Captain Harlock
Démocratie Participative
07 juillet 2019
Certains d’entre vous peuvent croire qu’il existe, quelque part dans l’éther, une démocratie idéale, respectant parfaitement les grands principes que cette théorie politique énonce et qui ne demande qu’à prendre corps lorsque les conditions seront réunies.
En attendant qu’un jour prochain cette démocratie advienne, vous acceptez de faire avec cette démocratie imparfaite qui finira tôt ou tard par évoluer pour le meilleur, c’est-à-dire cette démocratie idéale dont j’ai parlé.
Si c’est le cas, je suis au regret de vous dire que vous dormez debout.
Allemagne. Saxe. La liste de l’AfD (scrutin proportionnel) en vue des élections pour le Parlement de Saxe du 1 septembre 2019 est en partie refusée. La liste des 61 candidats a été établie lors de deux congrès différents. Lors du premier, les places 1 à 18 ont été attribuées. Lors du deuxième, les places 19 à 61. La commission électorale se demande si ces deux congrès doivent être considérés comme séparés ou si le deuxième est la suite du premier. Cette instance penche pour la première solution et ne valide pas, par conséquent, les candidats devant occuper les places 19 à 61.
L’AfD, donnée à 26 % des voix en Saxe, devrait envoyer 30 élus au sein de l’assemblée, alors que la liste ne comptera que 18 personnes.
L’AfD tentera d’obtenir des mandats directs (scrutin majoritaire de circonscription) afin de compenser le manque de candidats acceptés pour la proportionnelle. [Les électeurs émettent deux votes : un au scrutin majoritaire et l’autre au scrutin proportionnel.]
Désolé, goy.
C’est juste que tu ne peux pas voter pour tes candidats parce que bien sûr.
Il n’y a pas plus de démocratie qui fonctionne que de système communiste qui fonctionne. Ce qui détermine le degré de pourrissement d’une démocratie est sa sémitisation, plus ou moins lente selon la santé raciale initiale du peuple infecté par ce virus.
Mais la maladie, si elle peut mettre beaucoup de temps à incuber, produira ses effets mortels.
On ne peut tout simplement pas vivre avec la gangrène, c’est impossible.
Comme ici, en Allemagne.
L’AfD est donnée au coude-à-coude en Saxe et la Saxe héberge le coeur nationaliste de l’AfD.
Saxony state election poll by INSA
AfD 25%
CDU 24%
Green 16%
The Left 16%
SPD 7%
FDP 6%
Others 6% https://t.co/R4rhJRvIIm pic.twitter.com/QIWuGMICaC— Non-Inscrits (@NonInscrits) 13 juin 2019
L’AfD fait face à une offensive tous azimuts de la part du système juif pour éviter qu’elle remporte une victoire écrasante dans les régions d’Allemagne de l’Est.
Que ce soit en interdisant à ses candidats de se présenter dans les régions où les nationalistes ont le dessus ou en faisant miroiter une coalition possible avec la CDU post-Merkel si l’aile dite « modérée » du parti accepte de purger l’aile nationaliste menée par Björn Höcke.
Leur argument est le suivant : « on arrivera à bricoler quelque chose au sein du système démocratique mais il faut d’abord se soumettre aux juifs. »
« Fais-moi confiance, ces Nazis sont tes pires ennemis Hans »
Il s’agit de diviser l’AfD pour permettre aux juifs qui contrôlent la CDU de rester dominants à droite en excitant l’opportunisme interne au sein de l’AfD.
Les médias juifs ont déclenché parallèlement une campagne sur le thème de la « dérive droitiste » pour pousser la faction bourgeoise-opportuniste à rompre avec les nationalistes.
Les factions régionales de l’AfD (extrême-droite) menacent de faire glisser le parti encore plus à droite tandis que les extrémistes prennent de plus en plus de contrôle.
Une lutte de pouvoir a éclaté lors d’une du groupe régional le plus puissant de l’AfD, dans le land de Rhénanie-Westphalie, qui s’est terminée par la démission du groupe de 9 des 12 dirigeants samedi.
Ce départ a laissé la voie libre au vice-président Thomas Röckemann, considéré comme un soutien de la ligne nationaliste dure de l’AfD qui soutient la candidature de Björn Höcke pour la direction. La réunion qui se déroulait dans la petite ville de Warburg devait durer deux jours mais s’est conclue au bout d’une journée après l’annonce des démissions.
L’événement se déroulait alors que de violentes récriminations émanait de Helmut Seifen, l’un des démissionnaires de l’AfD régionale. Considéré comme un modéré dans le parti, Seifen a accusé les membres de l’aile pro-Höcke d’affaiblir le parti à travers le pays et d’agir contre les intérêts du parti.
« Leur loyauté va d’abord à l’aile » a déclaré Seifen dans son discours. Il a ajouté qu’il était devenu impossible de diriger le parti de manière « pragmatique » avec Röckemann à sa tête. Röckemann a répondu sur un ton de défiance, rejetant les appels à sa démission. « En ce qui me concerne, j’ai les couilles de faire ce que j’ai dit que je ferai » a-t-il dit.
Röckemann a ajouté qu’il ferait campagne pour s’assurer que les places vacantes à la direction seraient « occupées par de bonnes personnes » et que ses soutiens représentaient la dernière ligne de défense contre « l’aube verte » des « éco-socialistes » en Allemagne.
