Captain Harlock
Démocratie Participative
07 mai 2018
Les gros bras du rap qui aiment faire les clowns en se mettant en scène avec des AK47 sont d’abord et avant tout les larbins du star system juif.
Deux rappeurs allemands qui avaient été vivement critiqués pour les paroles d’une chanson où ils se comparaient sur un ton léger aux détenus d’Auschwitz iront visiter l’ancien camp de la mort nazi en Pologne.
Le journal Bild a fait savoir jeudi que les rappeurs Kollegah et Farid Bang avaient accepté une invitation de la part du Comité international d’Auschwitz pour visiter le mémorial le 3 juin et en apprendre davantage sur les horreurs qui y ont été commises.
Les deux chanteurs avaient été largement critiqués pour une chanson figurant sur leur nouvel album dans laquelle ils clamaient : « mon corps est plus maigre que celui des détenus d’Auschwitz ». Ils s’étaient défendus en invoquant la liberté artistique, rejetant toute possibilité qu’il s’agisse de l’expression d’une opinion politique.
Les procureurs de Dusseldorf ont expliqué que des plaintes individuelles ont été déposées contre les rappeurs et que des enquêtes préliminaires obligatoires avaient été ouvertes à leur encontre.
Les deux jeunes ont subi des pressions de la part des groupes de survivants de la Shoah ainsi que de la communauté artistique. Un intervenant qui avait condamné les stars lors de la cérémonie de remise des Echo, au mois d’avril, avait obtenu une standing ovation de la part de l’assistance et plusieurs artistes avaient rendu leurs prix en signe de protestation après que Kollegah et Farid Bang ont remporté le prix de l’album de hip-hop le mieux vendu de l’année 2017 pour « Young, Brutal and Handsome 3 ».
La cérémonie des Echo avait eu lieu alors qu’Israël célébrait Yom HaShoah, sa journée de commémoration de l’Holocauste consacrée aux six millions de Juifs assassinés par les nazis pendant la Seconde guerre mondiale.
En réponse à la controverse, BMG, qui diffuse les communiqués de Kollegah et Farid Bang, avait annoncé une campagne de sensibilisation à l’antisémitisme en direction des enfants.
« Des reportages récents ont produit des preuves choquantes d’une nouvelle vague d’antisémitisme dans les écoles allemandes », avait dit le PDG de BMG Worldwide, Hartwig Masuch. « BMG est totalement opposé à l’antisémitisme ».
Mais Masuch a également affirmé que les artistes en question n’étaient pas antisémites.
« Kollegah et Farid Bang ont clairement indiqué à plusieurs reprises sur Internet et en public qu’ils n’étaient pas antisémites, et ils se sont excusés pour toute peine causée par les paroles en question », avait-il dit. « BMG défend des valeurs telles que la liberté artistique, la créativité et la diversité. »
Ouai, peu importe.
Ce Kollegah est de race germanique tandis que l’autre est un maghrébin originaire du Maroc. S’il s’était agi de turcs, il y a de fortes chances qu’ils auraient contre-attaqué en parlant de la Palestine, etc.
Mais ces deux danseuses ont rapidement coopéré.
Il y a un récurrence avec le rap : c’est un genre largement sponsorisé par les juifs. Cette musique négrifie en un temps record la jeunesse blanche et c’est précisément ce que le système en attend. Mais derrière les références aux armes à feu, au trafic de dope et autres règlements de comptes, se cachent des gens d’une très grande docilité dès lors qu’il s’agit du pouvoir sémitique.
Si un rappeur existe médiatiquement et commercialement, il n’y a qu’une seule et même explication : il accepte de servir les juifs.