Allemagne : les premiers camps de concentration pour les « briseurs de confinement » s’ouvrent un peu partout dans le pays

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Janvier 2021

Apparemment, recourir aux camps de concentration est de nouveau à l’ordre du jour en Allemagne.

Cette fois-ci cependant, c’est pour enfermer le peuple allemand et non pas les saboteurs juifs et les marxistes.

TheLocal.de :

Selon un rapport publié dans « Welt am Sonntag », plusieurs États allemands veulent prendre des mesures plus sévères contre ceux qui ignorent de manière répétée les mesures de quarantaine obligatoires.

En Allemagne, toute personne dont le test de dépistage du coronavirus est positif est soumise à une quarantaine de deux semaines. Les personnes qui reviennent d’une zone à risque doivent également être mises en quarantaine pendant dix jours, mais cette période peut être réduite à cinq jours si le résultat du test est négatif.

Une auto-quarantaine est également requise pour ceux qui ont été en contact direct avec une personne atteinte du coronavirus, ou qui attendent le résultat d’un test.

En plus des amendes élevées, dans des cas extrêmes, certains États prévoient l’admission forcée dans des centres spéciaux, des cliniques ou des quartiers de détention pour mineurs pour ceux qui ne respectent pas la règlementation en vigueur.

Les goyim en camp de concentration.

Je crois qu’on s’est fait avoir sur le fond de l’affaire en 1945.

Cela se fait déjà dans des cas individuels, mais uniquement sur la base d’ordonnances judiciaires. Les amendes pour non-respect des ordonnances de quarantaine peuvent également aller jusqu’à 25 000 euros.

Selon le rapport, des installations centrales pour les récidivistes de la quarantaine seront bientôt mises en place dans le Bade-Wurtemberg.

« Ces lieux d’isolement seront contrôlés en permanence par un service de garde », a déclaré le journal, qui cite un porte-parole du ministère des affaires sociales du Land, ajoutant que deux cliniques avaient déjà été mises de côté.

Le Schleswig-Holstein, l’état le plus septentrional d’Allemagne, prévoit déjà d’accueillir des briseurs de quarantaine dans les semaines à venir sur le terrain du centre de détention pour jeunes de Moltsfelde à Neumünster, a-t-il dit, citant l’assemblée locale du district.

Au préalable, la police est prête à leur donner un avertissement strict.

Le Brandebourg veut également mettre en place un bureau central pour les briseurs de quarantaine, en plus d’un hôpital ou d’autres « installations appropriées », selon le rapport, citant le ministère des affaires sociales du Land.

En Saxe, « un refuge » est actuellement en cours de construction à cette fin, selon le ministère social. Les briseurs de quarantaine persistants pourraient également être hébergés « dans un hôpital fermé à clé ou dans un autre logement approprié ».

Le ministère bavarois de la santé a déclaré qu’il est généralement possible de persuader les gens de se conformer « par une instruction emphatique » et en soulignant « l’isolement obligatoire et les amendes ».

En dernier recours, l’admission obligatoire dans les municipalités, par exemple dans les « parties fermées des hôpitaux », pourrait être une option.

L’administration de la santé de Berlin n’a pas non plus exclu les admissions obligatoires, « par exemple, également dans un hôpital », a-t-elle déclaré.

Le département des services sociaux de Hambourg a déclaré que s’il devait y avoir des admissions forcées, des options étaient disponibles, mais n’a pas commenté les détails.

Ces projets sont à l’origine d’une réunion nationale, mardi, entre la Chancelière Angela Merkel et les 16 premiers ministres des États fédérés, pour discuter du renforcement des mesures de verrouillage actuelles de l’Allemagne afin d’endiguer la propagation rapide du virus.

La révolution néo-bolchevique se déploie maintenant à pleine vitesse en Allemagne. Les autres états ne vont pas tarder à suivre.

Les arrestations d’opposants avec internement secret seront de plus en plus fréquentes.

Certaines seront suivies de liquidations.

Comme je l’ai expliqué au printemps dernier lors de l’euthanasie discrétionnaire des patients hospitalisés décrétée par l’Etat, n’importe qui peut être exécuté entre 4 murs grâce à une injection de Rivotril. Il suffit ensuite aux autorités d’inscrire « Covid19 » sur le certificat de décès. Il n’y aura aucune autopsie, pas de témoins, pas d’obsèques publiques.

Je ne serai pas surpris si dans quelques temps le gouvernement impose la crémation des corps des personnes « en cas d’urgence sanitaire ».

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