Captain Harlock
Démocratie Participative
05 décembre 2020
La Panzer Mamie ne cède pas
A peine libérée après 2 ans et demi de détention pour avoir déclaré que 6 trilliards de juifs n’avaient jamais été mystérieusement transformés en savon durant la Seconde Guerre Mondiale par Adolf Hitler, l’héroïque Ursula Haverbeck a été de nouveau condamnée à une peine de prison par le gouvernement d’occupation opérant en Allemagne pour avoir dit des trucs sur YouTube.
Le journal juif Der Spiegel écume de haine.
Dans une interview avec un YouTuber, qui se fait appeler « People’s Teacher » et qu’il a publiée en mars 2018, Haverbeck a relativisé et nié les crimes nazis. Dans cette vidéo d’environ 15 minutes, elle a appelé à « s’efforcer de faire en sorte que ce mensonge, ce fardeau de la dette », qui pèse sur le peuple allemand, soit « levé ». Dans ce document, Haverbeck nie le massacre industriel de six millions de Juifs. Haverbeck dit n’avoir jamais reçu de réponse à la question « où les six millions de Juifs ont été gazés ».
« Je trouve insupportable de devoir écouter de telles déclarations », déclare le juge lors de son verdict. « Ils se moquent des victimes. » Le tribunal condamne Haverbeck in absentia à un an de prison sans possibilité de libération conditionnelle pour sédition. La sentence n’est pas encore définitive.
Je trouve que ce mot de « sédition » est parfaitement approprié et beaucoup plus correct que ceux qu’emploient les tribunaux français pour justifier la répression contre les intellectuels révisionnistes.
C’est un aveu. Il ne s’agit pas tant de « vérité historique » de la part du pouvoir établi que de soumission à ce pouvoir. Le lien entre le mythe de l’holocauste et l’existence même du système est ainsi revendiqué officiellement par la république juive d’Allemagne. Quiconque conteste l’imposture des pseudo chambres à insecticide hitlériennes est considéré comme un rebelle par le gouvernement.
Je préfère personnellement être un rebelle qu’un laquais docile des juifs.
Ce n’est pas la première condamnation de Haverbeck pour sédition. Le tribunal ne croit pas que la jeune femme de 92 ans changera de comportement. « Je crains qu’il y ait un risque de récidive », a déclaré le juge. Mais la punition n’est pas seulement destinée à influencer la personne, mais aussi à sanctionner une mauvaise conduite. L’âge avancé de Haverbeck et les conséquences de l’emprisonnement qui en résulte ont été pris en compte par le tribunal comme une circonstance atténuante.
Le ministère public avait exigé une peine de prison d’un an et trois mois. Haverbeck vendait le « mensonge d’Auschwitz » comme étant la vérité et niait le fait historique de l’Holocauste.
Mettre-une-grand-mère-qui-dit-des-trucs-sur-YouTube-en-prison-parce-que-la-démocratie-c’est-la-liberté me paraît être un concept bancal.
L’avocat de la défense Wolfram Nahrath a présenté sa cliente comme une victime dans son discours de clôture. Ursula Haverbeck est « une personne sensible, sensible et intelligente ». Nahrath demande : « Comment doivent être les gens comme Mme Haverbeck ? Des personnes qui se rendent passibles de poursuites si elles expriment simplement leurs convictions. Ces personnes ont été contraintes de se taire. Et c’est une situation qui rend les gens malades. »
Effectivement, la censure juive rend les gens malades.
« Haverbeck ne pouvait pas nier ce qu’elle ne reconnaît pas comme un fait en raison d’une idée erronée, profondément et fermement établie », a déclaré l’avocat de la défense. Nahrath a demandé à la cour de faire preuve de « clémence ». « N’y a-t-il pas un moment pour laisser cette vieille dame tranquille ? » Sa cliente ne savait pas que la « conversation » avec le « People’s Teacher » devait être publiée. Elle n’a pas accepté sa publication. Nahrath a demandé l’acquittement.
Ursula Haverbeck savait exactement ce qu’elle faisait. L’interview n’était pas une conversation privée avec Nikolai Nerling, le « professeur du peuple » autoproclamé. Il a salué le public en disant « Bonjour les amis », a mentionné que « beaucoup » allaient maintenant voir son interview, et Ursula Haverbeck a également parlé à la caméra. « La vidéo était destinée à être publiée », a déclaré le juge – et Haverbeck en était conscient.
