Sigmar Polaris
Démocratie Participative
22 septembre 2022
En Allemagne, les hyper Nazis sont des antifas payés par le gouvernement afin d’accuser la population d’être un danger pour le gouvernement.
Remix :
Des centaines de nazis radicaux et d’extrémistes de droite en ligne sont en fait des agents du renseignement intérieur allemand, et nombre d’entre eux pourraient être responsables d’une « incitation à la haine », voire à la violence. Ces agents, qui devaient jadis boire et fréquenter directement des membres de l’extrême droite pour obtenir des informations sur leurs cibles, gèrent désormais des comptes d’extrémistes de droite en ligne en Allemagne.
L’Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution (BfV) soutient que ces comptes sont nécessaires pour surveiller efficacement l’extrême droite, mais les critiques disent qu’ils peuvent aussi promouvoir et encourager activement le radicalisme, selon un rapport du journal allemand Süddeutsche Zeitung.
« C’est l’avenir de la collecte d’informations », a déclaré à la Süddeutsche Zeitung un responsable anonyme d’un bureau d’État concerné.
C’est presque comme si le gouvernement antifa en Allemagne créait de faux Nazis hollywoodiens pour pouvoir contrôler la population.
Selon les recherches du journal, l’autorité a investi massivement dans des « agents virtuels » depuis 2019, qu’elle finance avec l’argent des contribuables. Tant l’office fédéral que les Länder fédéraux emploient des espions qui, outre les extrémistes de droite, sont également chargés de surveiller les extrémistes de gauche, les islamistes et la scène « idéologique conspirationniste ».
Toutefois, ces activités du BfV, qui gère des centaines de comptes d’extrême droite, ont été révélées au moment même où le gouvernement allemand de gauche a qualifié l’extrémisme de droite de plus grande menace pour le pays, alors que les données montrent que les extrémistes de gauche et l’islam radical constituent des menaces plus importantes.
Jamais un gouvernement de gauche ne créerait de faux Nazis pour protéger des musulmans ou l’extrême-gauche.
Enfin, si, mais c’est pour défendre les droits de l’homme !
La ministre de l’intérieur du pays, Nancy Faeser, a lancé un plan en dix points pour lutter contre « l’extrémisme de droite » et, à l’instar de l’administration Biden aux États-Unis, elle utilise le ministère de l’Intérieur contre les opposants politiques, les qualifiant de menaces terroristes et de danger pour la démocratie. Dans le cas de l’Allemagne, le parti d’opposition conservateur Alternative pour l’Allemagne (AfD) est activement surveillé dans certains États fédéraux, l’adhésion au parti étant la seule condition préalable pour que les agents puissent lire les courriels et écouter les appels téléphoniques de ces simples citoyens.
Nancy Faeser est antifasciste, elle défend la démocratie.
Elle agit uniquement pour le bien du peuple, comme du temps de la Stasi.
Le BfV gère des centaines de comptes d’extrême droite, l’agence faisant valoir qu’il s’agit de « jouer soi-même un peu à l’extrême droite » afin de gagner la confiance des autres utilisateurs. Les employés de l’Office pour la protection de la Constitution sont susceptibles de faire de la « propagande » pour cela et parfois aussi de commettre des délits tels que « l’incitation à la haine. »
Cependant, on ne sait pas exactement ce que ces comptes extrémistes publient qui implique une « incitation à la haine », car il y a peu ou pas de surveillance publique concernant ces activités.
Les alertes à la bombe ?
Désolé, pas au courant !
« Pour être vraiment crédible, il ne suffit pas de partager ou d’aimer ce que disent les autres, il faut aussi faire soi-même des déclarations. Cela signifie que les agents font également de l’intimidation et de l’agitation« , indique le rapport d’un agent qui affirme avoir rejoint l’agence pour « faire quelque chose contre les extrémistes de droite. » Cela implique d’encourager activement les gens dans leur vision du monde, mais elle affirme que son travail consiste à « alimenter » la scène.
Je voulais faire quelque chose contre les extrémistes de droite
En fait, il y a maintenant tellement de comptes gérés par différentes autorités allemandes qu’un accord national est devenu nécessaire. Sinon, ces différents agents se cibleraient mutuellement par la surveillance et le contrôle.
Satanés Nazis, à cause d’eux, on ne sait plus quel Nazi payé par le gouvernement antifa espionne quel Nazi payé par le gouvernement antifa.
Une seule solution : renforcer la lutte contre l’extrême-droite en recrutant des agents chargés de jouer les faux Nazis.
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