Alexandre Astier ou la catastrophe culturelle narbonoïde

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 juillet 2021

Kaamelott, le nouveau film d’Alexandre Astier, bénéficie d’une couverture médiatique exceptionnelle à laquelle très peu d’autres films ont pu prétendre avant leur sortie.

Il va sans dire que le fait qu’il sorte le jour même de l’instauration du passeport sanitaire dans tous les lieux publics, cinémas compris, en est la principale raison : il s’agit de la carotte pour encourager les goyim à croire au retour de la vidavant.

Astier, voulant vendre son film, s’est montré très à l’aise avec le concept de réduction en esclavage des goyim.

Il était hier sur la chaîne juive Arté – dont le conseil de surveillance est présidé par Bernard-Henri Lévy – pour faire la promotion du premier volet de Kaamelott mais aussi du passeport intérieur macroniste instauré dans les salles de cinéma.

Pour comprendre la psychologie d’Astier, il faut comprendre l’ascendance raciale d’Astier.

La chose la plus importante à savoir est que sa mère, Joëlle Sevilla, est italienne.

Cette ascendance se traduit en aimantation irrépressible par le pourtour méditerranéen.

Qui dit pourtour méditerranéen dit Levant, qui dit Levant dit juif. Ce que l’on retrouve dans toute l’œuvre d’Astier, j’y reviendrai.

L’autre ascendance d’Astier est son père, Lionnel Astier. Léodagan, dans Kaamelott.

Lionel Astier est un cévenol comme ce gros con de Jean-Jacques Bourdin. Les Cévennes sont la matrice du mouvement chrétien vaudois, assimilé au catharisme. La région deviendra logiquement un bastion du protestantisme (les Camisards) avant de devenir, tout aussi logiquement, le terreau d’une virulente opposition révolutionnaire au pouvoir monarchique et catholique durant la révolution. Au XXe siècle, les Cévennes sont conquises par le communisme et deviennent les « Cévennes Rouges ».

Ces deux ascendants, en plus de l’univers professionnel dans lequel évoluent ses parents saltimbanques, ont conditionné Alexandre Astier pour en faire un vecteur idéal du conformisme gauchiste fait de fausse impertinence à base d’éternels poncifs du marxisme culturel.

Kaamelott, sous un vernis médiéval trompeur et un comique de situation faisant souvent illusion, démontre une vieille haine inconsciente pour l’Europe du Nord que l’on retrouve très fréquemment chez les Latins.

Astier dépeint un « Roi Arthur » en homme acculturé par la latinisation, érotomane assumé, qui affiche son mépris racial pour les femmes du Nord tout comme pour ses sujets bretons.  Ce trait ressort dans les rapports d’Arthur avec Guenièvre, qui de reine archétypale convoitée est devenue sous la plume d’Astier une caricature de gourde qui révulse sexuellement le roi.

Lors d’une scène avec ses maîtresses, Astier disserte fièrement sur les légionnaires  basanés du sud qui, d’après lui, auraient repeuplé l’île de Bretagne en couchant avec les paysannes nordiques aux mœurs légères.

Cette obsession pour le métissage des femmes nordiques perçues comme des filles faciles est traditionnellement partagée par les juifs, les maghrébins et les nègres.

Les Celtes – Bretons, Ecossais, Irlandais – tout comme les Germains, qu’ils soient paysans ou seigneurs, sont presque exclusivement dépeints comme des abrutis congénitaux et des tarés raciaux à la faveur d’un traitement qui rappelle celui des réalisateurs juifs américains lorsqu’ils évoquent les Rednecks des campagnes américaines.

Ils sont tous ivrognes et ne songent qu’à manger de la viande de porc, un thème présent dans tous les épisodes.

Cette dégénérescence est ce qui justifie dans l’histoire le règne d’Arthur, seul homme véritablement apte à commander.

La quête du Graal en tant que telle n’a aucune réalité et se résume à d’impossibles scènes de labyrinthe.

Ce n’est que dans la seconde partie de Kaamelott que l’on voit surgir des personnages subtils et raffinés capables de desseins politiques sophistiqués : les Latins de Rome et encore plus les femmes latines.

Latins qui sont à l’époque des faits narrés, au 5ème siècle après Jésus Christ, largement remplacés par des métèques orientaux sous l’effet d’une intense immigration.

Si l’ascendance italienne d’Astier explique le ton implicite racialement anti-nordique de la série, son ascendance cévenole explique les fréquents accès anticléricaux et antimonarchistes qui jalonnent l’histoire.

