Captain Harlock
Démocratie Participative
23 décembre 2019
Les gens en ont marre des histoires écrites au stylo Bic par les juifs.
Europe 1 :
Dans un lycée de l’Est de l’Allemagne, des professeurs qui voulaient préparer la visite scolaire d’un camp de concentration avec l’étude du « Journal d’Anne Frank » ont été submergés par les mails de protestation des parents. Signe que le révisionnisme et l’antisémitisme gagnent du terrain.
Des parents qui refusent que leurs enfants participent à une sortie scolaire, cela arrive. Mais lorsqu’il s’agit de la visite d’un camp de concentration et que cette anecdote se passe en Allemagne, cela rappelle de mauvais souvenirs. Dans un établissement scolaire de l’Est du pays, tout près de la frontière tchèque, des professeurs ont voulu préparer la visite du camp de concentration de Buchenwald. Pour ce faire, ils avaient prévu la lecture et l’étude en classe du Journal d’Anne Frank.
Ils ont été submergés par les mails de protestation des parents, pour qui le journal intime de cette jeune fille juive cachée pendant la Seconde Guerre mondiale ne présenterait qu’une seule vision de l’Histoire et ne serait plus au goût du jour. Des propos repris, en réalité, des revendications du parti d’extrême droite allemand, l’AfD. Celui-ci demande dans son programme électoral qu’une place moindre soit accordée à l’étude de l’Holocauste à l’école. Le parti enregistre des records électoraux dans cette région, jusqu’à 40 % des voix.
Ce révisionnisme ne surprend pas Meron Mendel. « Cela ne vient pas que de parents mais aussi souvent des enseignants, des directeurs d’établissements et des jeunes aussi. C’est un problème qui traverse toute la société », souligne le directeur du Centre Anne Frank de Francfort.
Dans la classe concernée, des familles ont également défendu la lecture du Journal d’Anne Frank. Mais ce fait divers illustre ce que disent les études sur l’antisémitisme en Allemagne. Les derniers tabous tombent et les crimes et délits progressent : + 20% en deux ans. Avec, en octobre dernier, l’attaque d’une synagogue à Halle le jour de Yom Kippour.
Commençons par le commencement.
Ces voyages d’embrigadement idéologique qui sont autant de pèlerinages religieux ne concernent pas la seule Allemagne mais tous les pays sous occupation juive.
Les classes françaises sont régulièrement expédiées dans un de ces camps dans le but de leur raconter des histoires de vampires et de mangeurs d’enfants.
S’en suivent les éternelles réactions de lycéens naïfs qui avalent tels quels les bobards montés par les communistes et les juifs en 1945.
Outre l’évidente arme de terreur que représente pour le système la religion d’état de l’holocauste, le mythe ne tient plus que par des campagnes de matraquage permanentes.
Le Professeur Faurisson et d’autres auteurs ont très largement démontré l’impossibilité technique du fonctionnement de ces pseudo chambres à gaz encore montrées aux foules lors de ces sessions touristiques.
Le Professeur Robert Faurisson a retrouvé à Auschwitz, dans les années 70, les plans originaux de ces fameuses « chambres à gaz ». Ces plans révèlent que ces « chambres à gaz hitlériennes » n’ont jamais été autre chose qu’une morgue conçue pour quelques dizaines de cadavres comme n’importe quel hôpital en possède de nos jours.
A partir de 01:00′ :
Ce n’est qu’après la guerre que les autorités communistes occupant la Pologne ont bricolé in situ une « chambre à gaz », aidées ensuite par une pléthore de mythomanes juifs.
Et Dieu sait que les juifs ont l’imagination fertile quand il s’agit de mentir comme il a souvent été dit ici.
L’affaire d’Anne Frank est du même tonneau.
Le fameux journal a été écrit et réécrit au stylo bille après la guerre par le père d’Anne Frank, Otto Frank. Le stylo bille n’était pas disponible pour le grand public avant les années 50 aux Pays-Bas.
Otto Frank était un banquier qui avait fui l’Allemagne en 1933 alors que son propre père, banquier comme lui, avait déjà quitté l’Allemagne en 1932 suite à un procès pour escroquerie financière.
Longtemps minorée, la réécriture par Otto Frank a finalement été admise par les propriétaires des droits du livre. En 2015, assurant que le journal d’Anne Frank avait en fait été « co-rédigé » par son père, les propriétaires des droits exigèrent et obtinrent le prolongement pour 35 ans des droits qui devaient cesser 72 ans après la mort d’Anne Frank en 1945. C’est-à-dire en 2017.