L’affirmation de Haverbeck selon laquelle elle ne fait que poser des questions expose la cour comme un instrument de rhétorique. D’après le contexte, il est clair que sa déclaration selon laquelle il n’y a pas de preuve du millionième meurtre est censée signifier que le meurtre de masse systématique n’existe pas.
Le premier jour du procès, Haverbeck avait déclaré qu’elle ne pouvait pas reconnaître l’Holocauste comme un fait car, bien qu’elle soit déjà née pendant l’ère nazie, elle n’était pas devenue un témoin oculaire des crimes. Elle n’était pas là, dit-elle.
« Personnellement, je n’ai jamais vu le monde depuis l’espace non plus », a déclaré le juge, « mais il est clair pour moi que le monde n’est pas un disque ».
Il est clair qu’on peut voir la lune depuis la terre et qu’elle est sphérique.
Il est tout aussi clair que la chambre à gaz d’Auschwitz a une porte en bois avec une fenêtre.
Ce juge serait bien évidemment incapable de tenir 10 minutes face à un auteur révisionniste. Tout comme le pape juif du mythe de l’holocauste Raul Hilberg a été incapable de tenir face à Ernst Zundel lors du fameux procès canadien lors duquel le mythe des chambres à gaz s’est effondré.
Le Professeur Robert Faurisson était présent lors de ce procès qui a duré des mois et qui s’est converti en fiasco irréversible pour les juifs.
Au plan scientifique et historique, l’holocauste a cessé d’exister dans les années 80 quand les auteurs révisionnistes ont achevé la thèse absurde ressassée par les juifs. Ce qu’il reste de cette thèse en revanche, c’est la religion de l’holocauste et le shoah business.
Cette idole impie de l’holocauste est encore vénérée par des Boomers sémitisés mais tous ceux qui prennent un peu de temps pour étudier sérieusement le sujet en lisant de manière critique les auteurs révisionnistes découvrent l’ampleur de la mystification.
C’est alors qu’on comprend pourquoi la juiverie a exigé la mise en place de lois de terreur pour empêcher tout débat contradictoire et libre sur cette imposture.
Moi-même, je ne m’étais jamais intéressé à cette histoire d’holocauste avant mes 20 ans. J’avais subi l’embrigadement classique de l’Education Nationale sur le sujet. Un cours d’histoire, un manuel avec une photo de fosse commune et des « témoignages » de « survivants » comme Elie Wiesel qui, quoique « survivant » et citant sans cesse son numéro de déporté tatoué, n’a jamais eu de tatouage. Ce qui a d’ailleurs amené l’équipe de Bernard-Henri Lévy à conclure, en défense de Wiesel, que les « archives d’Auschwitz ne sont pas fiables », lol.
Comme tout le monde, j’avais pris pour argent comptant ce que les médias et les profs de gauche répétaient, sans jamais m’être posé la question de savoir de quoi il retournait. Le seul fait que tout le monde répète le même truc suffisait. Et puis un jour, j’ai creusé en parcourant des écrits révisionnistes solides et en peu de temps j’ai compris que la race juive était encore plus fondamentalement pourrie que ce que je suspectais de prime abord. Seule une race d’ordure peut monter un mensonge de cette ampleur pour se placer au centre du motif international et se faire adorer par une plèbe naïve tout en lui faisant les poches avec force injures.
Les gens sont stupides. Ils répètent les choses sans chercher à comprendre ou vérifier. Les juifs le savent et exploitent avec férocité la crédulité des goyim.
Plus on creuse, plus on vole de mensonge en mensonge. Cela ne s’arrête jamais. Comme l’histoire des saucisses de juifs gazés d’Auschwitz que nous citons souvent ici.
C’est comme ça pour toute cette affaire d’holocauste.
Plus vous cherchez, plus vous découvrez un monde inconnu qu’est celui de la vérité historique.
Treblinka Mon Amour
En 2014, les médias britanniques cherchaient encore des « preuves » à Treblinka bien que tout était censé être « définitivement prouvé » par ailleurs. Une équipe d’experts annonçait avoir trouvé le Graal : un reste de chambre à gaz frappé d’une étoile de David. Des « experts » menés par la Britannique Caroline Sturdy Colls assuraient que les Allemands utilisaient de telles étoiles pour faire passer les chambres à gaz « pour des bains rituels juifs ».
Et puis, peu de temps après, des révisionnistes firent observer que non loin de là, une usine polonaise fabriquait depuis longtemps des tuiles avec ce sigle.
