Sigmar Polaris
Démocratie Participative
10 mars 2021
Vous n’empêcherez pas les Françaises de se donner aux clandestins musulmans.
C’est une liaison dangereuse qui a conduit Vanessa, une jeune femme de 33 ans, native d’Agen (Lot-et-Garonne), devant le tribunal correctionnel de Grasse, vendredi dernier.
Un amour interdit, en tout cas devant la loi, puisque la prévenue était poursuivie pour atteinte sexuelle sur un mineur de plus de 15 ans en abusant de l’autorité de sa personne. Cette mère de famille avait accueilli à son domicile A., un mineur étranger isolé, âgé de 16 ans, de nationalité tunisienne.
Placé auprès d’elle par le département et le juge pour enfant, après avis favorable notamment sur les conditions d’hébergement, elle avait de fait le statut « de tiers digne de confiance ».
Salariée dans un salon de coiffure, Vanessa avait d’abord pris en charge le jeune A. pour effectuer un stage dans le cadre d’un apprentissage avant de l’accueillir à son domicile qu’elle partageait avec son fils et son compagnon. Peu à peu une liaison amoureuse s’est nouée.
Tout semblait se dérouler en bonne harmonie, durant cette période de septembre 2019 à l’été 2020 entre cette famille d’accueil et le jeune homme « en grande fragilité sociale et vulnérable psychologiquement, avec de nombreuses déficiences » comme le précisera Me William Hoenig à la partie civile.
Mais la situation va se dégrader et la relation ambiguë entre Vanessa et son protégé qu’elle trouve « irrespectueux et sorti du cadre éducatif ». Le juge place le mineur à nouveau en foyer.
Des confidences auprès du directeur, relatant des relations sexuelles, « dans la forêt aux alentours » et des messages sur le portable de Vanessa permettent de mieux cerner cette relation entre deux êtres qui ont en commun des « situations de désespoir ».
« J’étais en souffrance, j’ai eu un moment de faiblesse. C’est vrai qu’a sa majorité il était prévu d’officialiser cette relation, même de se marier et ce n’était pas pour lui donner des papiers en règle! » avouera timidement la jeune femme à la barre, menue et élégante, s’exprimant calmement.
Pour le procureur de la République Caroline Blasco: « On est dans une relation d’autorité du début à la fin, avec un contexte amoureux. Il y a mélange des genres ».
Elle requiert six mois de prison avec un sursis simple. Pour Me David Verany à la défense de sa cliente: « On n’est pas dans un tribunal de la morale. Il n’y a pas de caractérisation de l’abus d’autorité » car pour l’avocat la chronologie des faits a de l’importance, ils se sont déroulés hors du domicile alors que A. était en foyer.
Le tribunal suivra les réquisitions du ministère public et condamnera Vanessa à 6 mois avec sursis simple et inscription au FIGAIS (1).
(1) – Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes
Toute Française a le droit d’avoir autant d’esclaves sexuels africains qu’elle le souhaite, bande de sales racistes.