La machine à cash peut continuer de tourner.
Le Professeur Faurisson relevait l’existence de plusieurs documents figurant différents styles d’écriture officiellement attribuées à Anne Frank :
En juillet 1988 éclatait dans la presse du monde entier une nouvelle à sensation: on venait de découvrir tout à fait par hasard deux lettres et une carte postale rédigées par Anne Frank et sa sœur Margot en 1940, un mois avant l’occupation d’Amsterdam par les Allemands. Margot, qui avait alors 14 ans, et Anne, qui avait 11 ans, avaient envoyé les lettres et la carte postale à deux correspondantes américaines du même âge, résidant dans une ferme de l’Iowa: Betty Ann et Juanita Wagner, aujourd’hui âgées de 63 et de 59 ans.
L’ensemble était authentifié par J. F. Westra, directeur de la «Fondation Anne Frank» d’Amsterdam.
Le 25 octobre 1988, un acheteur anonyme emportait pour 150.000 dollars, dans une vente aux enchères de Swann Galleries à New York, les deux lettres, la carte postale, deux petites photos-passeport de Margot et d’Anne ainsi qu’une enveloppe d’expédition partie d’Amsterdam. Selon ses déclarations, il remettrait le tout au « Simon Wiesenthal Center » de Los Angeles.
Effectivement, c’est grossier.
– Spécimen n° 4. 10 octobre 1942. Anne avait un peu plus de 13 ans. Source : Journal de Anne Frank, Livre de Poche, 1975, hors-texte.
L’étendue du montage perpétré par Otto Frank, père d’Anne Frank, ne doit pas occulter un fait essentiel : ce roman n’apporte rien.
Bien qu’il soit promu comme un des Actes des Apôtres de la religion de l’holocauste, ce chapitre des Évangiles de la Shoah ne parle pas des « chambres à gaz » hitlériennes. Pour une raison évidente : l’action narrée dans le journal se déroule aux Pays-Bas avant l’arrestation des Frank en août 1944.
Anne Frank, sainte morte en martyre de la chambre à gaz, n’est en fait jamais morte à Auschwitz ni dans une de ces chambres à gaz imaginaires. Elle est morte en raison d’une épidémie au centre de Bergen-Belsen où convergent en février 1945 les détenus qui se replient face à l’avancée bolchevique.
Son sort n’est pas différent de celui de millions d’Allemands et d’étrangers présents en Allemagne en 1945. Les réfugiés se comptent alors par dizaines de millions, il n’y a plus de médicaments ni de nourriture dans le pays, les villes et leurs habitants sont incinérés sous les bombardements de masse, les soldats allemands eux-mêmes ne reçoivent que de maigres rations. Le plus grand nettoyage ethnique de l’histoire a lieu à l’Est, jetant 15 millions de civils allemands sur les routes dont plus d’un million est exterminé par les troupes bolcheviques et leurs alliés.
Dans la seule Tchéquie sous contrôle communiste, 3 millions d’Allemands font l’objet d’une épuration ethnique systématique. 250,000 civils allemands sont assassinés donnant lieu à des scènes de sauvagerie bien après la fin des hostilités dans les rues de Prague.
Après la fin officielle des hostilités le 8 mai 1945 et jusqu’en 1948, trois millions d’Allemands supplémentaires mourront sous les effets du Plan Morgenthau, du nom d’Henry Morgenthau, le ministère juif des Finances américain qui conçut ce projet avec son assistant, le juif lithuanien Harry Dexter White, un agent pro-bolchevique lié aux révolutionnaires juifs d’URSS.
Pas plus que ses filles, le père d’Anne Frank, Otto, ne verra la couleur d’une chambre à gaz.
Arrêté en août 1944 aux Pays-Bas, il attend librement les troupes soviétiques à Auschwitz en janvier 1945 tandis que la plupart des juifs préfèrent suivre les SS que de tomber entre les mains de l’Armée Rouge. En juillet 1945 il est de retour aux Pays-Bas où ses affaires financières fonctionnent parfaitement.
On comprend dès lors qu’un nombre croissant d’Allemands, surtout à l’Est, ne veulent plus entendre parler des insanités juives et redécouvrir l’histoire telle qu’elle a été, après 75 ans de terrorisme hébraïque.
Si un constat doit être dressé sur ce sujet, c’est bien celui de la trop grande bienveillance du gouvernement allemand vis-à-vis de la juiverie à cette époque.
Une erreur qui ne doit plus être rééditée au 21ème siècle.