Captain Harlock
Démocratie Participative
23 décembre 2019
C’est certainement ce dont avait besoin l’Allemagne : une nouvelle loi pour empêcher les Allemands de parler.
Le gouvernement d’Angela Merkel prépare un nouveau projet de loi qui obligera les fournisseurs d’accès Internet (FAI) à remettre les données, y compris les mots de passe, des personnes accusées de s’être livrées à des » discours haineux » en ligne.
La ministre de la Justice Christine Lambrecht, membre du Parti social-démocrate (SPD), prépare ce projet de loi qui obligera les fournisseurs de services, les hébergeurs de courriel, les détaillants en ligne et autres à donner au gouvernement les noms d’utilisateur, les mots de passe, les adresses IP et d’autres données sur les suspects, selon le MDR.
Quand un ministre socialiste veut tout savoir sur vous parce que les juifs lui en ont donné l’ordre, c’est ce que l’on appelle la transparence démocratique.
Les goyim ne veulent sûrement pas empêcher les juifs la démocratie de triompher.
Lambrecht a été critiqué par beaucoup à propos de cette proposition, le responsable de la protection des données de Hambourg, Johannes Caspar, la qualifiant d’attaque contre la vie privée.
« La lutte contre le phénomène hideux de l’extrémisme de droite et des crimes de haine se transforme apparemment en une porte ouverte à un élargissement complet des pouvoirs de contrôle de l’État« , a-t-il averti.
Ce Caspar est visiblement un Nazi.
Son avis ne compte donc pas.
La ministre allemande s’est défendue, ainsi que le projet de loi, en affirmant que les mots de passe et les données ne seraient demandés que dans le cadre d’une ordonnance judiciaire et uniquement dans les cas graves.
« Il ne s’agit pas de demander des mots de passe en masse, c’est une représentation complètement erronée et pas du tout le but et l’objectif « , a-t-elle déclaré.
Ce n’est pas une collecte de masse.
C’est une collecte de masse au cas par cas, nuance.
La politicienne de l’Alternative Populaire pour l’Allemagne (AfD), Joana Cotar, a déclaré que la législation proposée était une « attaque contre l’Internet libre » et a soutenu qu’elle serait utilisée pour faire taire les citoyens qui critiquent le gouvernement allemand.
L’extrême-gauche Die Linke a donné raison à l’AfD, accusant le gouvernement de mettre en place un état de surveillance.
L’Allemagne possède déjà l’un des ensembles de lois les plus draconiens concernant la « haine » sur les médias sociaux, y compris une législation imposant des amendes allant jusqu’à 50 millions d’euros aux entreprises de médias sociaux qui ne suppriment pas les contenus haineux dans les délais que le gouvernement considère comme opportuns.
Les autorités allemandes sont également connues pour leurs raids à grande échelle contre des citoyens accusés de diffuser des « discours de haine » en ligne, avec un raid en 2016 au cours duquel 60 maisons ont été fouillées dans 14 États.
Les autorités allemandes sont également connues pour mettre en prison des grand-mères nonagénaires qui refusent de compter comme les rabbins.
Le 7 mai 2018, une dame de 89 ans était arrêtée en Rhénanie du Nord-Westphalie par la police allemande suite à un mandat d’arrêt. Cette « arrière-grand-mère » s’appelle Ursula Haverbeck. Elle purge depuis une peine de prison ferme. https://t.co/gTRka12LZD
— ange gabriel ? (@thalassa2008) December 21, 2019
Mais elles savent se montrer très libéral avec les chances pour l’Allemagne.
?? En #Allemagne, un migrant afghan de 18 ans avait poignardé à mort un travailleur social. Verdict ? L’homme a été acquitté et pourrait même bénéficier d’un dédommagement.#Immigrationhttps://t.co/ivk1rfawnW
— TV Libertés (@tvlofficiel) January 31, 2019
Mais après tout, peut-être qu’en reformant la STASI, on parviendra à convaincre la population de redonner un nouvel élan au vivre ensemble.