Amiens : Macron sifflé par les ouvriers de Whirlpool, Marine Le Pen reçue triomphalement

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2017

 

Macron, le laquais de la finance internationale, a connu une sérieuse défaite médiatique. Marine Le Pen s’est rendue ce matin à l’usine Whirlpool, près d’Amiens, qui va être fermée pour être délocalisée vers l’Europe de l’Est.

Elle y a été reçue triomphalement par les ouvriers. Il n’y a pas d’autres mots.

On ne doit jamais perdre de vue une chose au plan politique : la classe ouvrière est la plus en phase avec la réalité, celle qui, avec les paysans, a un ressenti pratique que n’ont pas les salariés du secteur tertiaire ou de certains secteurs de la fonction publique.

Comme l’affirmait Adolf Hitler à l’usine Siemens, le 10 novembre 1933 : « seules deux classes m’ont donné le courage d’accomplir cette tâche gigantesque : les paysans et les travailleurs allemands ».

Il suffit de faire le test : un ouvrier comprend l’immigration d’instinct tandis que les « intellectuels » sont pratiquement incapables d’appréhender cette question autrement qu’en termes moraux petit-bourgeois.

Quoiqu’il en soit, c’est un désastre médiatique pour l’idiot utile des juifs.

Dans le même discours, Adolf Hitler soulignait le rôle de l’ennemi éternel des peuples.

Naïfs ceux qui pensent qu’il s’agit là d’une coïncidence.

C’est Attali qui préfigurait cette erreur grossière.

Ce que je souligne ici, c’est l’inévitable question sociale que seule la formule nationale-socialiste résout, indépendamment des pays européens concernés.

Le Front National, parti le moins éloigné de cette formule, est d’instinct identifié par les masses ouvrières comme un bouclier. C’est cette direction générale qu’il faut avoir à l’esprit.