Ce n’est pas un hasard si Astier choisit le juif Elie Semoun pour interpréter un inquisiteur catholique psychopathe qui ne pense qu’à brûler des « hérétiques ».

S’il est monarque absolu sur le papier, Arthur tel que dépeint par Astier est un roi démocrate qui milite contre la peine de mort, est adepte du féminisme et se dit défenseur revendiqué de l’homosexualité. Ce roi progressiste – de gauche donc – est régulièrement critiqué par des conseillers stupides et brutaux qui lui reprochent sa faiblesse, ce qui renforce la caractère audacieux, bienveillant et magnanime du personnage.

Le public français, volontiers anticlérical et anarchiste depuis la Révolution en plus d’être porté sur la bonne table et les histoires de cul, s’identifie confusément à ce message paillard sans comprendre qu’il exprime un violent rejet de ce qu’Astier pense qu’ils sont : des ploucs abrutis par la consanguinité, obtus, violents et alcooliques, que seule sauve une touchante sincérité qu’Astier présente comme une innocence rédemptrice.

Ce rapport à la fois condescendant et bienveillant entre Astier le-rital-malin et les cons-de-Français est mis en scène dans la relation entre Arthur et Perceval.

D’ailleurs Arthur répète souvent ce message égalitariste face à un Lancelot archétype de l’aristocrate : il faut sauver les tocards – comprendre, les consanguins tarés.

Ni vous, ni moi n’attendons d’être « rachetés » par un enculé de métèque.

Désolé Alexandre.

Et puisque je parle de métèque, Astier les convoque jusqu’à la saturation. Le Duc d’Aquitaine et sa très chère épouse ont pour commune qualité d’être des juifs.

C’est que le juif Alain Chabat, un des meilleurs amis d’Astier, se voit interpréter le rôle d’un des plus grands seigneurs de l’Occident celto-germanique.

Tandis que sa princesse d’épouse paraît sortir d’un souk de Bagdad.

C’est la jonction la plus importante dans la genèse de Kaamelott : les Nuls et avec eux, « l’humour Canal+ ».

Qu’est-ce que l’humour Canal+ ?

La séfaradisation de Fluide Glacial, de Charlie Hebdo et du Professeur Choron pour en faire une arme de subversion contre la France de souche aryenne, blanche et catholique.

Ce sont les Deschiens de l’enculé socialiste (pléonasme) François Morel.

Et les « Guignols » du rital gauchiste Gaccio dont l’acrobatique impertinence autorisée frise la performance olympique.

Toujours la même formule : des ritals antifascistes et des juifs.

Sous l’influence de l’heroic fantasy, Alexandre Astier est fasciné par le mystère d’un monde nord-européen auquel il aimerait appartenir mais qu’il ne parvient qu’à souiller par la jalousie inconsciente que produit son atavisme ethnique et son cercle social hérité. De cet univers qui lui sera pour toujours fermé, il ne parvient qu’à renvoyer une image bouffonne et gaffeuse qui, toujours, échoue au même point : la Méditerranée.

Peu étonnant donc que le Roi Arthur finisse en Afrique du Nord tandis que Galaad, l’élu des dieux du Nord, prend le visage atrocement déformé par l’influence négroïde du séfarade Kevin Smajda dit Kev Adams.

La vérité, Merlin, je suis l’élu !

Convoquer la matière de Bretagne et le légendaire arthurien pour mettre en scène des juifs du Maroc et d’Algérie en train de parler de cul et des ploucs blancs en train de picoler, il fallait le faire.

Astier l’a fait.

L’esthétique du médiéval pour mieux saloper l’esprit médiéval.

Astier l’a fait.

Telle est la destinée des métèques suralgériques, à plus forte raison descendants de rouges. Destructeurs perpétuels de l’ordre aryen, conscients ou inconscients, toujours ils ouvrent la porte aux juifs qui à leur tour ouvrent la porte aux bicots et aux nègres.

Vous reprendrez bien une histoire de nègre castré voulant reluquer des Blanches en train de coucher, non ?

Astier a bien réussi à se forger un public et de ce point de vue, du point de vue commercial, il a été efficace.

Mais quel public ?

Celui des nouveaux beaufs façonnés par les séfs de Canal+. Proprement mis en abîme, Kaamelott est une satire de ce que le narbonnoïde peut faire de pire quand il se pique de culture.

Vous êtes sûr de vouloir vous faire vacciner par Pfizer pour vous faire traîner dans la merde pendant deux heures et demi et verser des royalties à Chabat ?

Pour ma part, il faut un peu plus que parasiter mon imaginaire et prendre mes symboles ancestraux pour me faire croire qu’on est de mon peuple.

Capiche ?

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