Captain Harlock
Démocratie Participative
03 Juillet 2020
En Allemagne, des femmes incapables de se battre décident désormais des affaires militaires.
Etonnamment, elles veulent remplacer les soldats par des assistantes sociales progressistes.
Un grand coup de balai annoncé. L’armée allemande a indiqué ce mardi la dissolution partielle de ses forces spéciales emblématiques, les KSK, à la suite de plusieurs scandales sur leur proximité avec l’ extrême droite. Cette unité d’élite « ne peut pas continuer à exister sous sa forme actuelle. Elle doit être modifiée de l’intérieur et mieux intégrée à la Bundeswehr [l’armée allemande] », indique un rapport du ministère de la Défense présenté aux députés. Les forces spéciales sont accusées de s’être trop émancipées du reste de l’armée, favorisant la mise en place de « dirigeants toxiques » et la diffusion « d’idées extrémistes », poursuit le rapport.
Dans l’immédiat, la deuxième compagnie des KSK, considérée comme le lieu où les dérapages d’extrême droite ont été les plus importants, sera dissoute sans être remplacée. L’unité ne conservera donc plus que trois compagnies. Camouflet encore plus cinglant : tant qu’un renouvellement en profondeur n’aura pas eu lieu, les forces spéciales se voient interdire de participer aux exercices et aux missions sur le plan international. Créée en 1996 et modelée sur les Special Air Service (SAS) britanniques, l’unité d’opérations secrètes est composée d’environ 1.400 soldats de commandement et de soutien. Ses tâches consistent notamment à rapatrier les Allemands des zones de guerre et de crise, recueillir des informations ou encore entraîner les forces alliées.
La ministre de la Défense, Annegret Kramp-Karrenbauer, dans un entretien au quotidien Süddeutsche Zeitung, a qualifié les dernières découvertes de « troublantes » et « alarmantes » : 48.000 munitions et 62 kg d’explosifs ont disparu du KSK. « Le mur du silence est en train de se briser », a-t-elle affirmé. Encore hantée par le souvenir du nazisme, l’Allemagne s’est donné depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale comme objectif d’avoir une armée irréprochable. Et les scandales récents sont vécus comme un traumatisme.
Plusieurs membres des forces spéciales ont été identifiés comme proches de la mouvance ultranationaliste, au moment où les autorités s’inquiètent d’une résurgence du terrorisme d’extrême droite, visant migrants, juifs et responsables politiques les soutenant. « Quiconque s’avère être un extrémiste de droite dans la Bundeswehr n’y a pas sa place et doit la quitter », a expliqué la ministre à la radio publique. Une nouvelle évaluation devrait avoir lieu fin octobre. Et la ministre de prévenir que, si les membres de ces forces spéciales « n’ont pas entendu ce premier coup de feu préventif, la question d’une réorganisation » plus large « de la KSK se posera inévitablement ». En clair : une dissolution complète.
Voilà le « ministre de la Défense » allemand Annegret Kramp-Karrenbauer aux côtés de la « chancelière » Angela Merkel.
Cette purge a été initiée au sein de la Commission de Défense du parlement allemand par une femme obèse avec des cheveux mauves et des piercings qui est affiliée au parti écolo-communiste, Agnieszka Brugger.
En Allemagne, c’est donc une punk à chien qui est actuellement en charge de la défense du pays et c’est à cette clocharde que doivent répondre les soldats allemands.
Ces notions de « droite » et de « gauche » ne veulent absolument plus rien dire. Ces catégories conceptuelles ne recouvrent plus aucune réalité objective qui permettent de comprendre ce qui se passe. Ici, vous avez des rombières de la « droite » allemande, la CSU, qui s’allient à une traînée gauchiste au visage troué sans y réfléchir à deux fois pour utiliser toute la force de l’appareil gouvernemental afin de briser ce qui semble être un petit groupe d’hommes suspects de ne pas totalement se soumettre aux pénis des musulmans.
Le seul clivage réel qui joue ici est d’ordre biologique et c’est lui qui pousse ces femelles blanches à conspirer contre une organisation masculine.
Vous avez là le résultat tangible du féminisme vaginocratique. Laissez des femmes s’occuper d’un domaine masculin comme le métier des armes et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, vos capacités de défense s’effondrent complètement. Les Allemands n’ont visiblement pas intégré cette vérité intemporelle et ont décidé de donner les clefs de leur gouvernement et de leur armée à des rombières obsédées par le confort des mâles du tiers-monde qu’elles ont invité en Allemagne pour ravager le pays et les sauter.
Et devinez quoi : ces mâles marron ne sont pas du tout à l’aise avec l’idée que des mâles aryens extrêmement dangereux soient en mesure de reprendre le contrôle. Vous pouvez donc avoir des démonstrations de force des islamistes turcs d’Erdogan dans les rues allemandes sans que cela n’entraîne de réactions de la part de ces traînées aux petits soins avec les métèques.
