Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2017
Il est temps de passer à la vitesse supérieure avec ces ordures d’Allemands qui refusent de se laisser envahir par nos frères musulmans persécutés.
Le Monde :
Le conseil des ministres allemand a approuvé mercredi 5 avril un projet de loi introduisant des amendes pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros pour les réseaux sociaux rechignant à supprimer les publications haineuses et « les fausses informations délictueuses ».
« Les publications manifestement délictueuses doivent être effacées ou bloquées dans les vingt-quatre heures suivant leur signalement, les autres contenus délictueux doivent être effacés ou bloqués dans les sept jours suivant le signalement », informe le gouvernement dans un communiqué, précisant que les réseaux sociaux ne se pliant pas à ces délais risqueront « jusqu’à 50 millions d’euros » d’amende.
Ce projet de loi est à la fois proche et éloigné de la législation en vigueur en France, où les « hébergeurs », comme les réseaux sociaux, bénéficient d’un régime de responsabilité légale allégée, mais doivent en contrepartie supprimer rapidement les contenus « manifestement illicites » qui leur sont signalés. Mais, contrairement à la loi française, les pénalités prévues par le texte sont significatives, et sous forme d’amende.
Et la beauté de la chose : plus besoin de procès politiques pour censurer. Il suffit de dire qu’il s’agit d’une « fausse nouvelle » et l’affaire est réglée.
L’immonde Merkel et sa clique interdisent de facto à tout opposant d’avoir le droit à un procès, même de nature politique, pour défendre son point de vue. La censure intervient sans même qu’un propos soit étudié par des magistrats. Elle est discrétionnaire et réservée à des censeurs anonymes rémunérés, probablement encadrés par la police politique allemande.
Cette loi est évidemment parfaitement anti-constitutionnelle, ce qui démontre par l’absurde que ces fameuses « démocraties » ne sont qu’une repoussante imposture visant explicitement à faire taire le peuple.
Voilà ce qui arrive quand on place une ex-cadre communiste à la tête d’une ploutocratie trotskiste.