Le Libre Panzer
Démocratie Participative
05 juin 2019
Ces sales Nazis vont indemniser les juifs pour avoir laissé entrer des antisémites syriens sur ordre des juifs dans le but de lutter contre le Nazisme.
Le constructeur automobile allemand Volkswagen s’est associé à l’Anti-Defamation League (ADL) basée aux Etats-Unis pour financer un bureau à Berlin chargé de mener des recherches et de lutter contre l’antisémitisme en Europe.
Pour ceux qui ne connaissent pas cette organisation juive américaine, un visionnage rapide de cet extrait où ses responsables escroquent des responsables ukrainiens devrait les éclairer.
L’argent et le pouvoir, c’est ce dont il est question.
« L’initiative se focalisera sur la mise en évidence des racines de l’antisémitisme, de l’extrémisme et de l’intolérance dans la société et développera des programmes pour s’y opposer grâce à des programme de sensibilisation et d’éducation », a déclaré l’ADL dans un communiqué mardi.
Les racines de l’antisémitisme, selon les juifs, se trouvent chez les goyim.
C’est faux : le juif est la seule cause de l’antisémitisme. L’antisémitisme est une réaction naturelle à l’agression permanente du juif contre les goyim.
C’est ce qu’a exposé très honnêtement le juif repenti Roger Dommergue.
L’objectif de l’ADL n’est pas de mettre en évidence les racines de l’antisémitisme mais a contrario de les occulter en accusant le peuple allemand.
Un porte-parole de Volkswagen a déclaré au JTA que l’initiative permettra d’ouvrir un bureau de l’ADL à Berlin, la première présence de l’ADL en Europe depuis plus d’une décennie. Le financement, qui s’étalera sur 3 ans, doit être un montant à sept chiffres, a déclaré le responsable, avec une possibilité d’élargir et de continuer l’initiative ensuite.
7 chiffres
Pourquoi pas 6,000,000 d’euros ?
Herbert Diess, le PDG du groupe Volkswagen, le plus grand fabricant automobile dans le monde, a annoncé l’initiative lundi, lors de la conférence annuelle de l’ADL à Washington. Dans un entretien accordé au JTA, il s’est dit préoccupé par la récente montée de l’antisémitisme en Europe, et pense que Volkswagen porte une obligation spéciale de lutter contre le racisme à cause de ses racines dans l’Allemagne nazie.
« Nous avons plus d’obligations que d’autres », a-t-il dit. Toute l’entreprise a été construite par le régime nazi ».
Vous pouvez admirer la gratitude de ceux qui doivent tout à leurs pères mais préfèrent s’agenouiller devant les juifs qui les volent.
Combien de voitures ont produit les juifs pour l’Allemagne ?
L’initiative se focalisera sur quatre éléments : l’éducation dans les écoles, la formation sur les lieux de travail, le lobbying dans les capitales européennes et la recherche grâce à des études.
Ce projet survient quelques mois après que Diess a fait l’objet de critiques – et de questions sur son avenir – après avoir fait référence à une expression utilisée par le régime nazi.
Lors d’une réunion en mars, le PDG de Volkswagen a en effet déclaré à ses managers : « Ebit macht frei », que l’on pourrait traduire par « le profit rend libre », ce qui semblait être un jeu de mot avec « Arbeit macht frei », ou le « travail rend libre ». Ebit est l’acronyme anglais pour « les recettes avant intérêts et taxes ».
Diess s’est ensuite excusé pour sa remarque, disant que c’était « vraiment un mauvais choix de mots ».
« A aucun moment, je n’ai eu l’intention de placer cette phrase dans un mauvais contexte. A ce moment là, je n’ai tout simplement pas pensé à cette possibilité », a-t-il dit, cité par la BBC.
Volkswagen a été fondée en 1930 par un syndicat nazi et, pendant la Deuxième Guerre mondiale, le groupe s’est servi des prisonniers des camps de concentration comme d’esclaves pour ses usines.
Si l’expression « Arbeit macht frei » vient du 19e siècle, elle est principalement associée au nazisme, qui a affiché l’expression sur le portail d’Auschwitz et d’autres camps de concentration.
Les juifs commettent les crimes, les goyim s’en excusent et paient.
Il n’y a pas de meilleur business que le shoah business.