Captain Harlock
Démocratie Participative
29 juillet 2018
La prise de conscience du péril juif progresse très rapidement en Allemagne comme ailleurs.
Une étude très attendue réalisée par Monika Schwarz-Friesel, experte internationale sur la question de l’antisémitisme, révèle que la quantité des contenus antisémites allemands sur le Net a augmenté massivement au cours des dix dernières années, qu’ils pénètrent la société ordinaire et qu’ils sont de plus en plus extrêmes.
Ce projet de recherche qui a été rendu public mercredi a étudié 300 000 contenus sur la Toile, en Allemagne, publiés entre 2014 et 2018, avec une focalisation sur les réseaux sociaux.
Au cours de la première année de l’étude, un peu moins de 23 % des contenus étaient catégorisés comme antisémites. En 2017, ce chiffre s’est élevé à plus de 30 %.
Une étude similaire qui avait été conduite par Schwarz-Friesel en 2007 avait estimé à l’époque que seulement 7,5 % des contenus internet examinés étaient antisémites, ce qui indique une augmentation de plus de 22 % au cours de la dernière décennie.
Les derniers résultats montrent non seulement une hausse massive des contenus antisémites trouvés en ligne mais aussi une radicalisation en termes de propos tenus.
Par exemple, les commentaires antisémites publiés en réponse aux actualités et autres articles d’information n’ont pas simplement augmenté en chiffre, ils sont également devenus plus extrêmes dans leur formulation.
Cette étude a été financée par l’Association de recherche allemande et les résultats ont été publiés mercredi lors d’une conférence de presse organisée à l’Université technique de Berlin, où Schwarz-Friesel enseigne les sciences cognitives.
« Il a également augmenté et s’est intensifié en ce qui concerne le Web 2.0, les liens hypertextes vers les photos, les textes, les chansons et les films ».
En fait, les campagnes contre l’antisémitisme elles-mêmes sur les réseaux sociaux – comme Facebook – provoquent d’importants afflux de propos anti-juifs. 38 % des commentaires postés en réponse à une campagne menée sur Facebook en Allemagne, en 2014, intitulée #PlusJamais haine anti-juive, étaient antisémites.
L’étude a également révélé qu’une grande partie de l’antisémitisme qui s’exprime sur Internet apparaît sous forme de stéréotypes projetés contre l’Etat d’Israël.
De manière notable, l’étude a aussi montré que les propos antisémites dissimulés sous la critique d’Israël apparaissent souvent dans des contextes sans lien avec le conflit du Moyen-Orient.
L’antisémitisme lié à Israël, selon les chercheurs, est particulièrement inquiétant dans la mesure où il est souvent considéré comme étant socialement acceptable et qu’il rencontre donc peu de résistances au sein de la société et chez les élites – ce qui joue un rôle particulièrement important dans la diffusion et dans la consolidation de ces visions du monde antisémites.
Toutefois, l’antisémitisme associé à Israël n’est pas la forme la plus importante de la haine anti-juive sur Internet. 55 % des contenus antisémites examinés par les chercheurs s’appuient sur des tropes antisémites classiques tels que « les Juifs sont le plus grand fléau de l’humanité ».
Venant contrer les affirmations faisant état d’un antisémitisme musulman qui se serait développé en réponse à la politique israélienne, il s’est avéré au cours de l’étude que cette haine anti-juive particulière se basait sur des stéréotypes classiques plus souvent que sur des sujets liés à Israël.
De manière inquiétante, l’étude a établi que la hausse globale de l’antisémitisme en ligne ne provenait pas d’éléments extrémistes. Ce qui signifie que ce fanatisme anti-juif ne s’arrête pas aux portes des groupes radicaux et qu’il s’infiltre dans les strates de la société en général.
Enfin, l’étude a découvert une uniformité dans les notions antisémites parmi les utilisateurs indépendamment des affiliations politiques ou de la base idéologique, ce qui témoigne de la continuité culturelle et de l’enracinement social de l’antisémitisme.
Nos gens l’ignorent mais les juifs surveillent, en temps réel, la planète entière pour déterminer les zones où la résistance à la prédation sémitique connaît un pic d’activité. Ce type d’analyses le démontre. Il démontre aussi que le juif sait sa situation précaire.
