Breiz Atao
Démocratie Participative
13 août 2017
Faits particulièrement révélateurs de l’état de déréliction dans lequel se trouve l’État Français, un tunisien musulman ayant agressé sexuellement une jeune fille de 13 ans a été laissé libre par le gouvernement.
Le Dauphiné Libéré relate des faits particulièrement graves s’étant déroulés dans la commune de Monteux, dans le département du Vaucluse (source) :
Ce jour-là, avant midi, la victime est abordée par un homme qui lui propose une cigarette, qu’elle refuse, puis la suit. Il la plaque contre une voiture, tente de l’embrasser, lui caresse un sein et pointe un doigt entre ses fesses. Une plainte est déposée le même jour. Les caméras de vidéo-surveillance permettent aux policiers d’avoir le signalement d’un suspect.
Des faits identiques ont permis de retrouver l’auteur :
Les policiers font le lien avec une agression du même type dont une jeune fille de 17 ans a été victime le 30 juin à Monteux, sans dépôt de plainte. Les enquêteurs identifient le suspect quand son employeur reconnaît son vélo. Hier à l’audience, par l’intermédiaire d’un interprète, le prévenu reconnaît seulement “avoir pris un bisou”. Il dit que dans son pays on ne voit pas les choses comme ça du tout.
L’avocate du tunisien s’étant livré à cette agression sexuelle sur une mineure a justifié le comportement du migrant musulman par le contexte « culturel » des faits:
Le substitut François Arlaud, juge “détestable” ce qu’il qualifie « d’alibi culturel”. Il requiert quatre ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l’audience. Pour la défense, Me Léa Marguet, après avoir rappelé que le casier judiciaire du prévenu est vierge, insiste au contraire sur la dimension “culturelle” du dossier : “Il vient d’un village reculé de Tunisie, Il n’a jamais vécu au côté de jeunes files vivant avec nos codes à nous. Je suis convaincue qu’il a compris et qu’il ne recommencera jamais ».
S’il a été condamné, le tribunal s’est visiblement rallié aux théories de l’avocate du tunisien puisqu’il s’est assuré que l’auteur ne passe pas une seule journée en prison. S’il a en effet été condamné à 30 mois de détention, 24 le sont avec sursis et mise à l’épreuve. Les six mois ferme restants n’ont pas été suivis d’un mandat de dépôt. Le migrant tunisien est donc ressorti libre.
Les afro-musulmans bénéficient donc désormais d’un droit particulier, adapté à leurs origines ethnoculturelles. Une mauvaise nouvelle pour les femmes occidentales qui devront subir la prédation allogène sans être défendues.