Captain Harlock
Démocratie Participative
04 janvier 2019
Les affaires reprennent.
L’extrême droite allemande se mobilise à la suite d’agressions de passants par des migrants dans une ville bavaroise en y organisant notamment des patrouilles d’auto-défense, a indiqué aujourd’hui le maire de la cité en se disant « choqué ».
« Je peux comprendre l’insécurité qui règne dans une partie de la population, mais les menaces de violences et la haine qui déferlent depuis les quatre coins du pays vont trop loin », a déclaré le maire d’Amberg en Bavière, Michael Cerny, au quotidien local Mitteldeutsche Zeitung. Il a ajouté avoir informé la police de ces milices d’auto-défense qui se forment.
Je suis particulièrement excité à l’idée de voir la SA reprendre vie – sous divers pseudonymes – au coeur de la Bavière pour lancer la contre-attaque raciste.
En premier lieu parce que cela prouve qu’aucune guerre, aucun bombardement de masse, aucune répression à grande échelle – même pendant 80 ans – ne parviennent à écraser une idée fondée sur les principes les plus élémentaires de la vie.
Ensuite, parce que cela prouve à ces sales juifs que l’heure de la facture approche et avec elle, la vengeance d’Adolf Hitler.
Enfin parce que la Bavière, Munich en tête, doivent être libérées du gouvernement d’occupation juif qui les occupent depuis 1945.
Tout ce que nous avons connu, partout en Europe, de soumission arrive à son terme.
La tornade populaire se lève.
Le parti d’extrême droite NPD, proche de la mouvance néo-nazie, a publié en parallèle sur l’un de ses comptes Facebook dans la région des photos de plusieurs de ses membres, portant des vestes rouges avec le sigle du mouvement. On les voit marchant sur les lieux où les agressions se sont déroulées peu avant le réveillon de la Saint-Sylvestre, ainsi que devant un foyer de demandeurs d’asile.
Et ces Nazis n’entendent pas céder un pouce de terrain à la vermine raciale importée en Allemagne par la finance juive.
Les marxistes imaginent toute une série d’intentions criminelles de la part des Chemises Brunes.
Ils vont jusqu’à coller des lames de rasoir sur les autocollants patriotiques pour ensuite accuser la résistance aryenne.
This is the far right in Germany, but the far right do the same thing here with there stickers putting razor blades behind them. Never peel them off, just stick a bollocks to brexit sticker over it from https://t.co/b9SbcPA0XQ pic.twitter.com/IbyfKitBeQ
— EU Flag Mafia (@EUflagmafia) 3 janvier 2019
Ces rouges sont moins loquaces lorsqu’il s’agit de leurs violeurs musulmans.
Quatre jeunes hommes originaires d’Afghanistan et d’Iran ont été arrêtés par la police après avoir, en état d’ébriété, agressé samedi soir une dizaine de passants dans la rue à Amberg. Ils doivent répondre de « coups et blessures ». Cette affaire a relancé le débat autour des demandeurs d’asile dans le pays, toujours sensible depuis l’arrivée dans le pays de plus d’un million d’entre eux en 2015 et 2016.
Et les choses ne vont pas s’arranger pour la république juive d’Allemagne.
Actu 17 :
Jeudi soir a été rendu public un piratage ayant causé la fuite des données personnelles d’un millier d’élus allemands. Des élus fédéraux, nationaux et européens ont vu fuiter sur internet leurs numéros de téléphone portable, adresses, conversations privées, e-mails, photographies, communications entre responsables politiques…
Ces informations ont été récupérées tous azimuts : extraites d’Outlook, Facebook ou encore Twitter et d’autres plateformes en ligne. Tous les partis politiques sont concernés par ce piratage, à l’exception du parti d’extrême-droite AfD. Quarante journalistes ont également été ciblés et dix artistes connus pour leurs prises de position plutôt à gauche de l’échiquier politique. Toutefois, l’origine de l’attaque est ignorée pour le moment par les autorités qui ont ouvert une enquête.
Un journaliste du Bild a affirmé s’être procuré la base de données dérobées dans cette attaque, baptisée « Bundestag Leaks » ou « BTLeaks ». Il explique qu’il a passé plusieurs heures à analyser à peine 3% de la montagne de documents. D’après lui, plusieurs scandales politiques et notamment des faits de corruption font partie de ces fichiers.
Le moment est tout simplement venu de liquider 1945.