La Rédaction
Démocratie Participative
27 juin 2024
Judentum über alles
Devenir allemand implique désormais de prêter serment de fidélité à la race juive.
Une nouvelle loi historique sur la citoyenneté entre en vigueur en Allemagne ce jeudi, avec une exigence explicite pour les candidats de déclarer le droit à l’existence de l’État d’Israël.
Le gouvernement socialement libéral du chancelier Olaf Scholz a fait de la double nationalité une promesse de campagne essentielle lors de son élection en 2021, en promettant de réduire à cinq ans le délai d’attente pour l’obtention d’un passeport allemand par les nouveaux citoyens. Auparavant, le pays n’autorisait pas la double nationalité pour les migrants de première génération.
La double nationalité est un oxymore.
Par définition, la nationalité ne s’acquiert pas, elle s’hérite par le sang comme le rappelle la racine même du mot nation.
Ce qui peut s’obtenir, c’est une citoyenneté. Une citoyenneté n’est qu’une allégeance à un état.
En 1945, les états-nations ont été rayés de l’histoire pour être remplacés par des bureaucraties cosmopolites coagulés dans un système financier contrôlé par la banque juive new-yorkaise.
Le but de ce concept subversif qu’est la « double nationalité » est de détruire la nationalité des natifs en donnant les mêmes droits à des masses d’allogènes importées par l’oligarchie qui contrôle les démocraties occidentales.
Comme cette oligarchie est largement juive et que ces allogènes sont tous radicalement hostiles à la colonie de ces juifs en Palestine, les démocraties doivent échafauder d’impossibles montages légaux pour surmonter les contradictions d’une société multiraciale prédominée par l’islamisation.
Les agents des juifs en Allemagne tentent donc ce truc bancal.
Mais la montée de l’antisémitisme, un débat de plus en plus houleux sur la guerre d’Israël contre le Hamas et un regain de popularité des politiques d’extrême droite anti-immigration ont incité Berlin à refondre sa réforme de la citoyenneté pour en faire une mesure plus stricte de la loyauté aux valeurs allemandes.
Tes « valeurs allemandes », Hans
« Quiconque partage nos valeurs et fait un effort peut désormais obtenir un passeport allemand plus rapidement et ne doit plus renoncer à une partie de son identité en abandonnant son ancienne nationalité », a déclaré mardi la ministre de l’intérieur, Nancy Faeser.
« Mais nous avons également été très clairs : toute personne qui ne partage pas nos valeurs ne peut pas obtenir de passeport allemand. Nous avons tracé une ligne rouge très claire et rendu la loi beaucoup plus stricte qu’auparavant ».
La vache de gauche Faeser est connue pour être une sympathisante antifa.
En Allemagne, le mouvement antifa est une vitrine des services de Tel Aviv.
On est jamais aussi bien servi que par soi-même. Quoi de plus normal pour la juiverie que de naturaliser le tiers-monde pour détruire l’Allemagne moyennant une clause spéciale écrite par les juifs, pour les juifs ?
Au moins c’est clair. En Allemagne, on doit trahir l’Allemagne pour servir les juifs.
Les parlementaires allemands se sont mis d’accord sur la base juridique des nouvelles exigences en matière de citoyenneté en janvier, mais le contenu spécifique de l’examen de citoyenneté qui est au centre de ces exigences est fixé par la réglementation gouvernementale.
Le ministère de l’intérieur avait précédemment indiqué qu’il avait l’intention d’inclure des questions sur le judaïsme et la vie juive en Allemagne, mais n’avait pas précisé s’il inclurait une déclaration spécifique concernant l’État d’Israël.
Mardi, le ministère de l’intérieur a confirmé que cette déclaration serait désormais obligatoire.
« De nouvelles questions ont été ajoutées au test sur les thèmes de l’antisémitisme, du droit à l’existence de l’État d’Israël et de la vie juive en Allemagne », a déclaré le ministère de l’intérieur.
La déclaration d’engagement en faveur de l’égalité des sexes, de la démocratie et de la responsabilité historique de l’Allemagne à l’égard du judaïsme en raison des crimes du national-socialisme fera également partie de l’examen.
Ce truc est vraiment une idée de boomer sénile.
Comme si les musulmans étaient connus pour tenir parole.
Si les juifs ont réussi à se hisser au sommet de l’Occident, c’est en culpabilisant les masses blanches à la cervelle lavée par le christianisme, le marxisme et la démocratie. Rien de tel n’est possible avec les musulmans. Aucune paperasse ne convaincra un turc ou un afghan de se sentir « coupable » de quoi que ce soit vis-à-vis de la juiverie. Ça n’arrivera jamais.
Et ils ont absolument raison. C’est à ces juifs de s’excuser pour les crimes monstrueux dont ils se sont rendus coupables partout où ils ont posé le pied.
Lors de la présentation de son rapport annuel mardi, le commissaire officiel du gouvernement allemand chargé de la lutte contre l’antisémitisme, Felix Klein, a fait état d’une augmentation « catastrophique » des crimes haineux à l’encontre des Juifs en Allemagne.
Les incidents antisémites enregistrés par son bureau ont augmenté de 83 %, d’une année sur l’autre, en 2023, pour atteindre 4 782 – la grande majorité d’entre eux étant des actes de discours de haine publiquement documentés, mais avec plusieurs centaines d’occurrences de violence physique à l’encontre de personnes et de biens, a-t-il déclaré.
Le gouvernement a déclaré la tolérance zéro pour l’antisémitisme en Allemagne, mais a également suscité la colère en semblant réprimer les critiques spécifiques du gouvernement israélien sur sa conduite à Gaza, alimentant un débat sur la liberté d’expression en Allemagne, en particulier parmi les artistes et les universitaires.Sabine Döring, ministre allemande de l’enseignement supérieur, a été contrainte de démissionner ce mois-ci après que son ministère a commencé à étudier les possibilités juridiques de financer les recherches d’universitaires allemands qui avaient signé une lettre publique critiquant la répression policière des manifestations d’étudiants anti-israéliens.La question est également devenue un point chaud en Allemagne pour les jeunes musulmans, qui, selon les autorités, se radicalisent de plus en plus en raison de ce qu’ils considèrent comme une oppression gouvernementale de leur droit d’exprimer leur opinion.
Rassemblement national: « Ce n’est plus un parti fasciste, ce n’est pas le retour des vieux démons », estime Alain Finkielkraut, philosophe et écrivain pic.twitter.com/TfqHik8q5Z
— BFMTV (@BFMTV) June 26, 2024
Bizarrement, personne ne relève ce que cela implique, à savoir que les juifs sont au coeur du système. C’est un silence sépulcral. À la place, nous entendons des appels toujours plus pressants à lutter contre « l’antisémitisme », sans aucune explication.