Captain Harlock
Démocratie Participative
19 novembre 2020
Vous vous souvenez de la théorie officielle selon laquelle nous avons fait la guerre à Adolf Hitler pour que l’Allemagne soit un pays libre ?
C’était pour rire.
Une « réforme » de la Loi sur la Protection contre les Infections a été adoptée et elle permet désormais au gouvernement d’arrêter n’importe qui, n’importe quand et n’est légalement plus tenu de garantir « son intégrité physique ».
Mercredi, le gouvernement fédéral allemand a ouvert la voie aux modifications de la loi sur la protection contre les infections prévues par la grande coalition des chrétiens-démocrates (CDU) et des sociaux-démocrates (SPD) de la chancelière Angela Merkel.
Au Parlement (Bundestag), 415 délégués ont voté mercredi en faveur de la réforme, qui vise à donner aux mesures relatives aux coronavirus une base juridique plus solide. 236 ont voté contre, tandis que huit se sont abstenus lors du vote par appel nominal.
Lors de manifestations, plusieurs milliers de participants se sont ralliés mercredi contre la modification de la loi ainsi que contre les mesures actuelles concernant les coronavirus. Il y a eu des affrontements avec la police et plus de 100 arrestations.
L’objectif de la loi réformée est, entre autres, d’apporter un soutien juridique aux mesures contre les coronavirus qui ont été prises jusqu’à présent par décret et de les concrétiser.
Dans la loi sur la protection contre les infections, on ne parlait jusqu’à présent que de manière générale de « mesures de protection nécessaires » que l' »autorité compétente » peut prendre.
Avec la modification de la loi, un nouveau paragraphe sera inséré qui énumère spécifiquement les mesures de protection possibles qui peuvent être prises par les gouvernements et les autorités des États, telles que les exigences de distance, les restrictions de sortie et les exigences de distanciation sociale.
Il énumérera également les restrictions qui peuvent être mises en place dans le secteur de la culture et des loisirs – essentiellement des mesures qui ont déjà été prises pendant le verrouillage au printemps et dont certaines s’appliquent également maintenant pendant le verrouillage partiel en novembre.
La loi stipule également qu’après l’incidence dite de 7 jours de 35 et 50 nouvelles infections pour 100 000 habitants en une semaine, des mesures de protection doivent être prises. Elle stipule également que les ordonnances comportant des mesures anticoronavirus sont limitées à quatre semaines, avec possibilité de prolongation.
En outre, les ordonnances doivent être accompagnées d’une justification générale du gouvernement.
Cet article ci-dessus parle de « protection ».
Pour vous, Democratie Participative a exhumé le texte de loi adopté et extrait la seule partie qui importe en matière de « protection ».
Bundesgesundheitsministerium.de :
Les articles 1 n° 16 et 17 limitent les droits fondamentaux que sont l’intégrité physique de la personne (article 2, paragraphe 2, deuxième phrase de la Loi fondamentale), la liberté de réunion (article 8 de la Loi fondamentale), la liberté de circulation (article 11, paragraphe 1 de la Loi fondamentale) et l’inviolabilité du domicile (article 12, paragraphe 1 de la Loi fondamentale).
Dorénavant, le gouvernement allemand peut donc attenter à « l’intégrité physique de la personne », à sa liberté de réunion, de circulation et à l’accès à son domicile quand bon lui semble, sans avoir à fournir de justification particulière. Mesures pouvant être prorogées indéfiniment.
Une mesure généreusement offerte par Angela Merkel au peuple allemand.
Je rappelle à nos lecteurs qu’Angela Merkel est la petite-fille d’un nationaliste polonais, Ludwig Kaźmierczak (germanisé en « Kasner »), qui déserta l’armée allemande lors de la Première Guerre Mondiale pour prendre les armes contre l’Allemagne avant de revenir la bouche en cœur à Berlin après la guerre afin d’y servir comme policier sous la direction du préfet de police juif Bernhard Weiss, virulent ennemi du Docteur Joseph Goebbels.
Après la Deuxième Guerre Mondiale, Horst, le père de Merkel et fils de Ludwig Kaźmierczak, se pressa de rejoindre Berlin-Est, alors sous contrôle communiste, tandis que les Allemands fuyaient dans la direction inverse. Installé avec sa femme et sa fille Angela dans la nouvelle RDA pro-soviétique, Kaźmierczak devint un agitateur communiste au sein du clergé protestant contrôlé par le nouveau gouvernement marxiste-léniniste. Le père de Merkel était connu en RDA sous le surnom de « Kasner le Rouge ». Virulent opposant à l’Allemagne de l’Ouest, il est dès les années 60 farouchement hostile à la réunification de l’Allemagne.
C’est dans cet univers familial qu’Angela Merkel grandit. Elle étudie plus tard à l’Université Karl Marx de Leipzig après avoir reçu une formation idéologique au sein de la « Jeunesse Libre Allemande », l’organisation de jeunesse marxiste-léniniste de la RDA. C’est là qu’elle apprend le russe, la langue de la puissance occupante soviétique. Sollicitée par la Stasi, la police politique du système, pour espionner, Angela Merkel préfère refuser car elle ne se sent pas capable de maîtriser l’art de la dissimulation. Cadre du régime active au sein de l’université est-allemande, ses anciens collègues décrivent tous Merkel comme une féroce agitatrice marxiste. Dans les années 80, elle se rend plusieurs semaines en stage de formation idéologique dans la région du Donetsk, en Ukraine, bastion du loyalisme soviétique.
Lorsque le système soviétique implose en 1990, Angela Merkel ne participe à aucun des rassemblements de masse qui éclatent en RDA. Elle ne rejoint le mouvement qu’un mois après la chute du Mur de Berlin quand il devient évident que l’Allemagne de l’Est communiste est condamnée à court terme. C’est en effet l’heure du recyclage général des cadres communistes. L’agent de la Stasi Lothar de Maizière (nom de code, « IM Czerni ») la recrute au sein de la CDU – la droite chrétienne est-allemande – tout récemment légalisée. En réalité, la CDU est-allemande est totalement infiltrée par la Stasi qui l’a depuis longtemps retournée.
Lothar de Maizière n’est autre que le fils de Clemens de Maizière, un cadre communiste de l’église protestante officielle de l’Allemagne de l’Est très proche du père d’Angela Merkel, « Kasner le Rouge ». Grâce à cet appui, Merkel peut donc entrer blanchie dans la politique allemande post-communiste. Jusqu’à devenir miraculeusement chancelière, 15 ans plus tard.
Avec un tel CV, il est clair que les Merkel ne sont donc pas une famille qui déborde d’affection pour la nation allemande et encore moins pour le nationalisme allemand.
Le « Great Reset » est l’occasion pour tous ces agents communistes de rétablir le système qui s’est effondré il y a 30 ans et ce n’est pas un hasard si le pays le plus puissant d’Europe économiquement le met en place sous la direction d’une commissaire politique formée par l’Union Soviétique comme Angela Merkel.
La nouvelle Stasi de Merkel a désormais carte blanche pour arrêter les opposants et les éliminer physiquement.
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