Alsace : Sciences Po interdit les partenariats avec les universités juives

La Rédaction
Démocratie Participative
31 octobre 2024

 

Que ce soit contre les états ou les individus qu’ils veulent écraser, l’arme de prédilection des juifs est l’asphyxie par blocus. La raison en est simple : ils contrôlent les flux financiers et les flux d’informations.

Cependant, les choses bougent.

C’est au tour de leur quartier général en Palestine d’être à son tour l’objet d’un embargo.

Sciences Po est officiellement judenfrei.

L’occupation gémit.

L’histoire de la juiverie en Alsace est haute en couleur.

Cette race était si nuisible et honnie qu’à la nuit venue on soufflait dans le cor depuis le toit de la cathédrale pour enjoindre les juifs de quitter Strasbourg.

Ensuite, ce furent les cloches. De leur véritable nom « Judenglock », la « cloche aux juifs ».

C’est un glorieux héritage d’une féroce lutte entre les Strasbourgeois, en 1349, et la juiverie bunkerisée dans la ville.

Bien que les juifs furent protégés par l’oligarchie municipale, les révolutionnaires, soutenus par le peuple, renversèrent le maire et mirent la main sur les yids insolents avant de les brûler collectivement sur un large bûcher. Une foule immense exulta à la vue de plus de 2,000 de leurs persécuteurs partir en fumée.

Quoique diminuée, la juiverie alsacienne continua d’intriguer contre la France jusqu’en 1789, arrachant leur odieuse « égalité de droits » en 1791. Libres d’agir grâce à l’impunité démocratique, ils mirent le pays en coupes réglées en un siècle, tout particulièrement grâce à l’action du juif alsacien Dreyfus.

C’est peu dire que l’Alsace est une base offensive juive tournée contre les goyim depuis des siècles.

Cette audacieuse opération de Sciences Po est un coup très sévère porté à la juiverie dans l’un de ses bastions historiques.

Ses sbires hurlent en conséquence.

Le RN mariniste, désormais aile radicale du Likoud, appelle à des frappes aériennes contre la ville.

Certes, cette école est un repaire de zadistes et de gouines, mais comme le disait le leader communiste Deng Xiaoping à propos de l’économie :

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