reprend et répand les sentiments, c’est-à-dire la séparation.
Nous ne voulons pas d’eux et ils ne veulent pas de nous, c’est amplement suffisant pour bâtir un projet de société alternatif : l’apartheid. « Peu importe la couleur du chat tant qu’il attrape des souris », comme disait Deng Xiaoping. Tout ce qui peut contribuer à la division irréversible de cette machine à détruire les populations blanches qu’est la société cosmopolite de consommation sonne à nos oreilles comme une formidable nouvelle.
Le Roi du Maroc avait dit l’évidence.
Ce projet séparatiste est bien plus réaliste, moral et raisonnable que de servir de roue de secours à la Gueuse et aux juifs qui, quoi qu’il arrive, essaieront toujours de dire aux bougnoules, « nan mais nous on vous aime bien, c’est les fachos qu’il faut tuer hein ».
— Charlie Hebdo (@Charlie_Hebdo_) October 22, 2020
La partition s’organise déjà passivement à coup de white flight et de contournement de la carte scolaire, véritable sport national à Boboland. Ce processus ira en s’amplifiant, organiquement, du seul fait du basculement démographique qui découle de l’immigration de masse voulue par les sphères dirigeantes. Ces sphères ne vont pas ralentir l’immigration, encore moins la stopper.
Les services de renseignement n’y peuvent rien. Ce n’est pas dans leurs attributions de déterminer une politique. Ils ont uniquement pour mission de limiter le nombre de morts pour que tout ça ne fasse pas trop désordre à la télé. Le raccourcissement inopiné du prof de gauche Samuel Paty a montré les limites de la solution antiterroriste comme filet de sécurité de la diversité laïque et obligatoire. Les renseignements sont aux ordres de politiciens démocrates stupides et corrompus qui mènent la France au désastre complet, exactement la classe politique l’avait fait en 1940. On ne change pas une équipe qui perd.
Pendant que les renseignements scrutent des canaux Telegram pour voir si un blédard est sur le point d’égorger un prof, la véritable déstabilisation de l’Etat Français a lieu ailleurs.
Dans les maternités, sous les vivats des préfets.
Rappel : tous les immigrés ne sont pas musulmans, ce n’est qu’une partie de l’immigration extra-européenne
Le démantèlement de la république française est enclenché. Il faut en tirer le meilleur parti racial possible.
Ici nous avons ouvert la première phase de discussion autour du projet dit de « Grande Bourgogne Blanche« . L’idée à ce stade est de diffuser le concept fondamental : se séparer des allogènes pour vivre entre Blancs sur un/des territoire(s) donné(s).
Il faut continuer à en discuter, à faire connaître l’idée. La demande blanche ne va faire que croître dans les années à venir et nous ne sommes qu’au début de ce processus de migration intérieure et de partition territoriale sur base ethnique, raciale et religieuse.
Pour ce qui est de la phase active, pour notre part nous comptons proposer un système qui passera par l’acquisition localisée de biens immobiliers dans des zones sélectionnées à cet effet pour des personnes voulant se réunir dans un certain rayon. Les gens qui voudront agir via ce système devront verser préalablement le montant du bien qu’ils veulent acquérir, c’est un filtre très efficace. Les personnes qui ne voudront pas passer par un tel système devront s’organiser par elles-mêmes pour créer des communautés tout en sachant que la police politique fera tout pour les repérer.