On entendit plus jamais parler de la « preuve définitive » que les médias britanniques avaient triomphalement présenté aux foules quelques mois plus tôt.
Toujours au même moment, Caroline Sturdy Colls prétendit apporter la preuve de la présence de fosses communes géantes à Treblinka où étaient censées être enterrées les cendres de 800,000 juifs « gazés ». Au terme d’un laborieux compte rendu intitulé « Que la terre ne dissimule pas mon sang » : approches médico-légales et archéologiques pour localiser les restes des victimes de l’Holocauste », Colls admet platement que la tâche est « impossible ».
Il faut dire qu’à Treblinka les choses sont simplifiées par le fait que les organisations juives interdisent aux scientifiques d’y réaliser des fouilles.
Caroline Sturdy Colls s’essaie dans cette étude à un étrange exercice consistant à fouiller le site de Treblinka sans le fouiller. En résulte une étude dépourvue de chiffres et un très long récit romancé au sujet de cette absence de chiffres qu’elle présente comme une preuve définitive.
En 2010, Richard Wright s’est penché sur la question de savoir « où sont les corps » en relation avec les génocides des XXe et XXIe siècles. C’est une question qui est souvent posée à propos de l’Holocauste, parfois par les proches de ceux qui ont été tués, parfois par des individus curieux, mais aussi, plus communément, par ceux qui nient que les nazis aient perpétré des meurtres de masse. Il est certain que cette question a été posée à plusieurs reprises à propos de Treblinka et que l’un des principaux objectifs de la recherche archéologique était de tenter d’y répondre. La réponse de travail élaborée par l’auteur est que, dans certains cas, nous ne savons tout simplement pas où se trouvent les corps et peut-être que cela ne sera jamais le cas. Cependant, dans d’autres cas, la réponse éloquente de Wright à sa propre question – « dans le sol » – peut également être fournie.
Il est probable que des méthodes d’élimination des corps aussi diverses existent et varient sur d’autres sites de l’Holocauste en Europe. Les archéologues doivent être réalistes quant à la mesure dans laquelle ils peuvent contribuer aux discussions sur le nombre de victimes. À la lumière de ce qui précède, les archéologues ne doivent pas essayer de faire de telles estimations, mais plutôt expliquer quels sont les vestiges qu’il est ou a été possible de localiser et ceux qui ne le sont pas. Le fait qu’il n’est pas possible de localiser les vestiges indique en soi que les auteurs de ces crimes ont tenté de les cacher, que le paysage a changé et que les équipements de détection sont actuellement limités, autant de facteurs que les archéologues engagés dans ces recherches devraient clairement préciser.
Voici la fabuleuse théorie de cette « experte » britannique : « si l’on ne trouve rien quelque part, c’est la preuve qu’il s’y est passé quelque chose car on aurait forcément dû y trouver quelque chose. »
C’est le sophisme utilisé par le juif Vidal-Naquet après avoir été acculé par le Professeur Robert Faurisson : « Il ne faut pas se demander comment techniquement un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête sur ce sujet. »
Caroline Sturdy Colls
Avec une telle méthodologie, vous pouvez dès demain creuser dans votre jardin, ne rien y trouver et déclarer publiquement que c’est la preuve irréfutable que les Nazis y ont tué 10,000 juifs. Vous serez probablement invité par la BBC pour un documentaire et Le Monde s’en prendra à tous ceux qui vous accuseraient de mentir.
Belzec : où est le pudding ?
Belzec est un autre camp « d’extermination » où sont censés avoir été éliminés entre 430,000 et 500,000 juifs.
Là aussi, entre 1997 et 1999, une équipe « d’experts » polonais est intervenue pour localiser les « fosses communes » où étaient censés se trouver un nombre de cadavres équivalent à la population de la ville de Nantes. Le professeur Andrzej Kola a procédé à 2,000 carottages. Il affirme avoir identifié 33 « fosses communes » dont il évalue la capacité à 15,840 mètres cubes dont 6,700 mètres cubes de cendres. Sur ces 6,700 mètres cubes, la moitié serait des cendres humaines, l’autre moitié les cendres du bois nécessaire à la crémation.
En partant d’une moyenne de 2,5 kilos de cendres par corps incinéré théoriquement, tous âges et sexes confondus, on obtient 1,250,000 kilos de cendres. Soit 1,250 tonnes, ce qui représente 1,100 mètres cubes de cendres humaines.
