La rédaction
Démocratie Participative
21 mars 2023
Pendant ce temps-là, dans l’Allemagne multiculturelle, les dernières gamines allemandes se font physiquement éradiquées par les petites protégées de Merkel.
Son corps est découvert criblé de coups de couteau dans un bois situé à quelques kilomètres de chez elle. Luise « est morte après avoir perdu beaucoup de sang à la suite de nombreux coups de couteau », décrit le procureur Mario Mannweiler. Une trentaine, détaille le site Focus online, qui cite une source judiciaire. Selon le quotidien Bild, la fillette a succombé aux coups d’un petit couteau, qui pourrait être un ustensile de cuisine. Cette arme est toujours recherchée par les enquêteurs.
Interrogées par la police allemande durant les recherches, les deux adolescentes mises en cause n’ont pas immédiatement reconnu les faits. Mais confrontées à leurs contradictions, les collégiennes ont avoué, gardant un flou sur le mobile.
« C’est un sujet complexe et les raisons de leur geste sont à analyser en fonction de leur âge, estime le procureur Mannweiler. Ce qui serait une motivation possible pour un enfant peut paraître complètement incompréhensible pour un adulte ».
Pourtant, c’est à une histoire de harcèlement que Luise aurait succombé, avance Bild. La victime aurait été un temps très proche de la principale agresseuse, âgée de 13 ans. Puis la relation aurait basculé et Luise aurait été « intimidée et harcelée », ajoute le quotidien qui s’appuie sur un rapport de police.
Luise aurait alors dénoncé ses harceleurs auprès d’adultes, ce qui aurait déclenché la colère de son ancienne amie qui aurait eu « terriblement » envie de se venger, continue Bild.
Samedi, la principale suspecte convoque son acolyte, âgée de 12 ans. Elle l’aurait « obligée » à l’aider à s’en prendre à Luise dans la forêt.
Âgées de moins de 14 ans, limite de la responsabilité pénale en Allemagne, les deux collégiennes pourraient échapper aux poursuites. Si leur avenir reste inconnu à ce stade, elles ont, pour l’heure, été confiées aux services sociaux et de protection de la jeunesse.
« Nous n’avons jamais été confrontés à un cas pareil, indique un porte-parole de la police de Cologne, cité par Focus Online. Par conséquent, nous n’avons pas de procédure standard pour gérer cela. »
Reste que la principale agresseuse, malgré sa jeunesse, aurait tout fait pour couvrir son crime. Après avoir poignardé Luise, elle aurait contacté la famille de la victime pour prendre de ses nouvelles, assurant que l’adolescente aurait dû l’appeler mais ne l’a jamais fait. Un appel est même passé sur le portable de la fillette, indique Focus Online. Sans réponse, évidemment.
Le Parisien est bien évidemment très discret sur le profil racial des deux meurtrières.
Comme toujours avec la presse juive, il s’agit de ne pas réveiller l’instinct de conservation du public blanc et de taire l’origine raciale de l’attaque pour maintenir la victime aryenne en dormition.
Cette vidéo permet de clarifier le pourquoi du comment :
Pas pour les nerfs fragiles !
La jeune Luise, âgée de 12 ans, aurait été recueillie deux jours avant sa mort. Merci au gouvernement fédéral d’avoir accueilli des milliers de criminels en Allemagne.
Nix für schwache Nerven !
Die Zwölfjährige Luise, angeblich zwei Tage vor ihren Tod aufgenommen, danke Bundesregierung für die Aufnahme tausender Verbrecher in Deutschland. pic.twitter.com/o8H6UOQE48
— Freddy Frettchen (@FredyFrettchen) March 21, 2023
Nous sommes sur de la créature d’Anatolie avec du sang d’Asie centrale.
Quoique musulmanes sur le papier, le matériel biologique diffère de la Maghrébine de base dont nous avons coutume sous nos latitudes.
Nous avons là des descendantes de pillards mongols qui ont violé leur chemin pendant plusieurs siècles avant de finir par établir leurs yourtes dans la banlieue de Constantinople, en 1453.
Sitôt le Troisième Reich détruit, ces bêtes sauvages ont immédiatement été installées partout en Allemagne par le régime antifasciste.
Le sang turc est un terrifiant mélange de sous-humanité orientale et de cannibales mongols issus des steppes sibériennes.
Aujourd’hui, les Russes ont passablement domestiqués ces nomades, aussi ne consomment-ils que du sang cru d’animaux.
Pour le sous-homme oriental, avoir été soumis et violé par ces hordes mongoles est une amélioration génétique majeure car il a gagné en puissance de calcul cognitif et en cruauté.
Si le bicot nord-africain ou l’Arabe est assoiffé de sang, il est aussi extraordinairement stupide. Il ne peut rien planifier de machiavélique qu’un Blanc conscient racialement ne devine à l’avance. En revanche le Turc, bâtard oriental augmenté, est capable d’une sournoiserie illimitée. Dans le cas de la jeune Luise, ces deux collégiennes turco-mongoles ont donc pu mettre au point un véritable scénario d’assassinat.
Les profils raciaux de la faune environnante confirment par ailleurs que nous sommes bien à Cologne, une ville ravagée par l’immigration du tiers-monde et, pour l’essentiel, perdue.
Importer ces bêtes sauvages pour ensuite leur livrer leurs propres enfants, c’est le bilan des politiciens antifas, amis des droits de l’homme marron.
Au final, c’est très simple.
Soit on est un loup, soit on est du gibier.
Un enfant blanc doit apprendre les différences raciales, les comportements des races ennemies, leurs forces et leurs faiblesses, les stratégies pour leur nuire en toutes circonstances. Par dessus tout, il doit savoir dissimuler ses intentions véritables face aux races étrangères et maîtriser l’art de les diviser entre elles pour mieux régner.
L’homme blanc doit soumettre les races inférieures et en disposer souverainement, ce qu’il ne peut faire qu’après avoir pleinement réalisé sa mission historique et acquis la confiance en lui nécessaire que procure la conscience de la supériorité de son sang.