Captain Harlock
Démocratie Participative
28 novembre 2019
La liberté de conscience est vraiment en danger en France.
Ces juifs sont déchaînés contre le culte rendu à Bouddha.
Une croix gammée nazie, des inscriptions antisémites et racistes… C’est comme un air de déjà vu en Alsace, sur les murs de la mairie-école de Rohr (Bas-Rhin), située rue de l’École (voir carte en bas d’article). Des graffitis, comme « Demandeurs asile = stop » ont été découvert le mardi 26 novembre 2019 par la directrice de l’école, alors qu’elle arrivait pour travailler à 8h10.
Oui, « stop ».
Et ?
Les racailles de cité passent leur vie à saloper le moindre mur de la dernière ville française sans que ces gens ne trouvent rien à redire.
Quelle tyrannie sémitique.
Les inscriptions ont été peintes en rouge. Une croix gammée nazie a été tracée sur la porte vitrée de la mairie. Sur le mur entre les deux entrées de la partie salle polyvalente de la mairie, il y a écrit : « Demandeurs asile = stop ». Et sur le mur soutenant le préau de l’école, juste à côté de la porte d’une des salles de classe : « Cim juif westofen EWK » (sic). Westhoffen est mal orthographiée (un cimetière israélite s’y trouve bien), et « EWK » ressemble à une signature.
Le maire de la commune de 291 âmes, Jean-Luc Toussaint, a déclaré par téléphone à France 3 Alsace : « Malheureusement, ça semble arriver souvent en Alsace… Je ne comprends pas, on n’a ni cimetière juif, ni d’accueil de réfugiés; et ce n’est pas une excuse d’abord. Si on en avait, ce serait quand même de la bêtise d’écrire ça aux murs ! […] C’est un acte odieux, s’amuser ainsi à semer la haine et la division entre les personnes. Et ce n’est pas la peine de continuer à asservir nos murs avec ces messages. »
« Blabla, on aime tout le monde, blabla… oh un attentat, c’est triste, blabla… tu divises, blabla »
Le consistoire israélite du Bas-Rhin l’a appelé pour récupérer les photographies des inscriptions, et le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) lui a envoyé un courriel. Deux maires lui ont également apporté leur soutien.
Tiens, les agents d’Israël et les communistes, main dans la main.
Pour changer.
La députée Martine Wonner (LREM), dont la circonscription comprend Rohr, condamne « avec la plus grande fermeté ces actes inqualifiables » et tient « à rappeler que le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions, mais des délits punis par la loi : les coupables devront être condamnés à la hauteur de la gravité de ces actes ». Elle souligne « un contexte sociétal particulier, où chaque jour le vivre-ensemble est un peu plus fragilisé » et appelle « au sursaut républicain et au respect des libertés fondamentales dans notre pays, au premier rang desquels la liberté de croire ou de ne pas croire ».
Justement, il serait temps que la liberté de ne pas se convertir à l’islam sous menace d’égorgement soit reconnu et respecté.
Ce que ces gens refusent visiblement d’accepter.
Ces inscriptions rappellent celles retrouvées sur les mairies de Thal-Marmoutier et Haegen en juillet 2018, la maison du maire de Brumath en novembre 2018, la permanence du député Bruno Studer à Schiltigheim en janvier 2019, un centre de demande d’asile strasbourgeois en janvier 2019 également, et sur la mairie de Schirrhoffen en juillet 2019. On peut aussi voir un parallèle avec les tags retrouvés au cimetière juif d’Herrlisheim en décembre 2018 et à celui de Quatzenheim en février 2019, ainsi que les dégradations commises à la synagogue de Mommenheim en mars 2019.
Les bouddhistes ne font que réagir à l’agression.