Capitaine Harlock
Démocratie Participative
02 février 2018
Ici, nos lecteurs trouveront un nouvel exemple – ils sont légions – de ce que l’esprit juif ne varie pas, non plus que le fanatisme juif. Il ne se donne à voir pour tel que lorsqu’il est en terrain sûr. L’esprit juif, c’est Nosferatu, celui qui se glisse la nuit dans la chambre de sa victime et ponctionne l’énergie vitale de l’innocent plongé dans son sommeil.
Le juif porte la mort dont il est le visage hideux.
BFMTV :
Anita Lasker-Wallfisch, ancienne déportée survivante de l’Holocauste, a lors d’une longue tirade devant la chambre des députés, mis en garde contre le retour de l’antisémitisme en Allemagne ce mercredi.
« Quel scandale que des écoles juives, même des jardins d’enfant juifs, doivent être protégés par la police! L’antisémitisme est un virus vieux de 2000 ans, apparemment incurable« », a lancé cette violoncelliste de 92 ans, déportée à Auschwitz en 1943 et invitée devant les élus allemands à l’occasion de la commémoration annuelle des victimes du nazisme au Bundestag.
Accompagnée de sa sœur, Renate, déportée comme elle d’abord à Auschwitz puis à Bergen-Belsen, Anita Lasker-Wallfisch continue: « Nier quelque chose qui fait partie du passé de l’Allemagne est tout simplement inacceptable », a encore indiqué la musicienne qui a fait partie de l’orchestre d’Auschwitz, organisé par les SS dans le camp d’extermination.
« La haine est un poison et au final, vous vous empoisonnez vous même », a insisté Anita Lasker-Wallfisch, devant la chancelière Angela Merkel, l’ensemble de son gouvernement et des dirigeants des partis politiques.
« Renate (sa soeur, ndlr) et moi sommes nées dans ce pays, c’est-à-dire (que nous sommes) Allemandes », a-t-elle rappelé. Après l’arrivée des nazis au pouvoir, « on m’a craché dessus dans la rue et on m’a dit ‘sale Juive!' ».
Le 9 avril 1942, ses parents sont déportés. L’adolescente de 16 ans veut partir avec eux. Mais son père l’avertit: « Là où nous allons, tu iras bien assez tôt », a-t-elle dit. Longuement applaudie par les députés, elle a également évoqué l’accueil par l’Allemagne de plus d’un million de réfugiés, fuyant la guerre ou la misère, depuis 2015. Un « geste humain incroyablement généreux et courageux« , selon elle.
Cette juive, comme toute sa race, n’évoque bien sûr pas pourquoi cet antisémitisme existe depuis des millénaires. Partout, en tout temps, par delà les langues, les religions, les cultures.
Elle n’a pas parlé du programme génocidaire mis en place en Russie en 1918 par les bolcheviques juifs. Ni celui du juif Bela Kun en Hongrie. Elle n’a pas davantage parlé de la férocité des juifs lors de la défaite allemande de 1918 qui a vu les agitateurs de sa race appeler à réitérer en Allemagne ce qui se déroulait en Russie, alors que le pays était vaincu, affamé, occupé.
Elle n’a pas parlé du hold up sans précédent mis en place par sa race en 1918 pour racheter, à vile prix, tout l’immobilier des grandes villes allemandes puis à se livrer à une spéculation d’une brutalité jamais vue, poussant des centaines de milliers de familles allemandes à la rue.
Non, cette juive n’en a pas parlé.
Elle a parlé de l’antisémitisme « apparemment incurable » qui prévaut en 2018 comme en 1918.
Trônant sur son pupitre, cette vieille juive a fait ce que fait la juiverie éternelle : attaquer l’innocent, l’insulter avec effronterie, prêcher son juifisme avec cruauté et fanatisme, demander des excuses et des acclamations au rythme de ses appels au meurtre contre sa victime.
Abusant de l’éternelle naïveté et générosité de ses hôtes, elle a utilisé la culpabilisation sémitique pour soumettre les Allemands, dans leur parlement, à un choix simple : la rédemption par la capitulation devant l’invasion des hordes de sauvages du tiers-monde.
Comme on voit, cette race ne varie pas d’un millimètre. Son arrogance attire sur elle tous les châtiments, ce qui la pousse en retour à une débauche d’arrogance renouvelée. Jusqu’à la chute finale.
L’orgueil de la race juive, qui n’est que l’expression de son idolatrie, est la cause de sa ruine, à toutes les époques.
Et cette fois ne sera pas différente des fois précédentes.
Les juifs sont au bord de la plus grande catastrophe de leur histoire et ils dansent, avec leur morgue coutumière, sur le bord de l’abîme.