Pendant ce temps-là, le journal Welt am Sonntag indiquait qu’un tribunal interne du parti avait décrété que l’aile pro-Höcke représentait une organisation autonome qui était en compétition avec le reste de l’AfD.
La décision a été faite en connexion avec une motion visant à exclure un officiel bavarois de l’AfD, Benjamin Nolte. Selon le journal, Nolte aurait violé le règlement du parti en travaillant dans l’intérêt de l’aile pro-Höcke et avait tenté de défaire des résolutions du parti faite pour séparer le parti des groupes politiques extrémistes.
C’est la première fois qu’un document officiel de l’AfD opère une distinction entre le parti et le groupe de Höcke qui se trouve en son sein.
Une lutte identique a éclaté dans la branche de la région du Schleswig-Holstein où le groupe a élu un chef, Doris von Sayn-Wittgenstein, dont la direction fédérale veut l’exclusion du parti.
La direction du parti sur le fait que von Sayn-Wittgenstein soutient un groupe de droite révisionniste qu’il considère comme niant l’holocauste. La direction fédérale de l’AfD estime que son élection à la direction de cette branche régionale « enverrait un mauvais signal ».
Pendant ce temps-là, Höcke lui-même parlait à environ 800 soutiens lors d’un meeting dans la petite ville de Leinefelde, dans sa Thuringe natale, samedi. Selon le magazine Stern, Höcke a profité de son discours lors de l’annuel « Kyffhäuser » pour nier le fait que les migrants ont jamais bénéficié économiquement à l’Allemagne.
« Ce qui est clair c’est la politique de frontières ouvertes pratiquée pendant des décennies, depuis 1955, cette politique migratoire irrationnelle dont sont responsables les vieux partis, nous a saigné financièrement, comme si nous avions perdu une autre guerre » a déclaré Höcke à ses soutiens.
Le leader de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz a également pris la parole lors du meeting tout comme le chef fédéral de l’AfD, Alexander Gauland.
Mais Gauland a évité les luttes internes et a évoqué à la place une autre crise pour le parti d’extrême-droite dans le land de Saxe où les deux tiers des candidats de l’AfD ont été exclus des élections récemment après ne s’être pas enregistrés dans les règles. Gauland a accusé le comité électoral de Saxe d’essayer de voler ses succès électoraux à l’AfD avec des « tours ».
Trois régions d’Allemagne de l’Est doivent tenir des élections prochainement, le Brandebourg, la Saxe et la Thuringe. L’AfD est actuellement première ou deuxième dans les trois états.
Si vous ne connaissez pas Björn Höcke, il était dans la rue pour tenir tête au régime juif à Chemnitz.
Les juifs et les démocrates ont toutes les raisons de haïr Björn Höcke parce qu’il ne trahira pas. Pour une raison simple : sa famille a été victime du gigantesque nettoyage ethnique commis par les Bolcheviques en Allemagne orientale en 1945.
C’est son grand-père nationaliste qui l’a formé quand il était jeune.
C’est un déiste organiciste et un révisionniste qui sait parfaitement à quoi s’en tenir sur le mythe de l’holocauste. Mieux, c’est un admirateur raisonné d’Adolf Hitler.
Info : toute personne qui admire raisonnablement Adolf Hitler fait preuve de sanité mentale.
Höcke se garde simplement d’en faire état en public. Je ne crois pas non plus que l’on gagne des élections sur le thème des 6 trilliards de juifs gazés par Adolf Hitler.
Bref, Höcke est un idéaliste pragmatique qui adopte une ligne dure anti-immigration.
Le rapport de force actuel entre les bourgeois de l’Ouest et les nationalistes de l’Est est important à comprendre. Comme en France, les bourgeois d’Allemagne de l’Ouest ont été rééduqués par la société de consommation judéo-trotskiste. Ils chercheront toujours à faire des compromis avec les démocrates et surtout avec les juifs.
De l’autre côté, après 50 ans d’occupation bolchevique, les nationalistes de l’Est savent à quoi s’en tenir au sujet des marxistes recyclés par l’Allemagne fédérale. La Polonaise anti-allemande Merkel en tête.
Mais en dépit de l’occupation soviétique, la RDA était collectiviste et maintenait un certain sentiment d’appartenance patriotique, à défaut d’être nationaliste.
Le poids de l’armée jouait un rôle crucial pour la structuration pyramidale et ordonnée de la société.
La dimension dissolvante du marxisme avait été pour l’essentiel neutralisée par Staline pour les besoins du panslavisme auquel il s’était rallié.
L’Allemagne de l’Est suit donc l’évolution de l’Europe de l’Est post-communiste et conserve du collectivisme rouge un sentiment collectif national intact. C’est-à-dire le primat du groupe sur l’individu et une nette homogénéité raciale.
Au vu du poids électoral que représente les régions de l’Est pour l’AfD, ce sont les nationalistes de l’Est qui vont progressivement prendre l’ascendant au sein de la direction fédérale et définir la ligne du parti au niveau national.
C’est le pire cauchemar pour les partis juifs. Le basculement politique, à mesure que l’effondrement démographique produira ses effets à l’Ouest, se fera sur des bases nationalistes et non sur des bases bourgeoises, par nature poreuses au poison juif.
D’une manière générale, l’ennemi d’un parti sera toujours l’opportunisme et l’opportunisme est l’autre nom de la bourgeoisie. Les bourgeois sont les pires ennemis d’une cause, peu importe laquelle.