Mais que dix hommes blancs, quelque part, se réunissent pour dire que leur pays leur appartient et la totalité des poufiasses blanches qui occupent une fonction politique ou gouvernementale se déchaînent, menaçant d’emporter le pays dans une mer de flammes si rien n’est fait pour détruire cette poignée de mâles blancs réfractaires.
Tant qu’en Europe ces femelles ne seront pas extirpées des sphères de décision de l’Etat par la tignasse des cheveux, elles continueront leur oeuvre diabolique de destruction. Tout le reste est secondaire.
Le KSK a attiré de premiers soupçons sur lui en avril 2017, lors d’une fête d’adieu de l’un de ses commandants. Des têtes de cochon auraient été jetées et des saluts hitlériens effectués. Lors de l’enquête interne, des armes avaient ensuite été découvertes dans la propriété privée d’un soldat du KSK en Saxe, qui avait auparavant attiré l’attention en raison de ses positions radicales.
« auraient »
Enfin, en janvier, le service de contre-espionnage militaire allemand (MAD) annonçait que 20 soldats de la troupe d’élite étaient soupçonnés d’être des extrémistes de droite, une proportion cinq fois plus élevée que dans l’ensemble de la Bundeswehr. Cette dernière est déjà régulièrement pointée du doigt sur le sujet.
En 2017, deux militaires allemands, dont un officier de 28 ans, Franco Albrecht, ont été arrêtés car soupçonnés d’avoir planifié un attentat contre des personnalités allemandes trop favorables à leurs yeux à l’immigration. Plusieurs reliques de la Wehrmacht, l’armée du régime nazi entre 1935 et 1945, ont été à l’époque découvertes dans une salle commune de cette caserne de la Brigade franco-allemande située à Illkirch-Graffenstaden, dans la banlieue de Strasbourg.
Le KSK est connu pour mener les opérations secrètes les plus risquées. Seuls des hommes d’élite croyant en leur pays peuvent vouloir risquer leur vie dans ce genre d’unités. Si vous voulez simplement un salaire, vous vous engagez pour dans la logistique ou les communications. Ces soldats d’exception admirent à l’évidence leurs prédécesseurs du Troisième Reich parce qu’ils ont tout simplement marqué l’histoire militaire de leur pays et qu’ils sont fiers de marcher dans leurs pas.
Tous les militaires de la planète admirent les prouesses de la Wehrmacht parce qu’elle était la meilleure armée du monde. Ce truc n’est même pas un sujet.
Il est logique que les mâles alpha allemands qui s’engagent admirent les mâles alpha suprêmes que sont les Waffen SS.
Si sur ordre de femelles blanches hystériques l’armée allemande interdit à ses meilleurs soldats d’être autre chose que des fiottes gauchistes voulant mourir pour que des Syriens du Pakistan puissent venir en Allemagne violer leurs gamines sous les applaudissements d’activistes transexuels, son recrutement va tomber à exactement zéro.
L’état-major le sait et c’est pour ça qu’il a toujours toléré la présence de soldats NS dans les rangs de ses unités les plus exposées. Parce qu’ils sont surmotivés et compétents et que les hommes surmotivés et compétents sont rares.
L’extrême droite allemande a accusé le gouvernement mardi de « faire peser sans justification le soupçon sur tous nos soldats ». La gauche radicale a elle jugé les mesures insuffisantes. « Il n’y a pas d’alternative à la dissolution totale » des KSK, a-t-elle réagi.
La gauche radicale allemande est actuellement dirigée par Angela Merkel et cette gauche sait parfaitement que si la population finit par se réveiller face à la catastrophe démographique et raciale qui menace le pays, les cadres du régime seront les principaux visés par le Nuremberg 2.0 du marxisme.
L’exécution sommaire d’un traître de la CSU qui appelait les Allemands à quitter leur pays s’ils n’appréciaient pas l’invasion islamique a donné un petit avant-goût de ce qu’une révolution populaire pourrait donner dans les années à venir. Savoir que des Allemands entraînés à tuer en territoire ennemi pourraient un jour venir les abattre dans leur lit sans que personne ne puisse les stopper n’est pas pour rien dans cette panique subite.
Ce type de purge va fatalement advenir en France. La presse juive a déjà essayé de monter une opération de ce type contre l’École de Saint Cyr. L’objectif, là aussi, est d’imposer le fémino-LGBTisme et le sans-frontiérisme au corps des officiers et ainsi le neutraliser politiquement. D’autres unités d’élite du même type que le KSK seront également visées.
C’est déjà ce qui se passe avec la police française dont la direction va bientôt être réorganisée
Tout ça appartient à un même mouvement de fond orchestré par les juifs qui contrôlent le système et les femmes blanches qu’ils ont installées partout sont leurs alliées les plus féroces avec les homosexuels.