Allemagne : autorisation du procès d’un centenaire accusé d’avoir ouvert et fermé des portes dans une prison pendant la guerre

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 août 2021

Les démocraties juives sont un drôle de système.

Elles persécutent des centenaires pour avoir ouvert et fermé deux ou trois portes dans des prisons en temps de guerre mais laissent libres des égorgeurs d’enfants venus clandestinement d’Afghanistan.

France 24 :

Un homme ayant travaillé en tant que gardien dans le camp de concentration nazi de Sachsenhausen, près de Berlin, entre 1942 et 1945, sera jugé à l’automne en Allemagne. Âgé de 100 ans, il sera jugé pour complicité de meurtre sur 3 500 personnes.

Un ancien gardien du camp de concentration nazi de Sachsenhausen, près de Berlin, sera jugé à l’automne en Allemagne quelque 76 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, rapporte dimanche 1er août, Welt am Sonntag, l’édition dominicale du quotidien allemand Die Welt.

Selon le média, le tribunal de district de Neuruppin a retenu contre lui les accusations de complicité de meurtre sur 3 500 personnes, et le procès doit commencer en octobre.

L’accusé, aujourd’hui âgé de 100 ans, devrait être en mesure de supporter deux heures à deux heures et demie d’audience par jour, a précisé au journal un porte-parole du tribunal.

En démocratie, les droits de l’homme permettent de torturer des vieillards pour des crimes si flagrants qu’il faut 76 ans pour qu’ils deviennent une affaire.

Auditionner tous les jours pendant près de trois heures un centenaire est une forme de torture publique et le but de cette forme publique de torture est de tuer ce vieillard grabataire.

Ce procès truqué n’est qu’un prétexte des juifs pour appliquer la peine de mort.

La justice juive adore ces mises en scène sadiques.

Tout comme la presse juive qui savoure chaque minute de cette caricature de justice.

Ce dernier n’était pas disponible dans l’immédiat pour faire un commentaire.

Sans rire.

J’ai toujours aimé les journalistes.

L’accusé, dont le nom n’a pas été rendu public conformément aux règles en vigueur dans les médias allemands sur l’identité des suspects, aurait travaillé entre 1942 et 1945 dans le camp où 200 000 personnes ont été emprisonnées, et 20 000 assassinées.

Bien que le nombre de responsables des crimes nazis ne cesse de diminuer avec le temps, les magistrats tentent toujours de traduire en justice tout individu soupçonné d’avoir participé aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale.

La première condamnation en 2011 d’une personne ayant travaillé dans un camp de concentration a fait jurisprudence, ouvrant la voie à d’autres procédures puisqu’une telle fonction est désormais passible de poursuites, sans que la preuve d’un crime spécifique soit apportée.

Ce centenaire n’est même pas accusé d’avoir effectivement tué qui que ce soit.

La législation prévoit explicitement qu’aucune preuve n’est nécessaire : il suffit que quelqu’un ait été mobilisé durant la guerre et affecté dans une prison pour une vague période pour être torturé en public sur ordre des juifs 76 ans plus tard.

C’est tout ce qu’il faut : une accusation des juifs et des jetons de présence.

Car évidemment cette affaire est téléguidée à 100% par les juifs. Dites-vous bien que ce cirque hébraïque durerait des siècles si l’espérance de vie humaine durait des siècles. La haine fanatique des juifs est sans aucune limite de temps ou de durée.

Je vous laisse imaginer ce que le descendant du traître Dreyfus Jérôme Salomon prépare en ce moment même contre les Français.

Il n’y a qu’une résistance antisémite déterminée qui met un coup d’arrêt aux crimes de ces bêtes sauvages.

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