La rédaction
Démocratie Participative
26 septembre 2023
Une gamine de 15 ans fringuée comme une clubeuse émancipée de 28 ans, rien ne cloche du tout dans cette photo
Il est totalement normal de laisser sa fille de 15 ans marcher seule pendant des kilomètres jusqu’à une gare pour se rendre ensuite dans une grande ville voir son « mec ».
C’est exactement comme ça que l’on doit éduquer ses filles mineures.
Elle s’est volatilisée alors qu’elle se rendait à la gare. Lina, 15 ans, n’a plus donné signe de vie depuis samedi, en fin de matinée, dans le secteur de Saint-Blaise-la-Roche, une petite commune d’environ 230 habitants dans le Bas-Rhin, située à une soixantaine de kilomètres de Strasbourg. Alertée vers 14 heures, le jour même, la gendarmerie a lancé un appel à témoins. Une enquête pour disparition inquiétante, pilotée par le parquet de Saverne, a été confiée à la section de recherches de Strasbourg. Des premières fouilles ont eu lieu dès samedi, avec l’appui d’une équipe cynophile et d’un hélicoptère. Elles se poursuivent, mardi 26 septembre.
Dans son appel à témoin lancé samedi, la gendarmerie précise que Lina a les cheveux blonds mi-longs et mesure 1m60. Le jour de sa disparition, elle était vêtue d’une robe grise, d’une doudoune blanche et de chaussures Converse blanches. La gendarmerie n’a pas diffusé de portrait de la jeune fille, mais renvoie vers un appel publié sur une page Facebook, « Info Trafic Bas-Rhin ».
Selon les gendarmes, elle est partie samedi, vers 11 heures, de son domicile situé dans la petite commune de Plaine, dans la vallée de la Bruche, pour se rendre à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, distante de trois kilomètres. Elle devait y prendre un train à 12h03 en direction de Strasbourg, pour y retrouver son petit ami. Ce dernier, ne la voyant pas arriver, « a immédiatement donné l’alerte à la famille » de la jeune fille, relate le parquet de Saverne.
Selon la gendarmerie, Lina a marché de son domicile à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, située à trois kilomètres de son domicile, en empruntant la route D350. Elle devait ensuite emprunter une piste cyclable sur la dernière partie du trajet. Des vérifications menées sur place ont permis d’affirmer qu’elle n’était pas montée dans le train, précise le parquet de Saverne lundi. « Certes, le chemin qu’elle empruntait de chez elle jusqu’à la gare est dans un endroit où il n’y a pas trop de maisons et où il y a un petit peu de circulation, mais ce n’est pas un coupe-gorge », affirme à BFMTV Patricia Simoni, la maire de Plaine, la commune de résidence de l’adolescente.
Ce n’est jamais un coupe-gorge jusqu’à ce qu’une gorge y soit coupée.
Aucune piste n’est pour l’instant privilégiée, selon la procureure de Saverne, qui souligne que Lina n’est pas connue pour des faits de fugues. « C’est une famille sans problème particulier à ma connaissance », assure la maire de la Plaine à France 3. « Des investigations téléphoniques » ont été ordonnées par le parquet.
Des opérations de ratissage sont également menées depuis samedi sur les lieux de la possible disparition avec le renfort d’une équipe cynophile, d’un hélicoptère et de drones. Lundi, plus de cent volontaires ont participé à une battue, après un appel lancé par la famille de la disparue, rapporte France Bleu Alsace.
La mère de la jeune fille a brièvement pris la parole devant les journalistes, lundi après-midi. « Ma fille Lina, 15 ans, a disparu samedi matin. Elle a dû partir de la maison à 11h (…) Vers 11H20 elle a envoyé un message à son petit ami, c’est la dernière fois qu’on a eu des contacts avec elle (…) », a-t-elle notamment expliqué, très émue. Elle a remercié toutes les personnes qui participent aux recherches et la gendarmerie, « pour sa réactivité ».
D’abord, où est le père ?
C’est à lui de parler, pas à la femme.
Où est-il ?
Ensuite, si cette mère avait interdit à sa fille de sortir seule pour aller à des dizaines de kilomètres, peut-être que sa fille serait encore chez elle, en sûreté ?
Il y a encore quelques décennies, c’était l’évidence. Aujourd’hui, les adolescentes de 14 ou 15 ans ont déjà un smartphone, portent des fringues moulants, couchent et n’ont aucune espère d’autorité paternelle pour surveiller leurs faits et gestes.
L’idée qu’il puisse en exister une est activement combattue par cette société vaginocratique.
Résultat, les millions de bêtes sauvages importées d’Afrique et du Moyen-Orient par Emmanuel Macron et ses prédécesseurs peuvent chasser le gibier blanc sans aucun obstacle. Sans parler des détraqués habituels.
Ce n’est pas la police de Darmanin qui va les arrêter.
Quand on a une fille de 15 ans, elle reste à la maison. Elle n’a pas non plus de smartphone, ni de « mec », et n’est pas habillée comme une jeune catin.
Et pas de maquillage, ni de faux-cils, bien sûr.
C’est très simple comme concept.
À un moment donné, les Blancs adeptes du féminisme doivent réapprendre les bases à la dure.
Sans souffrir, ils ne comprennent rien et ne veulent rien comprendre.
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