Captain Harlock
Démocratie Participative
06 juin 2020
Quels horribles juifs.
Cet homme pourrait être votre grand-père.
En fait, vous auriez pu être à sa place.
Le Point :
Un des tout derniers procès allemands des atrocités commises dans les camps de concentration nazis touche à sa fin: l’accusation va requérir lundi contre un ancien gardien qui affirme ne pas avoir eu le choix.
Bruno Dey, 93 ans, était un garde SS en avril 1944 et avril 1945 du camp de Stutthof, situé à 40 km de la ville de Gdansk, aujourd’hui en Pologne.
Alors âgé de 17 ans, il est jugé par la cour des mineurs pour complicité du meurtre de 5.230 prisonniers – 5.000 en « créant et maintenant des conditions qui mettent la vie en danger », 200 par gazage et 30 d’une balle dans la nuque.
Aujourd’hui boulanger à la retraite, poussé sur un fauteuil roulant par une infirmière, il cache depuis le début des audiences à l’automne son visage à l’épaisse moustache derrière une chemise cartonnée.
Créé en 1939 pour des prisonniers civils, ce premier camp construit hors d’Allemagne a été peu à peu agrandi sous la responsabilité des SS.
Quelque 115.000 déportés y ont été emprisonnés, dont 65.000 ont perdu la vie, selon le Mémorial Yad Vashem. A partir de 1944, il a compté de nombreux Juifs, essentiellement des femmes des pays baltes et de Pologne transférées d’autres camps, dont Auschwitz.
Le site, où les conditions de vie étaient épouvantables et qui comportait une chambre à gaz, comptait environ 3.000 gardes SS et auxiliaires ukrainiens. Les exécutions y étaient fréquentes.
Depuis le début du procès, comme durant l’enquête, Bruno Dey n’a pas nié avoir été garde mais il assure avoir été obligé d’y travailler et ne rien avoir pu faire contre la machine concentrationnaire SS.
« Je veux oublier, je ne veux plus continuer à me pencher sur le passé », a-t-il répondu le 20 mai à la présidente de la cour qui lui demandait s’il lui arrivait d’évoquer son passé avec ses enfants et petits-enfants.
« Je ne me sens en rien coupable pour ce qui s’est passé à l’époque », a-t-il déclaré, « je n’y ai en rien contribué autrement que par le fait d’être garde ». « Mais j’ai été obligé de le faire, c’était un ordre », s’est-il défendu.
Ses avocats affirment pour sa défense qu’il n’avait pas rejoint volontairement les SS dans le camp mais qu’il y fut affecté car sa santé de permettait pas de le mobiliser au front.
L’accusation juge en revanche qu’il a été un rouage essentiel de la « solution finale »nazie visant les Juifs.
J’ai la nausée.
Ces procès en sorcellerie instigués par le gouvernement d’occupation juif en Allemagne sont tous plus honteux et iniques à mesure que le temps passe. Ces juifs arrivent même à me surprendre par les trésors d’imagination qu’ils déploient dans l’obscénité à chaque « dernier » procès des « derniers » Nazis.
N’allez pas imaginer qu’il s’agisse d’autre chose que d’un moyen d’alimenter la machine de propagande antifa grâce à laquelle les juifs exercent une tyrannie sans aucune limite dans ce pays. C’est encore supérieur en cruauté et en fanatisme par rapport à ce que nous subissons en France sous la coupe des juifs. Au point donc de traîner des nonagénaires en fauteuil roulant devant des tribunaux révolutionnaires composés directement par les juifs pour obtenir un verdict décidé à l’avance.
Qui peut consentir à tourmenter des vieillards de la sorte si ce ne sont des démons ?
Les juifs sont des démons à forme humaine, j’en ai acquis la plus ferme des convictions.
Ce cas-là est encore plus ahurissant de sadisme que les précédents. Cet homme était mineur à l’époque et il n’était pas même volontaire. Il a été mobilisé et versé d’autorité dans la SS puis assigné à faire le planton dans un centre de détention où végétaient des éléments juifs dangereux, la plupart affiliés au mouvement bolchevique international. Et 75 ans plus tard, les avocats de la juiverie mondiale le décrivent sans trembler comme « un rouage essentiel » de l’Hologramme.
Il y a encore quelques années, ce type de description était réservé à des officiers supérieurs de la SS comme Adolf Eichmann ou Reinhard Heydrich. Désormais, un obscur gamin mobilisé à la fin de la guerre se voit dépeint en cadre majeur de cette histoire grotesque de fours à pizzas et de saucisses de juif.
Une telle débauche d’insanités démontre par l’absurde que cette histoire d’holocauste est une pure fabrication de la juiverie internationale pour affaiblir et dominer les nations blanches d’Europe après la guerre.
Nous en sommes exactement au même point que le 9 mai 1945.
A bien des égards, Bruno Dey est un héros. Un héros malgré lui mais un héros tout de même.
Le procès a été marqué à l’automne par le témoignage d’un Américain de 76 ans, Moshe Peter Loth, qui prétendait avoir, tout jeune enfant, été interné dans le camp.
« Attention, je vais lui pardonner », avait-il lancé, avant d’enlacer l’accusé.
[…]Il y a encore une vingtaine d’affaires de ce type en cours d’instruction dont une dizaine concernent le seul camp de Sachsenhausen.
Ne vous méprenez pas : le but du juif ici est de revendiquer l’ascendant moral universel sur le bétail aryen en mettant en scène sa pseudo magnanimité. C’est le but de ce spectacle sinistre. Si ces sales juifs voulaient « pardonner » quoi que ce soit, ils n’orchestreraient pas en premier lieu de telles mises en scène.
De toute façon, considérer qu’il y a quelque chose à « pardonner » est déjà tombé dans cette escroquerie juive qu’est le mythe de l’holocauste.
Ceci dit, les juifs n’auront bientôt plus l’occasion de mettre en scène leur férocité, faute d’accusés innocents à persécuter. Cela doit les rendre tout particulièrement nerveux.
En revanche, ce que ces procès nous enseignent, c’est que nous pourrons encore juger les criminels qui sont responsables de l’effondrement de l’Europe dans 75 ans.
Et ça, c’est un vrai réconfort moral.
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