Capitaine Harlock
Démocratie Participative
26 décembre 2017
L’Algérie, qui déverse ses millions de parasites en France, a décidé de barrer la route à une dizaine de milliers de clandestins africains en employant des moyens exceptionnels.
Ils ont été 10 000 migrants subsahariens à être expulsés du territoire algérien. C’est le chiffre donné, vendredi, par le ministre algérien de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui.
« Une volonté clairement affichée par des déclarations chocs de hauts responsables de l’Etat, dont Ahmed Ouyahia, actuel Premier ministre, et Abdelkader Messahel, ministre des Affaires étrangères » souligne le journal El Watan (source) qui ajoute que « Ouyahia, alors chef de cabinet à la présidence, avait considéré les migrants subsahariens comme source de drogue, de criminalité et de plusieurs autres fléaux ».
« Abdelkader Messahel n’a pas tardé à appuyer les déclarations de Ouyahia en considérant les migrants «clandestins» subsahariens comme une menace à la sécurité nationale » précise encore le journal.
Le culot de ces égorgeurs du FLN est hors compétition.
Ces arabes qui exploitent à outrance l’antiracisme mettent en oeuvre une véritable ségrégation contre les cafres, les présentant – correctement d’ailleurs – comme une menace biologique.
L’Algérie entend bien mettre fin à la migration subsaharienne sur son territoire, et prend des mesures drastiques qui feraient bondir si elles étaient prises en Europe. Ainsi, une directive émanant du ministère des Travaux publics et des Transports et datée du 24 septembre 2017 enjoint les directions des sociétés de bus et de taxis d’interdire l’accès de leurs véhicules aux immigrés africains sous peine d’exposer les contrevenants au retrait définitif de la licence d’exploitation.
Il est urgent d’utiliser l’exemple posé par l’Algérie et de lui renvoyer les millions de blédards qui polluent l’air français depuis trop longtemps.
Et d’en profiter pour faire de même avec la basse humanité subsaharienne qui s’entasse dans les villes d’Europe.