Je l’ai déjà dit et j’y insiste car les juifs aiment à se présenter comme de petites communautés inoffensives isolées alors qu’elles sont organisées en une structure de combat planétaire.
Chaque jour que Dieu fait, les innombrables faux nez de la juiverie internationale logés au coeur des nations se livrent à des actes de sabotage, de déstabilisation, d’escroquerie, d’élimination d’opposants, de campagnes de haine contre les honnêtes patriotes qui luttent pour le salut de leur pays.
On peut comparer l’action subversive juive à celle d’un orchestre : la baguette du chef guide la main de chaque musicien, lesquels connaissent parfaitement leur partition.
Il va sans dire que les musulmans présents en Allemagne alimentent de manière non négligeable le phénomène, surtout lorsqu’il est question de la colonie juive de Palestine. Cependant, il serait faux de dire que seuls les musulmans y contribuent, loin s’en faut.
En passant de 7,5% à 30% du total analysé, ces contenus antisémites témoignent de la révolution populaire en cours contre la tyrannie judéo-démocratique qui contrôle l’Allemagne occupée.
Toute révolution sera nécessairement antisémite car cette race maudite contrôle l’Occident démocratique. Le populisme actuel amorce le renversement des bourgeoisies enjuivées pour les remplacer par des leaders plébéiens.
Le juif est l’âme de cette religion impie qu’est le démocratisme, le ferment dissolvant sans lequel ce prédateur ne peut se mouvoir au sein d’une nation. Il va sans dire que le mythe de l’holocauste constitue, pour cette religion, son Golgotha.
Rappelez-vous de cette vieille juive qui a pris la parole au parlement allemand, en janvier 2018, pour rappeler à l’Allemagne son état d’esclave de la juiverie après l’entrée de la droite populiste au Bundestag.
De très nombreux Européens réalisent ce qu’avaient réalisé avant la guerre les nationalistes du continent : le juif, utilisant d’une main la finance et de l’autre le marxisme sans-frontiériste, est déterminé à maintenir l’Europe en esclavage par le ferme maintien de cette tenaille infernale.
Sa nouvelle arme, l’immigration non-blanche, lui permet de remplacer les prolétaires désabusés de jadis par des dizaines de millions de nègres et d’orientaux qui feront, de facto, sa politique.
Cependant – et c’est nouveau – la lame de la propagande juive est émoussée. C’en est au point où lorsqu’ils lancent une campagne de défense de la juiverie, c’est l’effet inverse qui se produit : l’explosion de la haine antijuive.
Quand le juif ne peut plus circonvenir l’Aryen par l’arme de la culpabilisation, ne lui reste alors que celle du bolchevisme, l’antique tyrannie hébraïque.
On peut mesurer, sans se tromper, la liberté d’un peuple à la capacité qu’a la résistance antisémite de dénoncer l’action perfide de la juiverie. La France et l’Allemagne sont, sans discussion possible, les deux nations que le juif persécute avec le plus de fanatisme et de cruauté. C’est en France et en Allemagne que les juifs disposent du droit de vie ou de mort sur les autochtones. Même en Amérique, l’étendue du pouvoir juif n’est pas aussi grande.
L’Allemagne occupée en est donc réduite à diviniser le juif, cet être repoussant et méprisable, à mesure que le pays est submergé par les hordes du tiers-monde sous le regard froid de l’araignée sémitique.
Et cela était censé durer toujours.
Pour preuve, le poignard triomphalement planté dans le coeur de la capitale du Reich.
Mais la victoire du juif, en 1945, était en réalité une victoire à la Pyrrhus. Ce siècle ne sera pas écoulé que l’histoire de la juiverie en Europe sera définitivement soldée.
C’est ce que commence à comprendre l’ennemi éternel de l’humanité devant le spectacle d’une Europe qui, après 73 ans d’une intense propagande cosmopolite, se dresse comme délivrée d’un enchantement.
Le juif, médusé, en demeure tétanisé : si l’Aryen, malgré huit décennies de mensonges, en vient à se révolter contre lui, tout est perdu.
Peu importe donc les mesures désespérées qu’emploieront ces juifs, leur défaite est assurée.