Autrement dit :
- les « fosses communes » que Kola prétend avoir découvertes sont 15 fois plus grandes que ce qui aurait été nécessaire à l’enfouissement des cendres.
- même en y ajoutant les cendres du bois qui aurait dû être utilisé pour la crémation des corps, avec un ratio de 1:1 ce serait encore 8 fois plus grand que nécessaire.
- le volume de cendres humaines que Kola assure avoir trouvé à Belzec (3,350 mètres cubes) équivalent à 1,2 millions de personnes incinérées contre 430,000-500,000 admises aujourd’hui par les historiens officiels.
Curieusement, ni Kola ni les historiens officiels n’ont tiré les conclusions de ces « découvertes » extraordinaires. Avec 1,2 millions de juifs gazés et incinérés, ce serait 2,5 fois plus de victimes qu’initialement annoncés à Belzec, ce qui en ferait un « camp d’extermination » plus important qu’Auschwitz (900,000 de juifs « gazés »). Les organisations juives internationales, Israël et le professeur Kola auraient-ils gardé le silence sur une révélation aussi énorme, eux qui se démènent pour garnir leur macabre et rémunératrice comptabilité ? Bien sûr que non. S’ils ont passé ces « découvertes » par pertes et profits, c’est que cela aurait attiré l’attention sur l’absurdité de ces évaluations bancales.
Poussons plus loin : si seulement 1/8ème des cendres enfouies à Treblinka sont d’origine humaine, que sont les 7/8èmes restants ? Et si l’on a mélangé des cendres humaines avec une telle masse de cendres non-humaines dans de telles proportions, quel en était le but ? Surtout, qu’est-ce qui nous dit que ce 1/8ème n’est pas un effet d’optique résultant de la dissémination intentionnelle des cendres de quelques milliers de personnes mortes dans des conditions naturelles récupérées ici et là ?
A Treblinka, les « experts » officiels expliquent « qu’il est impossible de compter » tandis qu’à Belzec les « experts » trouve deux ou trois fois plus de victimes que ce qu’on est censé y trouver dans des fosses huit fois trop grandes. Enfin, à Auschwitz, on mange des saucisses de juifs gazés à l’insecticide. Quand enfin on demande comment, sans budget, sans plan et sans ordres le gouvernement national-socialiste dirigé par Adolf Hitler a réalisé cette mystérieuse opération, les historiens juifs répondent : « parce que ça a eu lieu ». Et jettent en prison ceux qui posent des questions.
Restons sur un principe simple : pas de cadavre, pas de meurtre.
La liste est longue
Début 2019, France 2 nous sortait en exclusivité un « témoignage unique et inédit » sur le fonctionnement des soi-disant chambres à gaz dont on apprit par la suite qu’il était connu depuis mars 1945. Ce témoignage consistait en un message placé dans une bouteille de verre enfouie par son auteur « sous des cendres humaines » qui recouvraient une chambre à gaz effondrée.
De rapides vérifications permettaient d’apprendre que le fameux « témoin » utilisait la poste allemande depuis Auschwitz pour écrire officiellement à sa famille juive résidant au même moment à Paris (?!). On apprenait également que l’identité de ce témoin était fausse et que l’auteur avait enterré ce message dans les décombres de ladite chambre à gaz bien qu’elle ait été détruite 2 mois après la mort officielle de l’auteur dudit message ! Pour parfaire le tout, le message rédigé fin 1944 était adressé nommément à l’organisation polonaise qui prit en charge le camp en 1945, bien des mois après le départ des Allemands.
Ce « témoin » était un revenant qui disposait apparemment du don de voyance de son vivant. Ou alors l’auteur du fameux message n’était qu’une création des soviétiques dont le détenu communiste Clément Coudert fut chargé de confier le « témoignage » bidon directement à la rédaction du journal communiste « L’Humanité » le 24 avril 1945, comme nous l’avons indiqué.
Tout est comme ça.
Les juifs ont totalement abandonné l’idée de démontrer quoi que ce soit. Cela ne fait plus du tout partie de leur champ d’action. Leur activisme sur le sujet consiste uniquement à produire des films pour ménagères et des documentaires fantaisistes tandis que des hordes d’avocats circoncis poursuivent ceux qui s’interrogent trop.
Le juif, en ce domaine comme dans tous les autres, croient que l’or peut acheter la vérité.
Le mythe de l’holocauste finira dans un long rire.