Captain Harlock
Démocratie Participative
27 janvier 2022
Tous ceux qui ne sont pas d’accord avec le gouvernement sont des complotistes haineux.
Propagation des théories complotistes voire appels au meurtre: la messagerie cryptée Telegram, particulièrement prisée des mouvements anti-vaccin, est dans le viseur des autorités allemandes qui l’accusent de ne pas agir contre la diffusion des propos haineux.
Les opposants à la vaccination contre le Covid-19 sont mobilisés depuis des semaines en Allemagne où ils manifestent régulièrement dans tout le pays lors de rassemblements parfois accompagnés d’incidents.
La tension risque de montrer encore d’un cran alors que la question de la vaccination obligatoire, soutenue par le chancelier Olaf Scholz mais qui divise la société, a débuté mercredi au Bundestag.
Dans ce contexte électrique, les « propagateurs de haine » sont dans le viseur du gouvernement et plus particulièrement la messagerie cryptée Telegram.
Si vous refusez que votre corps appartienne à l’Etat, vous êtes un propagateur de haine. Ne soyez pas haineux, reconnaissez que l’Etat a le droit de vous injecter de force n’importe quelle substance de (((Pfizer))) dans les veines.
C’est la démocratie.
La ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser, veut présenter d’ici Pâques un plan d’action visant à obliger la plateforme à supprimer les messages haineux et à identifier leurs auteurs.
Certains groupes de discussion « d’anti-vax » réunissent jusqu’à 200.000 personnes, selon un décompte de l’AFP.
Faute de coopération, la ministre n’exclut pas l’interdiction pure et simple de l’application en Allemagne.
Avant cela « toutes les autres options doivent avoir échoué », a-t-elle précisé, reconnaissant qu’une coopération européenne était nécessaire sur ce sujet sensible.
Mettez une femme blanche à quelque niveau de responsabilité que ce soit et vous aurez un état policier.
Nous avons déjà parlé de cette Nancy Faesar.
Elle est particulièrement laide, au point de passer pour un travelo.
Faesar, en rouge à droite
C’est une militante antifa, au sens littéral du terme. Elle est entrée en politique pour lutter contre le fascisme, dixit.
La Grosse Berta n’a visiblement pas intégré le fait que l’Allemagne est un état fémo-LGBT multiracial. Quoi qu’il en soit, elle entend briller de mille feux en imposant une tyrannie covido-féministe totale dans le pays. L’idée que des gens discutent librement quelque part l’empêche de dormir la nuit.
Sur l’interdiction de Telegram en elle-même, ce n’est pas ce que recherche le système. Ce n’est pas non plus de pouvoir savoir qui dit quoi. Ils le savent déjà et procèdent régulièrement à des arrestations de gens qui parlent sur Telegram. Ce qu’ils veulent, c’est une modération similaire à ce que font les GAFAM pour disposer d’un monopole total sur la narration.
Quand vous avez des groupes de centaines de milliers de gens qui parlent librement du coup d’état covidiste, l’opinion parvient à se former contre le projet de l’oligarchie globale.
Il ne peut y avoir aucune forme d’opinion contraire à ce que veut l’oligarchie.
L’idée est donc d’empêcher les gens de s’informer et de s’exprimer, à grande échelle, et d’imposer un seul et unique point de vue, le point de vue du système.
Mi-décembre, la police allemande avait mené des perquisitions et saisi des armes lors d’un raid à Dresde (ouest) après la diffusion de menaces de morts visant, sur une chaîne Telegram anti-vaccins, le ministre-président du Land.
Le chancelier allemand Olaf Scholz avait alors promis de mener une lutte implacable contre une « minorité d’extrémistes ».
L’Allemagne a voté en 2017 une loi controversée renforçant son arsenal contre les menaces sur internet: elle oblige depuis les réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter à supprimer les contenus délictueux et à les signaler à la police en vue d’éventuelles poursuites.
Facebook avait ainsi annoncé en septembre la suppression de comptes, pages et groupes liés au groupuscule des « libres penseurs » en Allemagne, une mouvance hostile aux restrictions destinées à lutter contre le Covid-19.
« Parce que les grandes plateformes comme Facebook n’autorisent plus la haine raciste, antisémite et les contenus d’extrême droite comme le négationnisme, les personnes qui veulent diffuser cela cherchent de nouveaux moyens. Actuellement, le plus populaire en Allemagne est Telegram », explique à l’AFP Simone Rafael, responsable numérique de la Fondation de la lutte contre le racisme Amadeu Antonio.
Je vous présente la lesbienne antifa Simone Rafael, « journaliste », et « responsable numérique de la fondation de lutte contre le racisme », et accessoirement agent du renseignement allemand.
Elle est totalement neutre et objective et elle ne veut que le bien de l’Allemagne.
Contrairement à Facebook, « Telegram ne coopère pas avec les autorités judiciaires ou de sécurité, même pas sur des sujets indiscutablement punissables et répréhensibles comme la pornographie enfantine », ajoute Mme Rafael, estimant que « cela prive l’État de toute capacité d’action ».
Maintes demandes de suppressions de contenus envoyées par l’Office fédéral de la police criminelle allemande (BKA) à la plateforme sont restées jusqu’ici lettre morte.
Le BKA a annoncé mercredi mettre en place sa propre force opérationnelle pour poursuivre les délits commis sur Telegram avec pour objectif « d’identifier les suspects et de les poursuivre en justice ».
Les délits commis sur Telegram
Une autre possibilité serait d’exiger de Google ou Apple de la retirer de leur catalogue de téléchargement. Toutefois, cela n’affecterait pas les utilisateurs possédant déjà l’application.
Pour Mme Rafael, la seule façon de venir à bout du service est de l’interdire complètement en Allemagne.
Une gouine hystérique exige l’escalade pour avoir le dernier mot.
Qu’est-ce qui pourrait bien foirer ?
Ce serait alors le premier pays occidental à opter pour une telle mesure radicale contre la messagerie créée en 2013 par les frères Nikolaï et Pavel Dourov, deux opposants au président russe Vladimir Poutine qui cherchaient à éviter la surveillance des services secrets de leur pays.
Des interdictions et des réglementations contre Telegram, dont le siège social est à Dubaï mais la société enregistrée aux Iles Vierges britanniques, paradis fiscal, existent déjà en Chine, Inde ou Russie.
« De telles mesures enverraient un très mauvais signal, avertit le journaliste spécialiste du numérique Markus Reuter. « Car d’un côté, nous célébrons l’absence de censure de Telegram et son importance pour les mouvements démocratiques en Biélorussie et en Iran et d’un autre côté, nous voulons désactiver ce service ici » en Allemagne.
C’est parfaitement logique, au contraire.
L’oligarchie n’a jamais dit qu’elle voulait s’appliquer à elle-même ce qu’elle cherche à imposer aux états qu’elle ne contrôle pas.
Les femmes blanches sont aux commandes désormais en Allemagne et elles comptent bien le faire comprendre à tout le monde en plongeant le pays dans le chaos complet.